Instruire Le Lecteur

monde des hommes b) Conte écrit : * Inspiré des contes oraux. * ≠ conte de fée ou de littérature exclusivement enfantine. * Fantaisiste et invraisemblable. * Emerveiller le lecteur. * Edifier le lecteur (syn. Edifier : Renseigner, Instruire) * Effrayer le lecteur. * Amuser le lecteur. 3) Origine : * Depuis la Renaissance, il fait l'objet de réécritures, devenant aussi au fil des siècles un genre écrit à part entière.

Et je trouve que le message que LF cherche à délivrer se transmet bien au lecteur puisque le fabuliste raconte une histoire qui passe par les sentiments. Mais si cela est rendu possible c’est avant tout grâce à la qualité rédactionnelle de La Fontaine qui est exceptionnelle et sa maîtrise est de fait presque inégalée. Le recueil

Sasha Laussel 4 Février 2021Dissertation Les Fables de La Fontaine font partie du patrimoine littéraire français, voire mondial. Regroupées dans trois recueils comprenant deux cent quarante-trois fables allégoriques publiées par Jean de La Fontaine entre années 1668 et 1694. La plupart, inspirées des fables d’Ésope, Babrius et Phèdre, mettent en scène des animaux anthropomorphes et contiennent presque systématiquement, une morale explicite ou implicite

humaniste qui a pour but d'éduquer les esprits, nous pose la question du rôle du rire dans l'éducation que son œuvre nous apporte. nous allons donc d'abord nous pencher sur le rire, ressort essentiel du roman et sur comment s'en sert il pour nous instruire et nous éduquer, qui est l'objectif de Rabelais.pour commencer le rire est en effet un ressort essentiel du roman, son personnage principal : Gargantua

c)la participation du lecteur -humour -realiste (indice situtat° social des perso) -systeme de l'analogie (loup seducteur) rend le lecteur -merveilleux actif → lui meme qui tire l'enseignement du conte -tragique

richesse de la nature… humaine La morale n’est pas toujours exprimée : quelquefois elle est implicite : il faut la déduire. C’est le cas de la Fable « La Cigale et la Fourmi ». L’absence de morale clairement exprimée invite d’autant plus le lecteur à réfléchir, à se poser des questions . La Fontaine n’a pas inventé le jeu des emblèmes1 où chaque animal représente une caractéristique humaine : déjà, au Moyen Âge, le renard incarne la ruse. Aussi, c’est un véritable bestiaire2, cent vingt-cinq

La fable est un court récit écrit plutôt en vers sa visée première est didactique, et c’est le choix de l’argumentation indirecte qui sert cette visée : « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes », dit La Fontaine dans la fable liminaire du premier recueil, adressée au Dauphin. L’apologue est-il une arme de contestation efficace ? Nous dégagerons tout d’abord les atouts pour ensuite montrer les limites de art de convaincre. Et finalement nous étudierons le rôle de la littérature. L’apologue

et l’aisance y est . De cette façon, l’intérêt des lecteurs est sans cesse réveillé. De plus, je tente de créer un cadre paradisiaque marqué par un léger exotisme afin de dépayser mes lecteurs et de les charmé par des aventures merveilleuses. Ainsi j’applique le concept de plaire et instruire. Par ailleurs, bien que l’essai se rattache au registre didactique, le conte philosophique s’ouvre à différents registres et attire l’attention du lecteur. Par conséquent, le conte philosophie vise un public

type d'une classe sociale qui conduit à une satire, souvent virulente, du monde de l'époque. C'est ainsi que dans cette fable, le fabuliste dénonce la corruption de la Cour et les abus du pouvoir royal. 1er axe : Un double objectif : Plaire et instruire. La Fontaine est un conteur, les personnages de ses contes sont des animaux, qui sont caricaturisés (ex: "Chétif hôte des bois" (vers 33) ou (vers 13-14) "son antre"). Le texte est organisé en 5 parties qui correspondent à une vraie petite comédie

utilisant des procédés de simplification. La méthode est inductive. En ayant recours à un récit imagé qu'il faut interpréter, le lecteur est conduit du particulier au général, du concret à l'abstrait. L'apologue est également une méthode imagée où le comparant est découvert et explicité alors que le comparé est laissé à la sagacité du lecteur. On attend du destinataire une lecture active, puisqu'il participe à la construction du sens, en décryptant le sens les allégories