Hobbes Un Pacte Social Pacte De Soumission

Chapitre préliminaire: La finalité du droit. La finalité est double. Elle concerne les particuliers → instaurer la discipline sociale. La loi instaure un ordre sociale. Un autre distinction du droit, il a aussi pour finalité la réglementation de l'état. Le droit a vocation de régir particuliers et Etat. Le droit qui touche particuliers = droit privé et qui touche l'Etat= droit public. Cette division tend à disparaître. C'est un droit en gestation. Section 1: le droit réglemente les rapports

épistémè (cadre de pensée, conception du monde) du vraisemblable et non de la certitude. Ce qui est en rapport avec la science ne veut pas dire que c’est universel. Sa position ne contredit pas celle de Descartes, le sujet étant déjà au centre. 2. Thomas HOBBES (1598-1679) Il n’est pas un véritable empiriste, mais il a contribué à la pensée en voulant faire la synthèse entre le rationalisme et l’empirisme. Il part de l’expérience et y met du rationalisme. Caractéristique : il est le premier moderne à essayer

négationnistes, ils ne voient pas de relations internationales. Ils ne voient que les États et les RI qu’au travers des conflits. T. Hobbes est le fondateur de la souveraineté au 15ème. Il se demande comment imaginer une société pour les Léviathans, comment créer des règles ? Qui va gouverner le monstre lui-même ? N. Machiavel ou le « Florentin » : il ne rajoute rien à la théorie de Hobbes. Pour lui, plus on est perfide, plus on est autoritaire comme le Prince. L’État n’impose pas de contraintes tant qu’il règne

Paragraphe 1 : L’État phénomène volontaire et les théories du contrat social. Pour certains auteurs l'État est un phénomène volontaire. Les hommes créent consciemment l'État. Hobbes, Locke, Rousseau = contrat social (1762) ses théories ont été développée au 17ème et 18ème siècle. 
 Pour ces 3 auteurs, les hommes se sont associés de manière délibérés mais pour des raisons et sous des formes que ces auteurs analysent différemment :
 - Hobbes : dans le Léviatan écrit en 1651, il souligne qu'un accord est

_____________ 11 Chapitre 2 : __________________________________________________ 15 Le pouvoir bureaucratique _____________________________________ 15 A- le modèle Weberien : ____________________________________________ 15 B- Bureaucratie et domination sociale _________________________________ 17 C- Bureaucratie et domination politique ________________________________ 20 Seconde Partie_____________________________________________ 25 Compétition électorale et science du vote___________ 25 Chapitre 3

tard les Romains la notion d’état unitaire , il n’y a donc pas d’institutions des idées politiques étatiques , ils connaissent uniquement la cité, ce qu’ils appellent la « polis»  Chez les Grecs, la cité est à la fois une structure politique et sociale mais aussi une entité religieuse . C’est ce que l’on appelle le monisme antique c'est-à-dire que les habitants d’une cité sont également membres d’une communauté religieuse . Chaque cités à ses dieux tutélaires .Ainsi Socrate à été condamné

droit interne. Elle confirme enfin le lien sociologique donc nécessaire entre droit et société. Il en résulte que toutes sociétés a besoin du droit et tout droit est un produit du fait social (ubi societas ibi jus → où il y a une société, il y a du droit). Mais dans les rapports entre le droit et la société, le fait social précède en général le droit. Exemple : les manifestations des syndicats contre les réformes des retraites / la colonisation a été considérée comme une mission sacrée civilisatrice alors

concept clé de l'État moderne : la souveraineté, par laquelle le Prince peut édicter les lois et les abroger. Jean Bodin est cité par : Hobbes, Pufendorf, Locke, Rousseau, Kant  « La loi abroge la coutume et la coutume ne saurait déroger à la loi » 1762 : Rousseau, du contrat social Jean-Jaques Rousseau (1712-1778), écrivain et philosophe Pacte social  Donne existence au corps politique Donc Lois = actes de la volonté générale. Les relations État-Église : Un affrontement

Elle est distincte de l'indifférence qui est le fait de n'éprouver ni plaisir, ni douleur, face à ce que l'on perçoit. Il n'y a aucunement besoin de tolérance face aux choses pour lesquelles on n'éprouve pas d'émotion. Elle est distincte de la soumission qui est une acceptation sous la contrainte. Pour qu'il y ait tolérance, il faut qu'il y ait choix délibéré. On ne peut être tolérant qu'avec ce qu'on a le pouvoir (d'essayer) d'empêcher. Depuis ces dernières années, la tolérance est généralement

constitutionnel va les constitutionnaliser pour la plupart. Le sens profond n'est pas encore juridique mais philosophique. À partir de 1789 elle devient juridique et elle est consacrée par un texte en 1946 (avec une extension car droits économiques et sociaux). Ces droits doivent être garantis par des mécanismes de protection, par conséquent de loi il passent au rang de droits/libertés à valeur constitutionnelle. La notion s'est formée avec le temps. La formation historique de la notion comporte