Hobbes De La Boetie

i"itllmel complexe où les intentions réelles des divers acteurs, probable:nent difficilt'lll,'nt .saisissables, n'éclairent pas nécessairement la rationalité du prr;.cessus d'en~"nlh1t'. Il y a encore davantage. tIn .1 pu soutenir, notamment depuis Hobbes, que la soumission, mêrr:.e par craintt' ,,!,, la sanction ou sous menace, est la manifestation d'un consenteme:::t. C'est la ,"':(-.hre proposition: ({ It is not therefore the victory, that giyeth the r~t of domini(\n ,weI' the vainquished, but his

évident à première vue qu’il ne peut réagir que par une réaffirmation de sa suprématie en condamnant toute désobéissance, si nécessaire par la force. Pourtant, le refus de toute contestation par l’individu risque de faire glisser dans l’oppression. Hobbes ne s’y est pas trompé. Quoique sa conception de la vie en société soit centrée sur un état dont la puissance est à la mesure de l’insécurité qui règne dans l’état de nature, ce philosophe maintient un droit inaliénable de l’homme, qu’il ne peut donc

octogonales) Marsile de Padoue (1324): récuse l'autorité du pape, favorable à l'empereur allemand, affirme que le prince tient son pouvoir de l'universalité des citoyens, prône l'extension des pouvoirs du prince. Machiavel (1513): le Prince La Boétie (1574): Discours de la servitude volontaire, à lire. Pour lui pouvoir absolu haïssable par amour de la liberté Jean Bodin (1576): Six livres de la République, va développer la théorie de la souveraineté A partir du XVII ème siècle de nouvelles

à la justice royale. Ce processus de concentration du pouvoir royale ne se fait pas du jour au lendemain. Il est séculaire et se fait sur des siècles. Le roi a un pouvoir vraiment important à partir des 15 ème – 16 ème siècles. Etienne de la Boétie écrit en 1548 que « le roi peut tout. Il peut prendre des biens, des vies, des enfants. Jamais les hommes ne se sont retrouvés dans une telle situation d’esclavage. Pourtant, il ne s’agit que d’une personne normale. Il n’a de pouvoir que parce qu’on

n'est défaut d'esprit, ni le savoir n'est preuve de génie." Vauvenargues, Réflexions et maximes. "Il ne s'agit pas de beaucoup lire, mais de bien lire." Aristippe. "J’aime ce qui me nourrit : le boire, le manger, les livres." Etienne de La Boétie. "Vous pouvez tout faire, penser ou croire, posséder toute la science du monde, si vous n'aimez pas, vous n'êtes rien." Marcelle Sauvageot, Laissez-moi. "Ce que je cherche dans la parole, c'est la réponse de l'autre." Jacques Lacan, Ecrits

conséquence de la « chute » de l’Homme, mais un moindre mal, c’est à dire que puisque l’on est sur terre (augustin), autant s’organiser plutôt que de s’entretuer : Hobbes, « l’homme est un loup pour l’homme », l’homme devient po parce qu’il devient social? La pensé des lumières: c’est la politique qui transforme l’animal en homme (Hobbes). Pour rousseau l’homme passe de l’état de nature à l’état de la société organisée, mais pour lui c’est un drame. Donc pour distinguer social de politique:

dit l’ Aubigné, Agrippa d’ Belleau, Rémi Calvin, Jean Cauvin, dit Desportes, Philippe d’Orléans, Charles du Bellay, Joachim Érasme, Didier (en lat. Desideirus Erasmus) Garnier, Robert Ignace de Loyola Jodelle, Étienne Labé, Louise La Boétie le Maire, Jean Machiavel, Nicolas (en it. Niccolo Machiavelli) Marot, Clément Marot, Jean Montaigne, Michel Eyquem de Rabelais, François Ronsard, Pierre de Villon, François Musique Byrd, William de Morales, Cristobal des Prés, Josquim

relever 4 grandes périodes de domination relative : 1ère époque du droit naturel classique de l’antiquité au 16ème siècle. Platon, Aristote, Saint thomas d’Aquin. Ensuite, émerge et domine le droit naturel moderne du 16ème au début du 18ème. Hobbes, Locke, Rousseau, Kant, Grotius. Vient alors une période de domination du positivisme à partir de 1850. Auguste Comte. Domination pendant un siècle environ. A partir des années 1960, et surtout dans les années 1980, on voit renaitre la philosophie

social: résignation, renonciation, à contester le pouvoir en place. Ces individus consentent à obéir, consentement au pouvoir, et ce phénomène est longtemps apparut comme un mystère. 9) L’acceptation du pouvoir tyrannique chez La Boétie Etienne de la Boétie qui a rédigé le discours de la servitude volontaire et dans cet ouvrage, il s’interroge sur les ressorts du pouvoir, les fondements du pouvoir qui expliquent l’acceptation d’un pouvoir absolu, le pouvoir tyrannique. Il évoque le désir

que soit le sujet qu’il aborde, Montaigne en fait une réflexion qui part de l’expérience vécue : il se penche sur la mort à partir d’un accident de cheval qu’il a eu, de l’amitié à partir du chagrin que lui a causé le décès de son ami Étienne de la Boétie, de l’éducation en se remémorant celle qu’il a reçue. Mais il ne raconte pas sa vie. Montaigne dépasse la biographie pour rejoindre l’universel . « D’autres forment l’homme, moi, je le raconte », disait-il. Ainsi, l’essai appartient à la littérature