Hobbes

est un mouvement philosophique qui naît d'abord en Angleterre. Il prend racine au XVIe siècle et s'épanouit principalement aux XVIIe et XVIIIe siècles. À l'origine, l'empirisme pouvait se concevoir comme un matérialisme (pour Francis Bacon et Thomas Hobbes), dans la mesure où il fut l'une des formes d'opposition à la scolastique, lors de la naissance de la science moderne (avec Galilée). Bien qu'empirisme et matérialisme aillent souvent de pair, il n'y a pas de lien nécessaire entre les deux (comme

constituaient la vie sociale médiévale. Le sujet de droit émergera ensuite, à partir de Grotius et plus nettement de Hobbes, comme « l’argument » permettant de dépasser cet antagonisme frontal entre la communauté souveraine et les différentes communautés intermédiaires. En effet, à propos de ces personnes civiles et collectives qui ne méritent plus pour lui « le nom d’Etat », Hobbes pourra affirmer : « ce ne seront pourtant pas de nouvelles républiques qui se formeront dans le corps de l’Etat, à

l’avènement du sujet pensant: l’individu juge et agit en fonction de son raisonnement et de son expérience; non plus sous le seul joug des usages et traditions. La comparaison entre Thomas Hobbes et John Locke montre quels changements interviennent réellement entre « l’Âge de Raison » et le « mouvement des Lumières ». Hobbes, qui traverse les trois quarts du xviie siècle, a entrepris de classer de façon systématique les émotions humaines, ce qui l’amene à construire un système rigide garantissant, par coercition

2. définition du pouvoir : conception substantialiste et relationnel La premiere : Un caractéristique, une qualité possédé par un acteur et le pouvoir dépend des qualités des moyens dont dépend un acteur. Elle est illustré par Thomas Hobbes : Le pouvoir d un homme consiste dans les moyens présents d obtenir quelques biens futur. Ici on s intéresse a la personne, ses attribues, ce qu elle possède on pout l opposer a la perspective relationnel du pouvoir Le pouvoir du policier est

individuels à l’origine de la communauté politique A. Le souci de préserver sa liberté et sa sécurité Le souci de nos propres intérêts semble bien être à l’origine de l’instauration d’une communauté politique. C’est du moins ce que nous montre ©HATIER Hobbes lorsque, dans le Léviathan, il nous décrit l’homme à l’état de nature. Si celui-ci est entièrement libre, c’est-à-dire qu’il exerce ses pouvoirs d’agir au maximum, et qu’ainsi il est à la recherche de sa propre satisfaction, la situation dans laquelle

mauvaise foi. - Malebranche, Recherche de la vérité, Livre V, ch. XI. · Angles d'analyse Il s'agit ici de mettre en cause les conséquences d'un discours sur la nature de l'homme. Nombres de théoriciens du droit naturel (tels que Hobbes notamment), on définit l'état de nature - et donc la nature même de l'homme dans son état le plus originel et originaire - comme règne de la violence. Mais, un tel discours sur une violence et une agressivité intrinsèque à la nature humaine, n'est

Il y a confrontation des désirs. L’objet va devenir non seulement le lieu de la mimésis des désirs, mais aussi le lieu de la concurrence et de la rivalité. Le médiateur n’est donc plus un modèle, mais un modèle-obstacle, un modèle rival. Thomas Hobbes dans le Léviathan rapporte le même constat que fait plus tard Girard : « si deux hommes désirent la même chose alors qu’il n’est pas possible qu’ils en jouissent tous les deux, ils deviennent ennemis ». L’importance du choix de médiation entre

empreinte dans la cire. - évidence du cogito aussi controversée car il y a une absence de remise en question, Descartes, s’il doutait de tout, pourrait douter de son propre cogito. - Thomas Hobbes  3ème objection aux Méditations Métaphysiques à la demande de Descartes objection de la promenade : Hobbes reproche à Descartes un glissement sémantique de « je suis pensant » à « je suis pensée ». Selon le même raisonnement, « je me promène » deviendrait « je suis une promenade ». II) La phénoménologie

paradoxale : la violence ne va-t-elle donc pas de soi dans le comportement humain ? Face à ce problème apparemment inextricable, car il fait appel à une certaine conception d’une « nature » humaine, Thomas Hobbes nous fournit à ce sujet l’une des meilleures réponses. En effet, pour T. Hobbes, ce qui caractérise l’homme est qu’il est un être de désirs. Or, la violence naît de la confrontation de désirs antagonistes des hommes entre eux. Autrement dit, l’homme n’est pas naturellement violent, il

peut acquérir des connaissances par les expériences vécues L.10 « vaine conception » : L.20 ce qui est faux = souvent les gens se sentent supérieurs car ils ont plus d'intelligence = 17eme s: c'est une preuve de l'égalité des hommes donc selon Hobbes les hommes ont des aptitudes égales parce qu'ils sont mus comme les autres êtres de la nature par une même loi : conatus c'est a dire que tous les hommes veulent pousser a leur propre intérêt même si certains se croient supérieurs en force physique