Hegel Tout Ce Qui Est Réel Est Rationnel Tout Ce Qui Est Rationnel Est Réel

droit l'ensemble des règles et des lois qui organisent la vie des hommes en société. Ce droit n'est pas nécessairement écrit : toutes les sociétés ont un droit ; or, nombre de sociétés sont restées sans écriture. On appelle droit coutumier l'ensemble des lois et des règles qui se transmettent par la seule tradition. Au cours de l'Histoire, le droit a tout permis, tout justifié, la trahison, l'exploitation, la torture, le meurtre. Même si justicia en latin vient de jus, le droit, même si « à bon

Pour Kant, l’acte sera moral lorsque l’intention va suivre l’impératif catégorique. « Agis de telle sorte que la maxime de ton action puisse s’ériger en loi universelle ». « La maxime de ton action » c’est l’intention / universelle : tout homme, tout lieu, tout temps. Le suicide n’est pas moral. Quand on agit non moralement on agit en dehors de nous, on fait de nous une exception. Pour agir moralement il faut que : l’intention suive l’impératif catégorique. Il faut aussi que notre intention soit

avec le dogmatisme, il s’agit de « savoir qu’on croit et non croire qu’on sait ». La sophistique consiste à croire que rien n’est vrai, à ne pas confondre avec croire que rien n’est certain, elle s’oppose donc au rationalisme. Si tout est faux, rien n’existe, tout se vaut, tout est permis et il n’y a alors plus de science, plus de démocratie. Bref, la connaissance, perpétuellement en construction, se situe entre « l’ignorance absolue » et le « savoir absolu ». La liberté peut être politique, on

Introduction : Une science des hommes en société 2 Chapitre 1 :Une posture : Penser les classes sociales. 3 Chapitre 2 :La sociologie marxienne 6 Chapitre 3 :Des usages : Les spectres de Marx 12 Chapitre 4 : Penser la société comme un tout 15 Chapitre 5 : Une sociologie : la sociologie durkheimienne 19 Chapitre 6 : Lecture et usage de Durkheim au XXème siècle 27 Chapitre 7 : Qu’est-ce qu’une sociologie compréhensive ? 32 Chapitre 8 : La sociologie wébérienne 36 Chapitre

façon à rendre son existence toujours plus humaine. Ainsi, dans sa généralité, l’existence humaine est une réalité inlassablement mystérieuse en quête du savoir et du salut. Toutefois, il s’ensuit que cette recherche incessante du savoir et du salut, tout en étant interne au cœur de l’homme, se relève de deux disciplines distinctes : « la philosophie et la théologie, qui au delà de toute présomption de discordances s’interpellent sans cesse. En s’appuyant sur la formule de l’évêque de Cantorbéry, saint

 on s’efforce de dire qu’elle a été réalisée avec soin, habileté et  avec  goût.  Néanmoins,  lorsqu’on  qualifie  « d’ouvrages d’art » des immeubles,  des  ponts et autres  bâtiments,  ce n’est  pas  tant  le  goût que le  savoir­faire des ingénieurs qui  est mis en valeur. Il en  va  tout autrement lorsqu’on  admire une   œuvre  d’art  au  musée,  le  mot  « art »,  ici,  renvoie  à  une  autre  dimension,  celle où le savoir­faire et la  technique sont  relégués  à  l’arrière­plan  et  où  est  privilégié  le   plaisir  esthétique 

dont se forment et s’associent les idées. En tant que lois nécessaires et universelles qui ont une validité générale (comme, par exemple, les lois du syllogisme), elles sont indépendantes de tout principe empirique. La logique « repose sur des principes a priori qui permettent de déduire et de démontrer toutes ses règles » (Logique, p.13), comme, par exemple, le principe de contradiction. Les règles de la logique, en tant qu’elles sont des lois, concernent la pensée non telle qu’on l’observe dans

1. La Belle âme de Hegel : « La belle âme est celle qui vit dans l’angoisse de souiller la splendeur de son intériorité. Il lui manque la force de s’extérioriser et de se faire soit même une chose […] elle se dissout comme un souffle inconsistant.» Tiré de la phénoménologie de l’esprit. La Belle âme représente la conscience selon Hegel et cette conscience se perd dans le monde : c’est une mauvaise extériorisation. Cette belle âme vit donc dans une fausse splendeur d’après Hegel, car elle vit dans

démontrées à partir de propositions initiales, en s'appuyant sur un ensemble de règles de déduction. Raisonnement qui prouve la vérité de sa conclusion par déduction et d’une manière évidente et convaincante; Tout ce qui sert de preuve à quelque chose; Marque, témoignage, toute parole, tout acte par lequel on manifeste ses dispositions, ses intentions. I. Force ou faiblesse de la démonstration ? 1) La force Puisque « il n'y a de science que du nécessaire » (selon Aristote), la logique s'assure

langage trahit-il notre pensée ? Dans notre société, la vérité se définit comme une parfaite adéquation entre le langage et la pensée : dire ce que l’on pense, serait dire la vérité. En grec, le logos signifie d'ailleurs à la fois la pensée rationnelle et le langage. Ainsi, le langage et la pensée sont reliés par cette notion de vérité. Or avoir un langage fidèle à notre pensée, nécessite des mots qui le reflètent réellement : c’est-à-dire capable de transmettre nos sentiments, nos idées, nos