Hémoculture

des prélèvements. Une mauvaise homogéinisation des tubes : trop (risques d’hémolyse), pas assez (microcaillots de sang) 17. Voir page 11 et 13. Syst de prlvt ss vide ; prélèvement à ailettes, pratique pour oncologie, gériatrie, pédiatrie, hémoculture ; syst classique (seringue + aiguille) ; aiguille + tubulure (queue de rat) 18. Utilisation de micro lance, lancettes on met doigt et ça pique automatiquement (vaccinostyle avant), l’incision est rapide et stantardisée, on n’a pas de contact

passé une semaine dans le service, M. X montrait encore des signes importants de troubles cognitifs. L’équipe médicale a alors évoqué un éventuel syndrome de Korsakoff. De plus, M. X a présenté un épisode fébrile à son arrivée pour lequel des hémocultures et un bilan sanguin ont été réalisés. Le résultat de ces examens a montré une infection à entérocoque pour lequel un traitement d’antibiotique à forte dose a été prescrit (CLAMOXYL® : 15g/jour). Une partie des traitements médicamenteux de M

mes 6 Effectif 18 % conformité 33 33 33 83 61 − Examens biologiques nécessaires en présence de problème de capital veineux [15] 6 18 Prélèvements de Sang sur CCI − Documentation de l’infection liée à la CCI nécessitant des hémocultures appariées : CCI / Veine périphérique [17] Les 5 premiers ml de sang sont jetés [15] 6 18 15 18 Après le prélèvement, réaliser un rinçage pulsé par poussées successives de la CCI avec ³ 10 ml de sérum physiologique jusqu’à absence

L’examen bactériologique du crachat, techniquement simple, est grevé d’un pourcentage de faux positifs et de faux négatifs trop élevé en routine. Quant aux autres méthodes, elles ne sont rentables que dans des situations cliniques particulières (hémocultures au cours des pneumonies bactériémiques, prélèvement direct au sein d’un foyer septique extrapulmonaire), ou bien elles sont inconstantes, tardives ou trop onéreuses (méthodes immunoenzymatiques, sérodiagnostic, techniques de biologie moléculaire)

d’asepsie lors du prélèvement ? • Est-il possible de concilier qualité et efficacité du soin et protocole en tenant compte des contraintes économiques et de la charge de travail ? III. LE PROTOCOLE IV. CONCLUSION V. CAS PARTICULIERS : Hémoculture Don du sang VI. BIBLIOGRAPHIE VII. QUELQUES SIGLES AES BEH GERES VIH VHB HCV - Accident avec Exposition au Sang - Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire - Groupe d’Etudes sur le Risque d’Exposition au Sang - Virus Immunodéficience Humaine -

traitement. 4 Examens biologiques a Contexte aigu : colique néphrétique Prescription d'un bilan sanguin comportant NFS, plaquettes, ionogramme sanguin, créatininémie, CRP, auquel on peut ajouter des examens supplémentaires selon le contexte (hémocultures, ECBU). Le calcul doit être obligatoirement récupéré s'il est expulsé (le patient doit uriner dans une bouteille ou à travers une passoire) ou retiré lors d'une intervention, pour être analysé (analyse morpho-constitutionnelle). b À distance

coproculture au laboratoire. Surveillance de la température et du pouls. Voir l’expression du visage de l’enfant (yeux cernés, nez pincé, plis cutanés..) A poursuivre Hyperthermie (pédiatrie) Prescription de Dafalgan (40kg par 24 heures) Hémoculture pour surveiller les germes. Dafalgan (per os). Surveiller température bébé, de la chambre. On découvre le bébé. Faire prendre un bain à 2° en dessous de la température de l’enfant. Observer le comportement de l’enfant (observation

adéquates - Préparation, pose et surveillance de perfusion, calcul de débit - Préparation du patient pour différents examens - Préparation, administration des médicaments et surveillance de l’efficacité - Pansement stérile et non stérile - Hémocultures : préparation du matériel, exécution du soin - Pose d’une sonde à oxygène (ou lunettes) et surveillance - Injections en I.M. et I.V. - Mesure du liquide de drainage (drains, redons, aspiration gastrique) - Premier lever chez un patient opéré

natriurèse des 24 heures ; – évaluation de la fonction hépatocellulaire (TP, facteur V, albumine, bilirubine) ; – dosage des transaminases, de la gamma GT et de la phosphatase alcaline pour déterminer l’activité de l’hépatopathie sousjacente ; – hémocultures si suspicion d’infection spontanée du liquide d’ascite ou fièvre ; – bilan étiologique de la cirrhose. Ascite de la cirrhose Physiopathologie L’hypertension portale définie par une pression portale > 15 mmHg est indispensable au développement

Taux de prothrobine 80 à 100 % Temps de QUICK 12 à 14 s Fibrinogène 2 à 4 g/l LE GROUPE SANGUIN deux déterminations une recherche d’anticorps irréguliers Examens complémentaires (- 72 H) BILAN INFECTIEUX BMR ( 3 écouvillons) ECBU CBT Hémocultures PL Écouvillons sur plaie Liquides des drains L’ELIMINATION La surveillance de la diurèse Relevé des 24 h Oligurie < 400 ml / 24 h Anurie < 50 ml / 24 h Valeurs Adulte 1 l – 1.4 l / 24 h Nourrisson 60 – 80 ml/ Kg / 24 h Insuffisance rénale