Hobbes Un Pacte Social Pacte De Soumission

hommes comme aux animaux, Loi = ensemble des «  rapports généraux établis par la nature  » entre tous les êtres vivants pour leur survie commune) =/ Modernes et conception mécaniste (Loi = «  règle prescrite à un être moral → «  intelligent, libre  », social => que l'homme car seul doué de raison). Contradictions car principe «  métaphysiques  ». Il est impossible de comprendre et suivre la Loi naturelle sans être un grand philosophe. Juristes romains  : droit naturel + droit civil (propre

identité pure du droit et de l'état. État de droit, repose sur 2 principes fondamentaux : légalité, ce principe implique que les actes pris par les organes inférieurs de l'état sont subordonnés à la loi. Il limite donc le risque d'arbitraire. Et soumission de la loi à des principes supérieurs, principes contenus dans la constitution, mise en place d'un contrôle vérifiant la conformité des lois à la constitution. Idée d'une hiérarchie entre les règles de droit, entre les normes. (constitution >

la mesure de toute chose ». La cité et les lois de la cité sont des conventions : elles ont été créées par des hommes qui se sont mis d’accord. Critias « les Dieux sont des créations des gouvernants pour légitimer leurs pouvoirs et asseoir l’ordre social ». Ainsi pour les sophistes, l’homme ne peut accéder à la vérité, chacun a sa vérité en raison de ses sensations, l’homme est donc la mesure de toute chose, l’homme est l’unique juge de lui-même. Thrasimaque ou Calliclèse ont une conception très

LEGITIMITE ET LEGALITE CONSIDERATIONS (SUR LA LOI ET LA JUSTICE) A L'IMAGE DE DEUX GRANDS PROCES POLITIQUES Thèse présentée à la Faculté des sciences économiques et sociales de l'Université de Neuchâtel Pour l'obtention du grade de docteur ès sciences sociales Par Milena Mateva Acceptée sur proposition du jury: Prof. Franz Schultheis, Département de sociologie de L'Université de Genève, directeur de thèse Prof. Pierre-Henri Bolle, Faculté de droit de l'Université de Neuchâtel, rapporteur

solitude. Il n’y aurait plus de confiance ou de possibilité de contrat. L’exigence de sincérité ou l’interdiction de mentir apparaît ainsi comme fondamentale pour la cohésion sociale. Les hommes ont principalement entre eux un lien par la parole. Si la relation entre parole et vérité est détruite la possibilité d’une communauté sociale et rationnelle est elle aussi ruinée. Le respect des engagements pris et de la parole donnée apparaît comme une nécessité absolue. Pour un sujet authentiquement moral, la

Augustin, Saint Thomas d’Aquin (13eme siècle) manifestent une certaine souplesse, donc si le pouvoir politique est divin, dieu a laissé aux hommes la liberté de l’exercice de ce pouvoir, malgré cette position de souplesse, cette doctrine recommande la soumission au monarque et donc une interdiction d’agir violemment contre ce pouvoir politique malgré le fait qu’il soit injuste. C’est une position assez conservatrice. A- L’ORIGINE CONTRACTUELLE DE L’ETAT : La position de Saint Thomas d’Aquin est plutôt

pas moins de la loi civile. En tant précisément qu'il s'agit de règles morales, leur non-application par un sujet n'est pas sanctionnée par une peine. Elle peut entraîner le remords personnel du fautif et la désapprobation de son milieu familial et social, ou éventuellement lui faire craindre un châtiment divin. Le droit serait-il plus laxiste que la morale ? De fait, il ne réprime que les actes, et à condition qu'ils ne portent atteinte effectivement aux intérêts privés ou publics. Le mensonge, par

d’un accord entre les Hommes Ces thèses apparaissent au XVIème siècle, les sujets promettaient d’obéir et le roi s’engage à respecter un minimum de règles qui garantissent leurs libertés. Aménagé par les théoriciens du Contrat social (Hobbes, Locke, Rousseau) - Hobbes, auteur anglais né en 1588 et meurt en 1679. Auteur d’un ouvrage qui parut en 1651 Le Léviathan explique les origines de l’Etat, les hommes vivent dans un Etat de nature caractérisé par leurs désirs. Puissance uniquement par

Notez que l’on trouve cette même approche dans la vision de l’ancienne Egypte : les enfers y étaient le lieu où anéantir les forces du mal, c’est-à-dire les puissances de désordre qui menaçaient l’univers et qui portaient atteinte au Maat, l’ordre social et cosmique. Le mal, c’est l’au-delà d’une circonscription de l’espace qui sépare le monde des hommes de la sauvagerie. Il convient de se retrancher de cette région opaque par des gestes de sécession : ce sont ces retranchements que l’on observe dans

français par citée, citée au sens état, organisation politique souveraine, indépendante. C'est dans ce cadre de la polis qu'existe le citoyenneté. Le citoyen c'est le membre de la citée, l'homme qui appartient à la citée, la citoyenneté c'est le lien social qui existe entre le citoyen et cette communauté politique qui s'appelle la cité ou l'état, le citoyen est un homme qui car il est intégré à la communauté politique il est citoyen, à partir du moment où il est citoyen il reçoit des droits et des obligations