Instruire Le Lecteur

les sources antiques (Esope ; Phèdre ; Ovide). Il n’a pas inventé les Fables genre narratif mineur de l’antiquité mais de les avoir mise en vers et de leurs avoir données une dignité de genre majeure. Le Classicisme : PLACERE et DOCERE, plaire et instruire. C’est la rencontre d’un idéal morale et d’un idéal esthétique, le Beau au service du Bien. L’esthétique classique, c’est le respect des règles, la simplicité, l’ordre : c’est la symétrie, la lumière, la raison (Jardin du Château de Versailles :

explique de façons négatives les valeurs que la littérature donne dans le monde actuel. La littérature a autant de valeurs positives. Certains auteurs veulent instruire le lecteur, comme avec Les Fables de la Fontaine, il cite une morale au début puis la reprend vers la fin. Son but, en effet, est de ‘plaire toujours’ pour mieux instruire. La lecture sert aussi a éduquer les écrivains, un écrivain peut utiliser des méthodes de Boris Vian ou Emile Zola car ses auteurs ont laissé des traces pour que

Depuis des siècles, les écrivains cherchent à instruire leurs lecteurs par le biais de leurs œuvres. Pour transmettre leurs idées, certains écrivains préfèrent utiliser des personnages et des situations imaginaires, ayant ainsi recours à la fiction. L’argumentation indirecte permet une réflexion sur différents sujets au moyen de récits fictifs. Dès l’enfance, elle fait partie intégrante de l’éducation lorsque celle-ci a recourt à la fiction et aux personnages inventés pour faire passer un message

alors nous demander comment Molière propose-t-il un divertissement total au service de la réflexion. Tout d’abord, nous verrons comment le dramaturge propose une pièce entièrement divertissante pour les spectateurs et lecteurs, puis nous expliquerons comment il cherche à instruire grâce au divertissement (« placere et docere »). Molière veut proposer un véritable divertissement et faire rire grâce à la comédie et au spectacle. En effet, il met en place des actions typiquement comique

d’instruire les gens. Dissertation : En 1668, Jean de La Fontaine publie son premier recueil de fables. Il fut dédié au Dauphin, le fils du roi Louis XIV. Le célèbre fabuliste du XVIIème siècle écrit aussi cette phrase : « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes ». La question que nous nous poserons sera de savoir si les fables qu’il écrit remplissent cet objectif. Tout d’abord, nous parlerons du fait qu’out d’abord, nous parlerons du côté plaisant de la fable. Puis, nous aborderons la morale

humanisme, classicisme, Lumières - Genre du texte : utopie, dialogue, pamphlet, article de l’encyclopédie, discours, lettre, conte philosophique, fable, apologue, portrait - Critique directe ou indirect - Écriture plaisante qui vise à divertir ou à instruire (placere ou docere) - Convaincre, persuader ou les deux - Marques de la subjectivité (texte engagé, présence de l’auteur …) - Présence du destinataire - Double énonciation - Pronoms - Questions rhétoriques - Interjections, impératifs - Registres

moins profond. D’une autre part, la poésie peut réussir à instruire le lecteur. Pour cela l’auteur doit créer un cadre spatio-temporel crédible : le lecteur doit pouvoir s’identifier dans les paroles du poète. C’est en général grâce au message qu’a voulu faire passer l’auteur ou à la morale de l’histoire que le lecteur peut réussir à tirer des conclusions, s’instruire, se remettre en question. Suite à cette remise en question le lecteur pourra en tirer des leçons qui pourront l’aider pour sa vie

les invite à lire les fables d’Esope qui, sans utiliser de tournure poétique, pourraient leur paraître très compréhensible. Ainsi, les fables se complètent pour aboutir au but principal : instruire. Rousseau (déstabilisé): En bref, je disais que la forme de vos fables pouvait induire en erreur les jeunes lecteurs mais il reste avant tout le contenu. Les leçons que vous apportez aux enfants avec vos fables sont trop compliquées pour leur âge, ces leçons peuvent aussi être injustes pour la jeunesse

Ainsi lalittérature, peut-elle expliciter efficacement ce qu’est le pouvoir, la réalité, et y porter un regard critique ? Cette littérature devient donc une argumentation sur le pouvoir. Elle permet d’offrir unregard neuf et la compréhension au lecteur, grâce au genre de l’apologue, mais aussi par le théâtre et sa mise en scène. Enfin l’essai offre une approche différente des deux autres genres. La littératurepermet également d’agir, de critiquer et de s’opposer au pouvoir, ainsi la philosophie

fiction. C’est le cas notamment du fabuliste Jean de La Fontaine qui l’explicita dans sa fable « Le Lion et le chasseur » en affirmant « Une morale nue apporte de l’ennui/Le conte fait passer le précepte avec lui/En ces sortes de feintes il faut instruire et plaire. » Ainsi il expliquait sa préférence pour l’apologue pour présenter ses idées. Aussi on retrouve ici le principe fondamental du Classicisme : plaire tout en instruisant. L’apologue est un récit bref qui divertit tout en instruisant et ayant