Hérodiade

peut donc penser que c’est elle qui l’avait demandée. Le mythe Hérode régnait sur la Galilée. Il épousa une femme nommée Hérodiade, bien qu’elle fût la femme de son frère Philippe. Jean-Baptiste, considéré comme étant un prophète par presque tout le peuple juif, a dit à Hérode qu’il ne lui était pas permis de prendre la femme se son frère. La plus en colère fut Hérodiade, elle voulait faire exécuter Jean-Baptiste, mais ne le pouvait pas. En effet, Hérode craignait Jean-Baptiste car il savait que

BRISE MARINE Autour du texte: "Brise marine" a été écrit vraisemblablement en mai 1865 à Tournon (le manuscrit de la collection MONDOR porte cette date). Il a été congu entre la première ébauche d'"Hérodiade" (hiver 1864-1865) et la composition du "Faune" (été 1865)? il fait suite aux poèmes de "L'Azur"(janvier 1864) - "Las de l'amer repos" (février 1864) - "Angoisse" (février 1864) - "Le pitre châtié" (mars 1864)- "Les Fleurs" (mars 1864) écrits depuis l'arrivée du poète à Tournon en décembre

publiée en revu en 1906. Il prend place entre deux poèmes court, l’Adieu et Porte qui participe aussi de la thématique de la séparation. Jean baptiste prêche sur les bords du Jourdain 29 après JC. Il est conseillée du roi Hérode. Il épouse sa nièce Hérodiade, Jean baptiste condamne cette inceste. Hérode fait arrêté Jean baptiste qui a critiqué le roi, sa femme l’est d’avantage et demande la tête de Jean Baptiste. Pour faire fléchir son mari, elle demande a sa première fille, Salomé, d’interpréter

Une Charogne – « l’odeur […] si forte » ou « les vers » qui sorte de la charogne « putride » → laid, triviale, « répugnant » Vénus Anadyomène – Rimbaud - vieille femme affublé « d’un ulcère à l’anus » Hérodiade – Théodore de Banville « chef sanglant de Jean-Baptiste » Tableaux parisiens – « A une mendiante rousse », « Les aveugles », « A une passante » → ville bruyante/oppressante « La ville autour de moi hurlait »

Quelle est la signification symbolique prêtée à cette figure féminine ? I.L'érudition au service d'une visée symbolique a) La légende de Salomé La légende veut que Saint Jean-Baptiste ait reproché avec beaucoup de véhémence son inconduite à Hérodiade qui apès la mort de son époux Hérode Philippe Ier (dont elle avait eu une fille, Salomé), avait épousé en secondes noces Hérode Antipas, frère de son défunt époux. Celui-ci, craignant des troubles, avait fait arrêter le poète et l'avait fait enfermer

ni à être reconnu par le grand public. Conscient d’écrire pour un lecteur initié, critiqué de son vivant pour son obscurité, le poète s’attache à brouiller les pistes qui mènent au sens. Dépassant les genres dans des œuvres hybrides (Igitur, Hérodiade), partisan d’une poésie libérée de la tyrannie de la représentation, amoureux des sonorités étranges et des images complexes, Mallarmé, au siècle du positivisme et du réalisme, fait exploser les canons usuels de la poésie sur les restes desquels

le vers 2 avec « mieux que ». Une espèce de montée d’intensité tout de suite dès la prise de parole au vers 3. On passe du futur envisagé et potentiel des deux premiers vers au présent et avec une deuxième apostrophe « ma mère ». Il s’adresse à Hérodiade, mère de Salomé dans la tradition biblique. Troisième effet de surprise, que s’engage une véritable une pièce de théâtre, un dialogue avec l’apostrophe à Hérode aux vers 2 « sire », l’apostrophe à la mère au vers 3 « ma mère ». On note un jeu très

extraordinaires et Œil-ballon, 1878 ; « le Corbeau », Les Poèmes d’Edgar Poe, traduction en prose de Stéphane Mallarmé, et Le Corbeau, 1882. 3) Redon lit Mallarmé : « Les Fenêtres » et « LE JOUR », Songes, planche VI, 1891 ; Hérodiade, extrait de la scène entre la nourrice et Hérodiade, et « LUEUR PRECAIRE, une tête à l’infini suspendue », Songes, planche III, 1891 ; Un coup de dés jamais n’abolira le hasard et Sciapode, 1892, et les quatre planches d’essai pour Un coup de dés, 1897-1898 ;  Pour un tombeau

lisez-vous ? (On a peu d’informations sur les lectures de Mallarmé) « J’apprécie les textes d’Edgar Allan Poe car je les ai même traduits. » - Depuis quand écrivez-vous ? Pourquoi ? « J’écris dès l’âge de 22 ans avec le poème « Hérodiade ». J’ai commencé à écrire jeune car je suis passionné par la poésie. » - Quel a été votre parcours scolaire ? Votre formation ? « J’ai été mis en pension à l’âge de 10 ans, après la mort de ma mère. Avant d’être professeur d’Anglais

poète, qui cède l’initiative aux mots!» : citons «!Le vierge et le vivace et le bel aujourd’hui…!», «!Une dentelle s’abolit…!», et le sonnet en yx («!Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx…!»). Mallarmé composa alors un de ses chefs-d’œuvre, Hérodiade, pièce poétique sur la difficulté d’être et sur l’absence se présentant comme un fragment de drame en vers. Mallarmé déclarait que son but était d’y «!peindre, non la chose, mais l’effet qu’elle produit!». La pièce fut publiée à l’état fragmentaire