Indifférence Morale

dispose ainsi l'intérieur. de ma pensée, d'autant plus librement j'en fais le choix et je l'embrasse : et certes la grâce divine et la connaissance naturelle, bien loin de diminuer ma liberté, l'augmentent plutôt et la fortifient. De façon que cette indifférence que je sens lorsque je ne suis point emporté vers un côté plutôt que vers un autre par le poids d'aucune raison, est le plus bas degré de la liberté, et fait plutôt paraître un défaut dans la connaissance qu'une perfection dans la volonté; car

7 novembre 1913. Eduqué en partie par un oncle anarchiste et voltairien, il découvre, adolescent, Nietzche, philosophe qui prône le nihilisme et dénonce l’absurde du monde. Journaliste, il s’engage dans la résistance et poursuivra ses combats moraux après guerre. Son œuvre commencée avant guerre est constituée de romans, essais, articles et pièces de théâtre dont plusieurs font partie du « Cycle de l’Absurde »; Il reçoit le prix Nobel en 1957 et disparaît en 1960 dans un accident de voiture

est tirée du livre VIII des Fables de La Fontaine, fabuliste du XVIIème siècle, écrit en 1678. Les fables sont des courtes histoires teinté d’humour. Elles ont pour but de distraire le lecteur tout en l’instruisant. Elle est souvent composé d’une morale, explicite ou implicite. L’Âne et le Chien est une fable qui a pour thème l’entraide envers les autres. Lecture du texte Nous allons maintenant nous demander, en quoi cette fable est-elle un texte argumentatif efficace ? En première partie, nous verrons

vertu, mais elle vaut toutes les autres, c'est la sensibilité. Or, combien peu d'hommes la possèdent ! Combien peu d'hommes compatissent aux misères d'autrui autrement qu'en théorie et dans de beaux livres ! Chez la plupart, quelle dureté, quelle indifférence pour tous les maux qui ne les touchent pas ! Combien en est-il qui n'ont d'autre aumône à donner à celui qui leur tend la main, que ces mots jetés du haut de leur! Morgue stoïque : Travaille, paresseux ! Il ne faut pas encourager le vice et l'oisiveté

Camus Sujet : Meursault est-il un homme détestable ou quelqu’un qui fait pitié ? Justifiez vos réponses en vous basant sur le roman. Meursault, le personnage principal et mystérieux de L’Étranger d’Albert Camus, ne se conforme pas aux canons de la morale sociale, et semble étranger au monde et à lui-même. Il se trouve condamné à mort parce qu’il n’a pas suivi les règles de la société dans laquelle il vit. C’est un homme qui agit selon ses pulsions, mais qui n’y attache pas d’émotions. C’est un homme

la pensée peut être privée, intime, elle peut s'effectuer du fort intérieur, discours de l'âme avec elle-même. La pensée que nous soutenons librement en nous-mêmes connaît-elle des limites?Sommes nous en droit de penser n'importe quoi? Limitation morale de la pensée par elle-même, limitation psychologique (par des obstacles extérieurs dont nous n'avons pas conscience). I. Qu'appelle-t-on penser? A. Définition: sens large (acte de cs), sens strict (utilisation de sa raison, méditation, interrogation

la mort de chloé « elle ne sentait plus rien » ; « chloé est morte » 2. indifférence des autres, bassesse violence => pas de respect : comparaison + verbes d'action : « ils la saisirent et s'en servant comme d'un bélier la précipitèrent par la fenêtre » cruauté. Brutalité => absence de violence morale : verbe d'action « brisa la jambe d'un enfant », « on le repoussa contre le trottoir et ils la hissèrent » outrage moral et physique : comparaison « sauvage » connoté à l'absence de civilisation :

 la question est de savoir quelles relations l'argent entretient avec la morale. Analyse de la structure du texte : Le texte se compose de 3 grands mouvements : une introduction (§1 et 2, jusqu'à "hiérarchie des  vertus" ligne 14) qui pose la question du rapport de l'argent avec la morale, une première partie  (jusqu'à "en vue du résultat" ligne 48) qui énonce la thèse adverse, à savoir que l'argent est "au­delà"  de la morale (donc, il n'a pas d'odeur), puis une seconde (jusqu'à la fin du texte) qui explicite la 

indifférent au monde et en vivant des sensations élémentaires. Il ne se faisait pas d'allusions sur les valeurs consacrées comme la mort, le mariage, l'honnêteté. Au fond, il se comportait comme si la vie n'avait pas de sens, il était en-dehors d'une morale, comme si il n'y avait pas de références. Il n'avait pas pris conscience de l'absurde tout en vivant dedans. Il était prisonnier du meurtre. Tout commence, dans la mesure où Meursault découvre l'absurdité de son rapport avec le monde lors du procès

dispose ainsi l'intérieur. de ma pensée, d'autant plus librement j'en fais le choix et je l'embrasse : et certes la grâce divine et la connaissance naturelle, bien loin de diminuer ma liberté, l'augmentent plutôt et la fortifient. De façon que cette indifférence que je sens lorsque je ne suis point emporté vers un côté plutôt que vers un autre par le poids d'aucune raison, est le plus bas degré de la liberté, et fait plutôt paraître un défaut dans la connaissance qu'une perfection dans la volonté; car