Hobbes La Condition Naturelle

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Machiavel (1469 – 1527) à Hobbes, la politique va prendre le sens moderne qu’on lui connaît, c’est-à-dire ce qui concerne l’État, le pouvoir politique . Alors qu’autrefois, la politique désignait d’abord ce qui concernait la cité, la vie des citoyens. Attention : on dit philosophie machiavélienne ( machiavélique ) ! Leo STRAUSS , Droit naturel et histoire

de « liberté » qui le caractérise. L’animal n’a pas cette faculté de résister et sortir du cadre naturel car il n’a justement pas la liberté d’aller à l’encontre de son « instinct ». L’instinct est un savoir inné, spécialisé, dépourvu de conscience et peu susceptible de progrès. De plus, on peut ajouter que la vie animale n’est faite que de nécessité alors que l’homme a des nécessités d’ordre naturel (comme vivre en société) et aussi a une liberté, par la « formation des idées », son imagination

primordiale. C'est au sein de cette société que se met en place une politique définit comme étant l'art de gouverner; De fait, l'Homme se définit par son caractère social et vivant dans un espace différent de l'État de Nature selon la conception de Hobbes, c'est à dire dans un espace codifié, limité et normé que l'on appelle l'État. L'État est constitué par l'ensemble des institutions politiques, juridiques et judiciaires qui ont pour fonction de réguler la vie d'un territoire géographique donné.

empirisme : toutes connaissances proviennent d’expérience sensibles 5.2 Biographie - Spécialisation en musique - Participe à l’Encyclopédie - Il écrit plusieurs choses - Il répond à une question : Est-ce que les sciences et les arts favorisent la condition humaine? - Non, c’est une corruption de l’être humain - Il gagne le concours (réponse à la question) - Il devient célèbre - 4 ans plus tard, il répond à une autre question - 2e discours - Il écrit un libre sur comment élever des enfants

car trop anachronique. Il a été conçu comme la négation de la féodalité, c. à d. qu’il s’oppose au particularisme et au morcellement féodal. Mais l’absolutisme ne veut jamais dire despotisme ou tyrannie. Il reste limité par la loi divine et la loi naturelle. En Angleterre et dans les provinces unies (P-B), des pays où le capitalisme commercial s’est développé, on trouvera les principales œuvres politiques de l’époque. Le centre économique de l’Europe est dorénavant le nord. En France, la pensée

Corriges Methode Dossiers Liens Aide Perso Fiches Bac Programmes Bibliographie Contact Accès Elèves Etre juste, n'est-ce qu'obéir aux lois ? Introduction : I- Le risque de référer la justice à la justice naturelle : Kant, et Hobbes (objectivité versus subjectivité). A- Kant. B-Hobbes : le positivisme juridique. II- Ainsi (suite à l'exemple du tribunal de Nuremberg), si la justice légale ne doit pas être fondée sur la justice comme sentiment, n'appelle-t-elle pas un autre fondement que la stricte

silence de la loi ne définirait qu'une liberté par défaut, vestige de l'"Age d'Or" d'une liberté naturelle. Pourtant on n'a aucune expérience d'un état de nature d'avant la loi ; par ailleurs on sait que les hors-la-loi forment des bandes en lesquelles les règles sont autrement plus féroces que les lois d'un État. Cette idée d'une vie libre grâce à l'absence de lois est-elle réaliste ? Selon Hobbes une vie sans lois "permettrait à tous les autres hommes de se rendre maîtres de leurs vies". Conformément

Kant appelle minorité est-il voulu au sens strict ? -          D'un autre côté, on sait ce que peuvent comporter de dangereux les idéologies libertaires. Ainsi, il y aurait quelque bienfait à vouloir ne pas être libre : il s'agirait, comme le dit Hobbes, de restreindre les passions individuelles afin d'instaurer la paix et la sécurité au sein de la société. -           Il semble difficile de soutenir que l'homme puisse volontairement accepter d'être asservi ou mineur, tout autant que d'affirmer

de soucis du prochain et de dévotion à l’égard de Dieu va ouvrir la voie à un capitalisme libéral et sera notamment à la base de la fondation de la république américaine. La Réforme ouvre donc un chapitre capital de la pensée politique qui va conditionner les développements parallèles d’un monde anglo-saxon d’une part (anglais et allemand) qui se converti à la religion réformée et d’autre part d’un monde latin qui reste fidèle au catholicisme.   La Réforme a notamment reposé sur la question du