Gouvernance Technocratique Ou Managériale

dites "d'intermédiation" et de leurs mécanismes de gouvernement d'entreprise. Berle et Means2 ont été parmi les premiers à s'intéresser à l’émergence de dirigeants non-propriétaires à la tête des firmes. Ils ont alors développé la thèse du "contrôle managérial", ou séparation de la propriété et du pouvoir dans les grandes sociétés de capitaux. Cette thèse vise à rendre compte de la caractéristique principale de la firme "moderne", à savoir une séparation prononcée entre les dirigeants salariés de la firme

l’opération depuis la phase dite d’annonce ou d’intention, jusqu’à la phase de mise en œuvre. Un audit de rapprochement ou « Due Diligence » est une étape importante à ne pas négliger, car elle permet d’auditer les réalités sociales, culturelles, managériales et de gestion de ressources humaines. 17 LA VARIABLE HUMAINE DANS LA CONDUITE DU CHANGEMENT DANS LES OPERATIONS DE FUSION-ACQUISITION : CAS D’ATTIJARIWAFA BANK Chapitre 1 : Définition des concepts de rapprochement Face à l’accélération

189 189 191 192 193 193 194 194 195 195 196 197 197 199 201 203 © Éditions d’Organisation Chapitre 8. Éthique, corruption et blanchiment Le « cancer universel » de la corruption........................... Corruption, économie mondiale et gouvernance des États ......... Corruption et développement durable .................................... Les différentes formes de corruption................................ La corruption : de l’huile dans les rouages ?........................... Lois et normes

réussites contemporaines sont le fait d’entreprises qui enfreignent de façon continue les principes de bonne gestion généralement admis. Elles tournent délibérément le dos aux méthodes considérées comme orthodoxes. Elles ignorent toutes les recettes managériales qui ont fait la une des consultants et des revues de management. À croire que les vérités universelles ne sont pas aussi évidentes, univoques ou établies qu’on pourrait le croire. Est-il vraiment raisonnable pour un grand producteur de marques

réussites contemporaines sont le fait d’entreprises qui enfreignent de façon continue les principes de bonne gestion généralement admis. Elles tournent délibérément le dos aux méthodes considérées comme orthodoxes. Elles ignorent toutes les recettes managériales qui ont fait la une des consultants et des revues de management. À croire que les vérités universelles ne sont pas aussi évidentes, univoques ou établies qu’on pourrait le croire. Est-il vraiment raisonnable pour un grand producteur de marques

adéquatement de façon à en recevoir un retour. Ce changement de paradigme s’exprime également par un nouveau vocabulaire. Le « contrôle » en gestion des ressources humaines fait place à « l’évaluation ». La notion d’évaluation est plus étendue, plus managériale et plus stratégique que le contrôle ». Nous allons donc dans la suite tenter d’approfondir cette notion plus étendue au travers de l’explicitation de l’impact de la fonction RH sur la performance de l’organisation et des tentatives plus récentes

légaliste-libérale dans laquelle le juge joue le rôle d’arbitre, le modèle de justice normative technocratique dans laquelle le juge joue le rôle d’entraîneur. |Le modèle |Le modèle |Le modèle | |coutumier traditionnel |légaliste libéral |normatif technocratique | |Contexte socio-économique

approche du management Le management, c’est un peu de : Ventes Commercial Pub Communication Marketing Etudes Process Technologies Recherches et développement Achats Administration Finances Ressources humaines Réseaux Relations Gouvernance Deuxième approche du management Le management est l’activité qui consiste à conduire, diriger un service, une institution, une entreprise. Troisième approche du management « Le management est le métier qui consiste à conduire, dans un

a question de savoir comment ces outils s’articulent les uns par rapport aux autres et de ce fait amène à s’interroger sur les finalités du contrôle de gestion. • Dans un autre registre, on assiste aussi à des dérives techniciennes et technocratiques : utilisation de néologismes et d’anglicismes, focalisation excessive sur les outils du contrôle et sur ses dimensions les plus formalisées ce qui entraîne parfois une bureaucratisation de la fonction. Le développement de termes et de concepts

pose enfin a question de savoir comment ces outils s’articulent les uns par rapport aux autres et de ce fait amène à s’interroger sur les finalités du contrôle de gestion. Dans un autre registre, on assiste aussi à des dérives techniciennes et technocratiques : utilisation de néologismes et d’anglicismes, focalisation excessive sur les outils du contrôle et sur ses dimensions les plus formalisées ce qui entraîne parfois une bureaucratisation de la fonction. Le développement de termes et de concepts