Grévy 6 Février 1879

- 10 novembre 1881 Président(s) de la République Jules Grévy Gouvernement(s) Ferry 1 Législature(s) IIe législature Prédécesseur Charles de Freycinet Successeur Léon Gambetta Second mandat 21 février 1883 - 30 mars 1885 Président(s) de la République Jules Grévy Gouvernement(s) Ferry 2 Législature(s) IIIe législature Prédécesseur Armand Fallières Successeur Henri Brisson Autres fonctions 5e président du Sénat Période 24 février - 17 mars 1893 Prédécesseur Philippe Le Royer Successeur

l’amendement WALLON adopté à 353 voix contre 352 le 30 juin. Il prévoit que le président de la République soit élu à la majorité absolue des suffrages par le Sénat et la Chambre des députés réunis en Assemblée Nationale (article 2 de la loi du 25 février 1875). Les autres lois constitutionnelles vont permettre de dresser le portrait d’un régime parlementaire dualiste. En effet, l’idée de balance des pouvoirs (plus connue sous l’expression anglaise « checks and balances » (freins et contrepoids))

seine dont le quartier principale est Bellevile. Le programme de Belleville qu'il a écrit avec le parti républicain local est d'orientation radicale. Il est élu le 23 mai 1869, député dans le XX eme arrondissement de Paris contre Hippolyte Carnot. Le 6 juin il est aussi élu à Marseille contre Fernidand de Lesseps. Il préfere représenter Marseille que l'arrondissement parisien. Les discours de Gambetta à l'Assemblée force à l'admiration tant l'orateur est bon. Son visage ornementé d'une large barbe

égalitaire. La droite s’est donc alignée systématiquement sur la gauche, elle a parfois un peu honte des anciennes conceptions qu’elle défendait, en particulier le monarchisme : d’où le sinistrisme. Chapitre 1 : La République sans les républicains 1871 à 1879 Le second empire tombe le 2 septembre 1870 à la suite de la défaite de Sedan. Deux jours plus tard, le 4 Septembre est formé un gouvernement de défense nationale qui est formé par des insurgés (contre l’empire) républicains qui ont épuré en leur

Directoire (26 octobre 1795 – 9 novembre 1799) Consulat (10 novembre 1799 – 18 mai 1804) Premier Empire (18 mai 1804 – 6 avril 1814 et 1er mars 1815 – 22 juin 1815) Restauration (6 avril 1814 – mars 1815 et 22 juin 1815 – 1830) _ Louis XVIII (jusqu’au 16 septembre 1824) _ Charles X (16 septembre 1824 – 2 août 1830) Monarchie de Juillet (14 août 1830 – 24 février 1848) Seconde République (24 février 1848 – 2 décembre 1852) Second Empire (2 décembre 1852 – 4 septembre 1870) Troisième République (4 septembre

SSOLUT ON SOMMAIIRE OMMA RE I. II. A. LE DROIT DE DISSOLUTION LA DISSOLUTION AVANT LA VEME REPUBLIQUE LA TROISIEME REPUBLIQUE Article 5 de la Loi du 25 février 1875 Extrait du message lu aux Chambre le 6 février 1879 B. LA QUATRIEME REPUBLIQUE Article 51 de la constitution de 1946 Article 52 de la Constitution de 1946 3 3 3 3 4 5 6 6 III. LE DROIT DE DISSOLUTION SOUS LA VEME REPUBLIQUE A. L’EXERCICE DU DROIT DE DISSOLUTION Date de création du document : année universitaire 2005/06 Consultez

conservatrice constitue un véritable appui pour le président de la République, Mac-Mahon. Les conservateurs ont alors espéré un succès aux élections législatives de 1876 de la Chambre des députés mais dès le premier tour c’est un échec car le 20 février les républicains l’emportent haut la main. Le second tour le 5 mars ne fait que confirmer ce succès républicain puisque la Chambre compte environ 360 républicains et guère plus de 150 conservateurs dont 75 bonapartistes, une cinquantaine d’orléanistes

| Patrice de Mac Mahon | Patrice de Mac Mahon.jpg | 24 mai 1873 | 30 janvier 1879 | Légitimiste | | 4 | Jules Grévy | Jules grevy.jpg | 30 janvier 1879 | 2 décembre 1887 | Modéré,Gauche républicaine | | 5 | Sadi Carnot | Marie Francois Sadi Carnot.jpg | 3 décembre 1887 | 25 juin 1894 | Modéré,Gauche républicaine | | 6 | Jean Casimir-Perier | Jean Casimir-Perier.jpg | 27 juin 1894 | 16 janvier 1895

pour de nouvelles élections dans le délai de trois mois. Et, l’Article 6 : Les ministres sont solidairement responsables devant les chambres de la politique générale du Gouvernement, et individuellement de leurs actes personnels. Le Président de la République n'est responsable que dans le cas de haute trahison. Textes brefs et imprécis Quels sont les rapports institués par cette loi constitutionnelle du 25 février 1875 entre le pouvoir exécutif, dont le principal acteur est le président

nouvelle constitution. Le peuple ne va statuer que sur la question de la paix ou de la guerre mais pas sur les travaux de cette assemblée constituante. La population de l’époque est en majorité monarchiste et désire la paix. L’assemblée élue le 8 Février 1871 est alors composée en majorité de monarchistes (396 sur 675). Parmi eux, il y a environ 182 légitimistes et 214 d’orléanistes. A côté de cela, il y 222 républicains (radicaux : 38, modéré : 112 et libéraux : 72) et 20 bonapartistes. L’Assemblée