Immanence

contradictoires entre elles"53; de plus l' "affirmation fondamentale" de l'Islam selon laquelle l'Islam "ne peut s'améliorer et est définitif", est selon lui "absurde"54. Notes et références ↑ Foi en un seul Dieu transcendant, le panthéisme, immanence de Dieu, est considéré comme étant shirk ↑ Traité de croyance de l'imam Ahmad ibn Muhammad al-Tahawi ↑ La religion de Muhammad suit celle de Abraham ↑ Comment Abraham aurait-il pu être un "musulman", alors que le Coran n'était pas encore révélé

reste une simple miniaturisation du premier si l’on se contente de penser la règle comme un moule s’appliquant à une chose, à une pensée, à une pratique technique ou discursive. Les concepts de modulation et de minoration donnent alors à penser une immanence réelle des normes. Et c’est en ce sens que Deleuze reprend l’idée de Canguilhem de « normativité vitale », qui n’a rien à voir avec la création de nouvelles « règles » au sens prescriptif, mais avec la puissance pour un vivant, une pensée, une écriture

pas. On peut croire en des choses dont on sait qu’elles n’existent pas (fantôme). La première question est de voir ce que dit un croyant quand on lui demande ce qu’il croit. Il dit qu’il adhère à des raisons du monde dans lequel il distingue une immanence et une transcendance. Il possède une conviction de l’existence de cette transcendance sans pour autant en avoir une certitude. Cette fi constitue une des dimensions de son identité (pour lui-même et pour les autres). Cette croyance l’amène à se représenter

il est utile d’avoir à l’esprit une vision globale des grandes classes d’entités abstraites. La typologie proposée par Asher [4] a le mérite d’offrir une classification générale, ordonnée selon une échelle d’abstraction (scale of world immanence) qui se fonde sur les propriétés spatio-temporelles et causales des entités. 9Bach [6] rassemble les événements et les états sous la notion d’éventualités (eventualities). Asher reprend cette généralisation comme la branche de son ontologie

Alltäglichkeit — sur laquelle règne le On constitue ce mode d’être dans lequel le Dasein est lui-même de manière indifférenciée. Or le mot ne sous-tend aucune appréciation, sinon un souci de situer l’analytique existentiale dans le champ de la plus stricte immanence. Peter Sloterdijk a beau dire que « l’ontologie existentiale qui traite du On et de son Dasein dans la quotidienneté essaie quelque chose qui ne serait pas venu, même en rêve, à l’esprit d’une philosophie antérieure : faire de la trivialité un objet

Journal -1939-1949. Paris, Gallimard, Coll.« La Pléiade ». GENETTE, Gérard. (1972) Figures III. Paris, Seuil, Coll. “Poétique”. GENETTE, Gérard. (1991) Fiction et diction. Paris: Seuil, Coll. “Poétique”. GENETTE, Gérard (1994) L’oeuvre de l’art, immanence et transcendance. Paris, Seuil, Coll. “Poétique”. GREIMAS, A.J. (1970) Du Sens, Paris, Seuil. GREIMAS, A.J.; COURTÈS, J. (1979/1986) Sémiotique. Dictionnaire raisonné de la théorie du langage. t. 1 et 2, Paris, Hachette, Coll. «Hachette Université»

confère à l’homme un pouvoir divin. De pouvoir spirituel qu’il était, l’argent devient un pouvoir religieux, et devient la religion du monde aliénée. En d’autres termes, avec l’argent, tel Faust, l’homme perd sa matérialité, son historicité, son immanence : il s’oublie comme homme pour se penser lui-même comme dieu. L’argent devient la métaphore de la religion elle-même, comme puissance universelle d’aliénation, comme retrait de l’homme hors de l’histoire. Avec l’argent, l’homme peut se croire

essence) et formant le fondement du monde phénoménal ; elle pose des structures duelles du réel : être/devenir, transcendance/immanence,essence/être, apparence/être.) » (FEH, p. 36) Pensée statique (entité/objet/étant)alors que les autres ontologies sont processuelles. Pensée discrète qui fonctionne selon des oppositions : matériel/spirituel, être/devenir, transcendance/immanence, essence/existence etc. Mais : l’ontologie n’est pas un trait culturel universel : il existe des cosmologies sans ontologie

Modernité dispose de ses propres critères de définition, elle n’a nul besoin de catégories de pensées qui pérennisent une substance théologique. Dès lors, toute théologie politique est frappée d’illégitimité, de façon symétrique à la délégitimation des immanences modernes par la théologie politique de Schmitt. Ce faisant, se pose la question du statut philosophico-politique de la Modernité selon Blumenberg. Ne s’agit-il pas pour le philosophe, de la Modernité libérale que n’a cessé de fustiger Schmitt 

une pluralité constitutive et rappeler que cette pluralité, et l’universalité qu’elle annonce, ne se manifestent que localement, dans la perspective de cultures toujours particulières : étrange mais irréductible relation de complémentarité entre immanence et transcendance ! Enfin, l’idée de contingence va de pair avec ce fait de première importance : « ma » culture, cette culture en et par laquelle j’ai le pressentiment d’un universel qui vaut comme l’horizon d’une promesse de paix et comme un recours