Hétérozygote

II4 est une femme saine elle est soit homozygote (saint) ou hétérozygote mais grâce à III2 qui est atteint de la maladie on peut en déduire qu’elle est forcément hétérozygote avec un gène DMD non muté et une autre copie du gène muté, à partir de ces informations sur les parents ont peut faire un tableau d’échiquier de fécondation :Grâce à ce tableau on peut voir que

chromosomes homologues) ou hétérozygote (deux allèles différents pour le même locus) ; - dans un rapport de dominance / récessivité : - l’allèle est dominant, il s’exprime même s’il n’est présent qu’en un seul exemplaire, c'est-à-dire à l’état homozygote et hétérozygote ; - l’allèle est récessif, il s’exprime uniquement lorsqu’il est présent en deux exemplaires, c'est-à-dire à l’état homozygote ; - des allèles peuvent être codominants, ils s’expriment tous les deux à l’état hétérozygote. - Un phénotype macroscopique

la mère possède un casier judiciaire. Deux protocoles : 1- La recherche sur les jumeaux Christiansen – 1970 Jumeaux monozygotes : +/- 100% génétique Jumeaux hétérozygotes : +/- 50% génétique Sa conclusion : lorsqu’un jumeau monozygote est délinquant, le taux de concordance est deux fois plus élevé que chez les jumeaux hétérozygotes. 2- Étude sur les enfants adoptés Mednick – 1950 Enfants adoptés qui n’avaient pas connu leurs parents biologiques Casier judiciaire Oui (parent biologique)

et fécondation source de diversité génétique Du fait de la variabilité de la molécule d’ADN, beaucoup de gènes du patrimoine génétique d’une espèce sont présents sous la forme de divers allèles. Chez l’Homme on considère que 2000 gènes sont hétérozygotes sur les 30 000 que comporte le génome humain. A- Brassage génétique lié à la méiose. 1- Un brassage interchromosomique En anaphase de la première division méiotique, les deux chromosomes homologuent se séparent et migrent vers les pôles opposés

(Afrique équatoriale et USA) montrent qu’elles sont proches pour la population aux USA alors qu’un écart existe pour la population d’Afrique équatoriale, en particulier concernant les individus hétérozygotes. Cet écart à l’équilibre d’H-W s’explique par un avantage sélectif (sélection naturelle) des hétérozygotes qui sont davantage protégés du paludisme.  Dans 2 populations présentant les groupes sanguins M et N (allemande et Dunkers) montre une fréquence plus importante de l’allèle M chez les Dunkers

des individus. Hétérozygote : un individu diploïde est dit hétérozygote pour un gène donné s’il possède 2 allèles différents de ce gène. Homozygote : un individu diploïde est dit homozygote pour un gène donné s ‘il possède 2 allèles identiques de ce gène. Afin de montrer que la méiose est source de brassage, il est donc nécessaire en compte 2 gènes différents qui peuvent chacun être occupés par 2 allèles différents. On étudie donc la méiose d ‘un individu hétérozygote pour 2 gènes différents

Nord et la fréquence des hétérozygotes, porteurs sains de la maladie, y est d’environ 1/25, soit 4% de la population générale occidentale. La mucoviscidose est présente dans toutes les populations du globe, mais à des prévalences variables. Il existe ainsi très peu de cas chez les Noirs et encore moins chez les Asiatiques. Respectivement l'incidence à la naissance - nombre de nouveau cas observée dans une période et une population donnée - et la fréquence des hétérozygotes est au Moyen-Orient d'environ

de 10 Centimorgan a- le pourcentage de recombinaison est de 5% b- le pourcentage de recombinaison est de 10% c- le pourcentage de recombinaison est de 20% d- le génotype d’un individu double hétérozygote s’écrit comme suite : 2) Un individu homozygote pour un premier couple d’allèles et hétérozygote pour un deuxième couple d’allèles, produit : a-deux types de gamètes équiprobables. b-deux types de gamètes non équiprobables. c-quatre types de gamètes équiprobables. d-quatre types de gamètes

allèles différents, ils sont alors hétérozygotes.  Les homozygotes m+//m+ sont sains.  Les hétérozygotes qui ont pour génotype m-//m- sont malades.  Pour les hétérozygotes m+//m- : - soit l'allèle de la maladie est récessif ce qui signifie qu'il ne s'exprime qu'à l'état homozygote (s'il est présent en deux exemplaires), donc le sujet m+//m- n'est pas malade - soit l'allèle de la maladie est dominant et il s'exprime aussi bien à l'état homozygote qu'à l'état hétérozygote : les individus m+//m- sont donc

façon indépendante lors de la méiose et les hybrides double hétérozygote produisent autant de gamètes de type parental que de gamètes de type recombiné. *Gènes létaux : gènes dont l’allèle muté provoque la mort à l’état homozygote. *Gènes liés : des gènes sont dits liés quand les loci des deux gènes sont situés sur le même chromosome. En pratique, ils ne ségrègent pas de façon indépendante lors de la méiose et les hybrides double hétérozygote produisent davantage de gamètes de type parental que de