Intolerance Religieuse

bonne organisation de la société. Elle ne peut donc plus être considérée comme une lubie humaine ou philosophique, la dimension religieuse rend sa nécessité incontestable. La raison est donc bien présente dans les écrits philosophiques, les philosophes la rendent nécessaire de par son association avec la notion de liberté et, indiscutable de par sa dimension religieuse. Le philosophe ,lui-même, applique et respecte cette faculté;c'est d' ailleurs elle qui lui apporte sa rigueur ainsi que son esprit

Si pour Descartes la raison est la chose la mieux partagée, la négation d’autrui est le sentiment le plus commun à cet ensemble que l’on appelle, un peu pour masquer la réalité, humanité. Intolérance, tu es haineuse. Et tu ne portes pas en toi que le racisme. L'homophobie, la misogynie, l'intolérance religieuse, ou même sociale... Autant de tes formes qui font ce que tu es, pour nous, aujourd'hui. Est-ce la différence qui t'effraie ? As-tu donc peur de la diversité humaine ? Et tu es combattue

Prière à Dieu - Voltaire Fait référence à Jean Callas (Protestant tué) Condamné à mort = symbole de l’absurdité religieuse Catholicisme => religion de la France Voltaire obtiendra la réhabilitation de Callas quelques années plus tard Arguments économiques, morales, politiques et religieux Tout le monde peut relever la parole de Dieu sans intermédiaire Forme du texte: discours/ prière. adresse à Dieu (étapes d’un traité) Problématique: Nous montrerons que cette pièce chrétienne est bien

raison contre la superstition, l'ignorance et l'intolérance. Les philosophes croient au progrès qui pourra apporter à l'humanité le bonheur et la paix. Les thèmes des Lumières. - La critique religeuse : L'Eglise officielle est dénoncée par son intolérance. Les philosophes sont soit théistes c-à-d qu'ils croient en un Dieu unique mais refusent le cadre institutionnel et rituel des religions, soit déistes c-à-d qu'ils croient en un principe créateur de l'univers, peu sont de véritables athées. - La

faire l’histoire de l’intolérance et souligner la contradiction entre la doctrine chrétienne et le dogmatisme fanatique. Le traité est donc un texte philosophique et de circonstance, emblématique du combat des lumières en faveur de la tolérance, religieuse. Cet extrait est la fin du traité, qui se termine par un texte en forme de prière à Dieu – l’extrait est donc la fin du traité – dans lequel Voltaire, faisant mine de s’adresser à Dieu s’adresse en fait aux homme pour les exhorter à la tolérance

des inégalités de la société. On pourrait donc affirmer que dans cette œuvre, Voltaire dénonce les sources du mal. Ainsi à travers le long voyage de Candide, Voltaire pointe du doigt, les inégalités sociales. Il établit un portrait des autorités religieuses et de leur immoralité, et met aussi en évidence l'influence négative du rang social et de l'argent sur l'homme. Dans un premier temps, Voltaire présente la vie heureuse de Candide dans le château du baron de Tuner Ten Tronckh : « Monsieur le baron

Le siècle des Lumières : Après l’importante stabilité politique et religieuse du XVIIe siècle, le XVIIIe siècle apparaît comme une période d’intense fermentation intellectuelle. Les Lumières désignent un mouvement intellectuel européen : il s’agit des « lumières » de la raison, que l’homme doit pouvoir exercer librement pour accéder à une totale indépendance intellectuelle, morale, spirituelle. L’Angleterre fait figure de modèle par son régime politique et l’étendue de ses libertés. Le mouvement

despotisme passe par la constatation navréé de l'avachissement des Parlements et de la confusion des pouvoirs. Au contraire, l'éloge des Troglodytes, bien que cantonné dans l'utopie, propose un idéal démocratique basé sur la vertu. Religion et intolérance : Montesquieu, à travers les Lettres Persanes, roman épistolaire paru en 1721, décrit les modes de vie de la population Française, ainsi que ses coutumes et ses croyances. A travers tout ce roman, il fait passer la plupart de ses idées à travers

| LIVRE IV, chapitre 8 : 1) Les premiers gouvernements furent des théocraties où les dieux étaient les maîtres et où le pouvoir était confié aux autorités religieuses Différentes religions apparurent alors. En effet, deux peuples qui s’opposent ne peuvent pas être dirigés par le même maître. Chaque nation avait donc sa religion et donc ses dieux. Le pouvoir de ces dieux d’appliquaient à l’intérieur de la nation

catastrophes naturelles, intolérance religieuse, esclavage et bien d'autre encore). Il s'agit de réfuter la formule optimiste initiale par une vérification expérimentale. ( La théorie du meilleur des mondes ne justifie pas l'existence du mal. C'est l'optimisme borné qui est mis à l'épreuve. Au fur et à mesure du récit, Candide se détache progressivement du credo optimiste clamé par son mentor. Le voyage favorise aussi une quête humaine : Candide découvre des pratiques religieuses, des institutions