Immanence

l’art-action qui implique politiquement l’individu, et l’art qui pénètre dans la vie quotidienne. Giovanni Lista (critique d’art spécialiste des avant-gardes du XXème siècle) écrit que « le caractère éphémère de l’art, que montrait Marinetti, prouvait son immanence à la vie ». Ce qui prouve bien cette capacité d’adaptation constante. On peut très brièvement rappeler que le futurisme dans sa première partie a su capter d’une manière nouvelle et avant-gardiste le monde voulu et construit par l’homme ; mais que

individualité n’est-elle pas déjà réalisée – ne suis-je pas, irréductiblement, moi-même (par quoi on ne comprendrait pas en quoi le travail pourrait m’aider à devenir moi-même)? Mais, réduite à l’irréductibilité de son être souffrant, à la pure immanence (immanence = réduite à un seul plan, par exemple celui – inexprimable – de ma douleur vécue) d’un sentiment non formé, la subjectivité est impuissance et pauvreté. C’est pourquoi sa forme extérieure – comme on le voit, là encore, chez le bébé - n’est

incompatibles avec le respect de la diversité et de la dignité humaine, De telles idéologies sont évidemment nuisibles, mais comme elles font appel à l’ego et à sa glorification, elles peuvent facilement substituer l’ordre transcendantal naturel par une immanence humaine et devenir “bonne”. Dans ce contexte, c’est l’Homme qui devient Dieu ce qui a pour conséquence que l’Existence analogiquement liée au savoir se confond avec l’Essence analogiquement lié à la Connaissance. Le langage symbolique n’a plus court

individualité n’est-elle pas déjà réalisée – ne suis-je pas, irréductiblement, moi-même (par quoi on ne comprendrait pas en quoi le travail pourrait m’aider à devenir moi-même)? Mais, réduite à l’irréductibilité de son être souffrant, à la pure immanence (immanence = réduite à un seul plan, par exemple celui – inexprimable – de ma douleur vécue) d’un sentiment non formé, la subjectivité est impuissance et pauvreté. C’est pourquoi sa forme extérieure – comme on le voit, là encore, chez le bébé - n’est

qu’élévation transcendante, pour que sa parole soit de plus en plus riche de sens pour l’autre, pour apporter dans sa relation avec l’autre de plus en plus de vérité, de profondeur et d’harmoniques, réalisant ainsi cette deuxième transcendance, ou cette immanence, découverte dans le désert par les disciples esséniens du Maître de Justice, et annoncée au monde par Jeshuah de Nazareth, la Transcendance qui naît de la rencontre de deux êtres humains qui se reconnaissent, qui s’acceptent comme tels, donnant naissance

le statut que l’on confère au membre de l'équipe, au bénévole, on reconnaît à celui-ci des pouvoirs : pouvoir de faire, de dire, de choisir, de décider… C'est le champ des situations dans lesquelles s'exerce sa responsabilité, son autonomie, son immanence. Une des caractéristiques de ces pouvoirs, c'est qu'ils sont octroyés par le Pouvoir englobant de l'autorité institutionnelle, et qu’ils restent toujours plus ou moins sous tutelle ; la relation affective n'étant pas ici le moindre des contrôles

incompatibles avec le respect de la diversité et de la dignité humaine, De telles idéologies sont évidemment nuisibles, mais comme elles font appel à l’ego et à sa glorification, elles peuvent facilement substituer l’ordre transcendantal naturel par une immanence humaine et devenir “bonne”. Dans ce contexte, c’est 4 sur 8 23/09/2010 18:57 7007-1 : Le Savoir et la Connaissance http://www.ledifice.net/7007-1.html l’Homme qui devient Dieu ce qui a pour conséquence que l’Existence analogiquement

d’accès direct à l’être B. La vérité-cohérence 1. Exposition - vérité-cohérence : établir la cohérence entre les différentes expériences, sensations - pas de fondement : circularité (pas nécessairement vicieuse) de la connaissance ; immanence 2. Difficulté - multiplicité des interprétations - mais on peut s’en tenir à une interprétation « minimale » - critique du relativisme : la réalité est une, donc la vérité est une - dire « à chacun sa vérité » signifie seulement

caractère. 1.2. Refus des notions de psychologie, caractère et situations. Le théâtre pour Brecht doit libérer les hommes et non pas les enchaîner à des personnages figés. Construire l’individualité du personnage donne une autonomie et une immanence : autonome car il n’a pas besoin des autres pour être ce qu’il est; immanent car il est ce qu’il est par lui-même. Cette individualité empêche le pont entre le personnage et le spectateur : « ça lui est arrivé à cause de ce qu’il est » n’oblige pas

rendue à l’immanence, à l’omnipotence et à la transparence. L’émancipation suppose le retour à l’unité de tout ce qui est séparé, le dépassement des oppositions par leur réconciliation, la pré­sence de l’essence dans l’existence : une parfaite immanence : une société reposant entièrement sur elle-même. Le retour des forces aliénées à leurs sujets créateurs et le dépassement de toutes les scissions qui font des hommes des êtres dominés par leurs propres créations impliquent que les hommes placent