Immanence

son intériorité, lui donnant le sens de son existence et lui échappe en partie; il va tendre vers l'intelligence, vers le sens du bien naturellement, mais il peut aussi rester sourd à cette voix intérieure et décliner dans l'ordre social, dans une immanence dominée par le vice et le désordre. Rousseau  attribue à l'enfant un être à l'égal de Dieu, une substance qui permettra la formation de la conscience morale,  à la différence de l'enfant, les hommes sont privés de  cet être étranger aux préjugés

réfèrera à Nicolaï (2003b, sous presse-a, b). 4 Comme s’il n’était pas partie prenante de ces phénoménologies. Comme si la description (le rendu compte) s’élaborait hors de toutes contingences, dans un espace idéal, lieu d’élaboration d’une raisonnable immanence dont l’existence nécessaire est ainsi postulée. Dans un espace où il « fonctionnerait », tel un passeur idéel, entre le monde des consommateurs de connaissance et celui des fabricants de realia à décrire. Journal of Language Contact – THEMA 1 (2007)

• Les déistes croient à un Dieu, souvent proche de celui des philosophes, qui n’interagit pas avec le monde et ne s’est pas fait connaître aux hommes. • Les panthéistes considèrent que Dieu est dans tout, dans la nature même des choses (immanence). • Les agnostiques pensent qu'il n'est pas possible de prendre position quant à l'existence ou non de Dieu. • Les athées ne croient pas en Dieu, considérant qu'il s'agit là d'une invention humaine. Voir la page d'accueil sur Dieu Dogme

être en projet. Transcendant : Ici, ce terme correspond à ce qui, à l’intérieur de la conscience, fait signe vers une réalité extérieure. Le transcendant conserve l’idée d’une rupture avec l’immanence de la conscience, mais il se donne dans cette immanence. 

niveau sonore: changement, armement. Enseignement renvoit à un paradigme de termes qui ont le même suffixe (-ement) Au niveau phonique: Enseignement peut renvoyer à la pure forme sonore: Clément, justement... 4.3. Le principe d'immanence Immanence vient de Immanere. Im-manere. Im = dedans. Manere = rester. Rester dedans. La langue doit être étudiée en elle-même, par elle-même et pour elle-même. - En elle-même : on étudie la langue pour la langue, sur l’axe synchronique (avec le temps

mystiques allemands ou même le Dieu d'une théologie positive, cet Être perpétuellement présent et immuable, qui est l'identité de l'être et du possible dans un être en acte, cette présence de l'éternel dans le temporel, on peut aussi l'appeler "immanence créatrice" à l'image du deus sive natura de Spinoza, la natura naturans dans la natura naturata, le créateur et sa création permanente. C'est tout le contraire dans la Philosophie première ! "L'opération absolue tient dans le moindre-être de

conversation. Mouvement centrifuge : la parole devient un champ. On a une certaine forme d’élévation, on se rapproche d’une compréhension idéale de l’univers. Mais, alors que chez Hugo on avait une transcendance, chez Baudelaire on a plutôt une immanence. On a chez Baudelaire l’idée d’une interaction dans les divers éléments de la nature, mais la révélation du poète ne passe pas par Dieu, mais par la nature elle-même, qui émet des signaux vers l’homme. Une fois que ces interactions sont perçues,

l’homme réel de la société civile. Cf J. Hyppolite (1955) : « L’homme réel, celui qui vit et peine, doit s’exprimer comme tel dans l’État, qui perdra alors son caractère transcendant. » Si l’État est exalté, face à la religion, c’est en raison de son immanence, opposée à la transcendance de cette dernière. L’émancipation de l’homme implique la destruction de la transcendance. Cf Écrits théologiques du jeune Hegel qui cherchent à détruire la transcendance du christianisme ; message purement immanent de

sur interpréter, mais elle est aussi capable de "donner du prix" aux choses contrairement à la raison. Chez les auteurs modernes (dès Hegel, Bachelard etc.), elle constitue une faculté positive et créatrice avec laquelle il s'agit de composer. IMMANENCE : dans le vocabulaire religieux, désigne la présence du divin et du sacré dans la nature environnante (panthéisme) ou dans l'humain (incarnation). IMMANENT : désigne ce qui intérieur à l'être ou à la pensée. IMPERATIF : chez Kant, l'impératif hypothétique

psychologues parlent de la résilience. Au terme de cette approche descriptive du désir nous remarquons l’ambivalence qui le constitue et de laquelle il s’alimente. A mi-chemin entre ouverture et adhésion, entre altérité et identité, entre transcendance et immanence, entre innocence et nécessité, le désir nous est apparu tributaire d’une double tendance paradoxale qui le conduit à n’être jamais satisfait. Rencontre des exigences et des penchants inhérents à notre accès au monde, il motive en entretenant la division