Hume Contre Descartes

Chapitre 1, paragraphe 14. Expression esthétique des Lumières. Tout dépend de la métaphysique dans la Lumières, s’approprient le domaine de la sensibilité, contre Diderot. On peut rendre compte de la sensation. = idée vient du XVIIIe. Projet de Descartes en 1749: donner une physique des passions. Contre l’ordre sensible de Diderot. Descartes réduit la sensation à la raison. Diderot étudie la sensation en tant que sensation et explore ses idées. L’idée des Lumières = explorer les sensations

entretenir de relation personnelle avec tous. C’est pourquoi parmi eux nous aimerons ceux vers lesquels nous pousse quelque secrète motivation, d’autant plus justement qu’elle est fondée sur les qualités de l’esprit et, par suite, réciproque. Descartes part d’un exemple personnel, ou censé tel. Il rapporte comment il s’est débarrassé d’une inclination, qui était si mal fondée qu’elle le portait irrésistiblement vers un défaut. Le ressort en était une association d’idées et il lui a suffi de la

philosophe est un penseur qui réfléchit sur le monde, l’homme et la condition humaine. Les plus illustres philosophes des Lumières sont, en France, Montesquieu, Voltaire, Diderot, Rousseau, d'Alembert, Helvétius, d'Holbach ; en Angleterre, Toland et Hume ; en Allemagne : Wolff, Lessing et Kant. Le philosophe des Lumières croit au progrès, il pratique le libre examen, il conteste la religion révélée. "La physionomie du philosophe se transforme : moins théologien, moins savant, il est, de plus en plus

la recherche de la vérité, la méditation sur le bien, le beau, la recherche du bonheur, du sens de sa vie. Par exemple, dire non aux apparences pour découvrir ce qui est derrière le monde sensible, « mettre de l’ordre dans ses pensées », d’après Descartes. Elle est ancrée dans le dialogue et le débat d’idée, et peut se concevoir comme une activité d’analyse, de définition, de méditation des concepts.(Plusieurs branches : métaphysique, épistémologie, esthétique, philosophie du droit… 2. Qu’est

d’émanations matérielles de l’objet perçu au sujet percevant, substitue celle de l’appréhension par ce dernier d’une « forme » impliquant un intermédiaire : la transparence, le diaphane. L’œil devient lumineux et coloré, alors que la cornée le protège contre les substances dont il reproduit la lumière et les couleurs. C’est donc la forme seule qui modifie les sens, un peu à la manière dont un cachet marque la cire de son empreinte sans y rien laisser de son métal. La lumière a été assimilée au feu, parce

de la nature humaine du philosophe David Hume, lecture jugée inconvenante à l’époque[7]. Choisissant une carrière universitaire, Smith obtient à l’âge de vingt-sept ans la chaire de logique à l’université de Glasgow et plus tard celle de philosophie morale. Cette institution est bien plus sérieuse que celle d’Oxford et le corps enseignant apprécie peu ce nouveau venu qui sourit pendant les services religieux et qui est de plus un ami déclaré de David Hume. Pourtant Smith devient relativement connu

des idées. 1) Les auteurs annonçant l’esprit philosophique au vers la Fin du XVIIème siècle : • Descartes, mettant en place le doute « cartésien » et la célèbre formule : « Cogito Ergo Sum » (« je pense, donc je suis ») • Blaise Pascal, exerce une influence importante avec l'idéologie. • Pierre Gassendi, choisit l'expérience en tant qu'arme pour rejoindre l'idéologie de Descartes. Il contribue au libertinage. • Montaigne • Charron, héritier des philosophes de l'Antiquité

Mauss il n’est pas moral mais social question d’où ça vient qu’on se sent obligé. Nous cherchons a sauver la face obligation réciprocité conduite font naitre en nous des sentiments et nous donnes représentations normatives ce que nous sentons selon Descartes c’est une idée source de nos sentiments réside dans les idées que nous concevons les impressions ne se comprennent que au moment où nous remontons au concepts qui s’y rend compte tous se passe dans l’âme dans l’esprit sources de nos conduites réside

être courageux peut s’avérer n’être qu’un lâche, par exemple), mais la pure conscience d’être, elle, est nécessairement vraie. Ainsi, Descartes, au terme de la démarche du doute méthodique, découvre le caractère absolument certain de l’existence du sujet : « je pense, donc je suis ». Cette certitude demeure, et rien ne peut la remettre en cause. Descartes fait alors du phénomène de la conscience de soi le fondement inébranlable de la vérité, sur lequel toute connaissance doit prendre modèle

croyait être courageux peut s’avérer n’être qu’un lâche, par exemple), mais la pure conscience d’être, elle, est nécessairement vraie. Ainsi, Descartes, au terme de la démarche du doute méthodique, découvre le caractère absolument certain de l’existence du sujet : « je pense, donc je suis ». Cette certitude demeure, et rien ne peut la remettre en cause. Descartes fait alors du phénomène de la conscience de soi le fondement inébranlable de la vérité, sur lequel toute connaissance doit prendre modèle pour