Intériorité Esprit

intentionnalité désigne la nécessité où la conscience se trouve d'exister comme conscience d'autre chose que soi toute conscience vise un objet, pour en appréhender le sens. Le mythe de la « pure vie intérieure » La conscience n'est pas intériorité pure et simple, elle se définit par son intentionnalité = visée transcendante, alors l'intérieur n'est précisément que l'extérieur. L'intériorité n'est rien sans l'extériorité. L'idée de perception sensorielle Les connaissances que l'on

partout, comme on le pense ? Ne serait-ce pas un « collectif, dans lequel les animaux et les plantes ont une organisation sociale » ou un autre « collectif dans lequel plantes et animaux font partie d’une totalité qui inclut aussi des divinités et des esprits ». Alors notre façon de classer les choses et les sociétés ne serait autre choses que notre choix porté sur le monde, un axe qui ne démontrerais autre chose que la façon dont nous avons regardé l’objet de notre recherche Quelques référents HAUDRICOURT

Voltaire en baignant dans un milieu bourgeois, à ses 24 ans, suite au succès de sa première tragédie philosophique, Œdipe. C’est chez les jésuites qu’il reçoit une solide éducation littéraire. Il se fait connaître pour divertir la haute société de son esprit mordant et abandonne vite ses études pour se consacrer pleinement à la littérature. C’est grâce au succès croissant de ses œuvres qu’il se fait connaître à la cour. Contexte de la publication : La première publication de Zadig de Voltaire s’effectue

nous pouvons généralement douter de toutes choses..." en l'absence de fondements assurés. Il en expose brièvement la fonction - il nous délivre de nos préjugés; - il accoutume notre esprit à se détacher des sens; - il rend possible une inébranlable certitude.   b) Le titre Il met l'accent sur l'objet du doute : "Des choses que l'on peut révoquer en doute"  

n’est seulement poésie. J’ai en vue une analyse spectrale qui en isolerait le rayon parmi des réfractions différentes. Et, certes, je viens déjà de le reconnaître, rien n’apparaîtra de sérieux dans cette analyse si elle n’est pas conduite avec en esprit le contexte de l’œuvre, autrement dit sa langue d’abord, en son vocabulaire et sa syntaxe d’époque, mais aussi les concepts, les catégories de pensée, les idées philosophiques ou les croyances, religieuses ou autres, qui ont caractérisé son moment

c’est un fait. Alors qu’on adopte une perspective critique sur la morale qu’on décide d’enseigner aux enfants, sur les qualités humaines à développer chez eux (la pitié, l’humour, l’ironie, la patience etc.), sur le goût et la disposition de leur esprit pour la rationalité ou l’abstraction, sur leur application à un art ou à un artisanat (le chant, l’écriture, la cuisine etc.), on ne remet pas en question la transmission de la parole de génération en génération. On argumente donc sans cesse au sujet

façon d’être, il fait un être pour soi. Les choses de la nature n’existent qu’immédiatement et d’une seule façon, tandis que l’homme, parce qu’il est esprit, a une double existence; il existe d’une part au même titre que les choses de la nature, mais d’autre part il existe aussi pour soi, il se contemple, se représente à lui-même, se pense et n’est esprit que par cette activité qui constitue un être pour soi. Cette conscience de soi, l’homme l’acquiert de deux manières: primo, théoriquement, parce qu’il

impénétrable pour autrui, pour lui-même aussi sans doute. Il n'est pas réductible à ce qui paraît de lui, à ce qu'il comprend de lui-même. Ce qui le constitue en propre, c'est l'intériorité, si bien que la fameuse idéologie de la transparence dont certains esprits légers nous abreuvent aujourd'hui est une parfaite illusion. Kierkegaard a cette phrase magnifique parce qu'elle montre tout le respect accordé à l'autre: "Là où chacun a à décider pour lui-même, la seule chose qu'on peut faire pour lui c'est de

il s'agit pour Descartes de rejeter par un acte de la volonté comment faux tout ce qui n'est pas absolument certain jusqu'à ce que l'on trouve une idée qui résiste au doute, donc il va s'enfermer et il va examiner toutes les idées qui sont en son esprit, pour les soumettre au doute et en déduire un nouvel ensemble de connaissance. Le doute de Descartes présente 4 caractères : Un doute méthodique, Descartes doute non pas pour renoncer au savoir mais pour parvenir à une vérité, pour fonder le savoir

à partir de son étude ordonnée « Les choses de la nature n'existent qu'immédiatement et d'une seule façon, tandis que l'homme, parce qu'il est esprit, a une double existence ; il existe d'une part au même titre que les choses de la nature, mais d'autre part, il existe aussi pour soi, il se contemple, se représente à lui-même, se pense et n'est esprit que par cette activité qui constitue un être pour soi. Cette conscience de soi, l'homme l’acquiert de deux manières : primo, théoriquement, parce