Hobbes Leviathan Il Peut Sembler

hommes et correspondrait a un ensemble d’éléments et de comportement innés, héréditaires et spontanés. D'un côté on parle de nature humaine, d'essence de l'homme et il semble que cette idée d'une définition de ce qu'est l'homme soit légitime parce que rien qui existe ne semble pouvoir ne pas avoir de nature, mais de l'autre, il semble que cette idée soit vaine parce que les différences observables entre les individus sont telles qu'ils semblent n'avoir rien en commun. Alors c’est dans ce sens que

du monde : il est tout puissant. Dieu peut à tout instant agir sur sa création qu'est le monde. Dieu n'a pas créé le monde puis se retirant, mais Dieu peut à tout moment agir sur le monde. Dès lors, Dieu est non seulement créateur mais aussi législateur : il donne à tout moment au monde sa loi, il l'a fait quand il a donné à Moïse les 10 commandements. Les lois données par Dieu sont immuables, éternelles. Rien ne peut les changer. Seule leur interprétation peut varier avec le temps. Les lois divines

5-trichlorophénoxyacétique) utilisé dans l’Agent Orange contenait du 2,3,7,8-tétrachlorodibenzo-p-dioxine. Une fois de plus, il y a 4 chlores dans la molécule et 2 cycles de benzène (dibenzo-) et 1 cycle de dioxine (substance létale chez l’Homme). Pour certains, tout cela semble hermétique. Pour des chimistes organiques, il y a une claire présence de dioxine, une des substances les plus dangereuses pour l’homme. Des recherches démontrent que la dioxine a de forts effets de dégradation sur les systèmes endocriniens, nerveux

POLITIQUES La philosophie a ceci de particulier par rapport aux autres sciences sociales, c’est qu’elle n’a pas d’objet. La philosophie ne fait pas de progrès dans le temps. Dans le domaine technique par contre le progrès peut être mis en évidence sans difficulté. De fait, on ne peut apprendre la philosophie comme une autre matière. La philosophie sera plutôt un questionnement perpétuel. L’histoire de la philosophie est un vaste champ de bataille où les grands auteurs ne sont pas extrêmement nombreux

souffre fit certes de lui un conquérant. Mais à quel prix ? Le désir de gloire d'Achille ne l'a-t-il pas conduit à d'amers regrets ? Les désirs d'Alexandre l'ont conduit à sa propre perte : ils l'ont porté à ce point au-delà de lui-même, qu'il en est peut être même arrivé à une mise au carré du désir : il désirait le désir : il ne voulait pa conquérir pour dominer, mais conquérir pour conquérir. Que sont ces désirs infinis qui menacent de nous perdre ? Desiderare – est dé-sidéré, quitter les étoiles

Early Modern Political Theory – POLI 433 LA CONCEPTION HOBBESIENNE DU POUVOIR SOUVERAIN EST-ELLE VRAIMENT CONSISTANTE AVEC LE POUVOIR NATUREL DES HOMMES ET LEUR QUÊTE DE LIBERTÉ ET DE JUSTICE ? Mohamed Riahi 260483037 Dans le Léviathan, Hobbes tient à démontrer que son concept de Commonwealth permet la floraison des aspects civils des hommes tels que la liberté et la justice. Dans le texte qui suit, je vais m’efforcer à affirmer le contraire, nommément, que la conception hobbesienne du

Corrigé du BAC de Philo 2010 Filière S Sujet 1 : « L'art peut-il se passer de règles ? » Le sujet demande que l'on s'interroge sur les rapports entre art et technique, mais aussi entre travail et liberté. Il convient également de définir l'artiste, compris en tant créateur ou technicien ? Peut-on dire ici que la liberté de l'artiste s'oppose à toute règle ? L'art est fondé sur la liberté Afin de définir la notion de liberté, il convient tout d'abord de comprendre le terme de règle

communément acceptés dans les débats actuels à propos de la théorie de la liberté. Il existe, nous dit-on, une formule unique à quoi toutes les propositions intelligibles concernant la liberté peuvent se ramener. La prédominance de ce point de vue semble due, pour une bonne part, à l’influence d’un seul article devenu classique, celui de Gerald Mac- Callum intitulé « Liberté positive et négative 1 ». Chaque fois que la liberté d’un sujet est en ques- tion, soutient MacCallum, il s’agit toujours de

Dieu étant une abstraction pure il serait bien difficile d’en chasser l’idée de la tête des hommes. Quant aux maîtres autrefois facilement identifiables, ils sont maintenant « partout et nulle part », façonnant nos habitudes et nos modes de vie. On peut ainsi se demander si les hommes, éprouve l’indispensable besoin d’être guidés par des plus puissants. L'Homme a toujours cherché cette notion de liberté, où il pourrait faire ce qu'il souhaite sans contrainte, ni soumissions, ni servitudes

le dit, « ont cherché à donner mauvaise réputation au rire ». Et il juge Thomas Hobbes singulièrement coupable de ce crime, ajoutant qu’on ne saurait attendre d’un Anglais autre chose que l’attitude puritaine de Hobbes. Or il se trouve que l’accusation de Nietzsche repose sur une citation mal interprétée de ce que dit Hobbes sur le rire en philosophie. Cependant, Nietzsche avait sans doute raison de souligner que Hobbes (d’accord en cela avec la plupart des penseurs importants de son époque) considérait