Instruire Le Lecteur

précisés, se situent dans des pays exotique (ex : en orient pour « Les milles et une nuit ») ou encore dans des lieux imaginaires. Le thème de « l‘ailleurs » est propice aux aventures du héros et fait rêver car il ne fait pas parti du cadre direct du lecteur européen. On retrouve aussi des éléments tels que les châteaux ou palais qui se rapportent en général au conte et au statut social des personnages habituels du conte. - Le temps : le temps est rarement précisé car il doit rapporter à une époque

24, 25, 26Eléments d’introduction : Rappeler que La Bruyère est un auteur et moraliste du 17ème siècle vivant à la cour de Louis XIV. Les Caractères (1688) est un recueil de « remarques » comme aime à les appeler son auteur qui vise à peindre et instruire les hommes. Il s’est inspiré en cela de l’auteur grec Théophraste. Là, nous sommes dans le livre 11 intitulé « de l’homme ». Il faut donc faire le lien avec le parcours « peindre les hommes, examiner la nature humaine ». Le texte est singulier car

important d'utiliser le plus souvent possible des mots de transition (fascicule p. 18) pour indiquer au lecteur dans quelle partie il se trouve. - Laisser un espace entre les différentes parties. [Présentation] “Le Loup et l'Agneau” de Jean de La Fontaine est une fable versifiée, issue du mouvement du classicisme en France sous le règne de Louis XIV. La Fontaine écrit ses Fables pour instruire le jeune dauphin; son but avéré était donc de plaire en instruisant. [Situation] Ce poème appartient

guerre, chevaleresque, héroïque Tragique : Homme face à la mort, à la fatalité. Lexique du désespoir. Pathétique : Lexique de la souffrance pour susciter la pitié Polémique : Dialogue, discours agressif -> sujet d’actualité Didactique : Instruire, conseil au lecteur Fantastique : Réalité qui bascule dans l’étranger Réaliste : Dominante descriptive, précisions spatio-temporelles Lyrique : Exaltation des sentiments personnels - Caractériser le mouvement auquel appartient le texte XVI – 1500

inconvénient à l’une ou à l’autre forme de récit et il était délicat de conclure ! Dans tous les cas, il va de soi qu’il fallait exclure des arguments toutes les considérations liées au fait qu’il existe des lecteurs inexpérimentés ou qui n’aiment pas lire : une dissertation littéraire, en effet, suppose un lecteur compétent. Les auteurs n’écrivent pas vraiment pour les autres. Lla fable, depuis l’Antiquité, est plutôt destinée à développer des exemples, délivrant ainsi des leçons de morale pratique, d’art

d’Arrias. La Bruyère en emploie une : « Il a tout vu, tout lu ». Le lecteur doit avoir un second degré assez aiguisé pour comprendre toutes les ficelles de l’humour utilisé par l’auteur. Voltaire utilise la naïveté de son personnage principal » Candide ». L’ironie est une argumentation par l’absurde, qui tente de séduire le lecteur par un appel à son intelligence. L’essai appartient essentiellement au registre didactique : instruire, transmettre un savoir (lexique de la pédagogie, tournures de l’ordre

Le roman est, de tous les genres littéraires, celui qui connait le plus grand succès auprès des lecteurs. Aussi croisons-nous souvent des gens plongés dans la lecture d’un roman, à la terrasse d’un café ou dans ou dans les transports en commun. Il est naturel de s’interroger sur les rôles du genre romanesque. Quel est l’objectif poursuivi par les romanciers ? D’après un critique littéraire, « la fonction essentielle du roman est de susciter l’évasion, le rêve ». En 1670, le philosophe Blaise Pascal

reflet de son corps « repoussant ». Ensuite la réflexion passe par deux techniques différentes d'argumentation. Dans La Belle et la Bête l'auteur se sert des sentiments des lecteurs et plus précisément du registre pathétique en s'apitoyant sur la « si bonne » mais « si laide » Bête. Il tente donc de persuader le lecteur à travers son récit. Au contraire dans le second extrait, Montaigne utilise la raison, la logique pour convaincre de la pertinence de sa thèse. Il agit en décrivant d'abord le

précurseurs tels que Ésope et Phèdre, l’apologue est, par définition, un récit court de visée argumentative à morale implicite ou explicite. Ce genre littéraire fut reprit de nombreuses fois, notamment pendant le classicisme, où la devise de plaire et instruire ne pourrait être plus adéquat au genre. Ces apologues sont, cependant, sujets de nombreux débats sur leur forme mais surtout sur leur impact sur la société, qui est largement discutable. Pensez-vous que la littérature, notamment sous la forme de

découvrir El Dorado, un monde merveilleux, parfait, où règne le richesse, l’abondance, le bonheur. -Voltaire ne fait pas une analyse du fonctionnement de la société, il ne présente pas un modèle mais guidé par Candide et Cacambo et leur naïveté, le lecteur va de découverte en découverte. -Il ne nomme aucun défaut de la société du 18° mais dénonce en citant ce que voit les héros : pas de mendiants dans les rues, les femmes ont la même place que les hommes,… -Voltaire utilise l’exagération du merveilleux