Isotopie

Rimes pauvres : 1 seul son phonème (pareil) Rimes suffisantes : 2 rimes identiques Rime riche : 3 sons « promenade » « limonade » épigraphe : courte citation d'un auteur en tête d'un livre, poème ou chp pour expliciter son état d'esprit. Isotopie : champ lexical rejets : élément d'une phrase rejeté en début de vers suivant pr mise en valeur. Inverse : contre-rejet types de discours : narratif, descriptif, explicatif, argumentatif prosodie : étude du rythme et ….... ??? Enjambement

(2005). L’étude de la thématique – à travers les isotopies génériques – permet de spécifier ces conditions car elles déterminent l'impression référentielle dominante du texte. Quatre cas remarquables se présentent selon F. Rastier : Le premier : celui d’une isotopie générique unique, correspond à l’homogénéité d’une seule isotopie dominante. Le texte induit alors une impression référentielle univoque. Le second, est le cas d’un texte où aucune isotopie générique ne peut être construite : Le texte ne

on trouve une alternance de rimes féminines et masculines: “rivière” / “fière”; ”haillons” / ”rayons”; “nue” / ”nue” (rime homonyme); / “bleu” / “pleut” (rimes pauvres). Ce mots, placés à la rime, nous renvoient à la thématique du “locus amoenus” (isotopie de la Nature ou du Cosmos). On peut observer, par ailleurs, que le poète renforce les effets de musicalité, de sonorité et de rythme en jouant avec des allitérations. 10 Sur la mise en texte du sonnet, voir Adam (1989:41-63). 162 Anales de Filología

dans ses supplications. [25] Dans cet extrait, la mise en contraste entre la religion et la pédophilie est manifeste, notamment par l'utilisation des mêmes mots pour confesser la faute et pour accomplir le mal. Le fait d'entremêler ainsi deux isotopies contradictoires vient donner au personnage un côté carnavalesque, faisant du même coup une véritable parodie de la pratique de la confession. Cette même distorsion ironique est par ailleurs présente dans le nom dont s'affuble le religieux lorsqu'il

Votre tâche finale consiste à exposer votre version du mythe à l’aide de tous les supports artistiques qui vous intéresseront. Il peut s’agir d’extraits de film/clips/tout support vidéo (réplique, image, costume, …), de musiques (paroles : isotopies, rythmes,…), d’images (peintures, photos,…) ou de tout autre chose qui peut vous évoquer ce que nous avons vu en cours. Vous pouvez puiser dans les créations artistiques étrangères : si tel était le cas, n’oubliez pas de Enfin, dans un dernier

un amour simulé, monté de toute pièce à l’égard d’Oreste. Mais tout ceci à disparu pour laisser place à la haine et à l’égocentrisme. Cette fureur semble « aveugler » au sens propre et figuré les protagonistes. En effet on relève une importante isotopie du regard : « ne voyais » «  nous le verrions encore » (Hermione) / «Que vois-je » « ne me verra jamais » « je la vois pour jamais(…) de mes yeux ». Autant Pyrrhus hante Hermione, autant Oreste semble ne pas deviner la silhouette d’Hermione; elle

ensemble d’au moins quatre cloches qui couvrent une partie de la gamme. Le passage de la cloche au carillon exprime un regain de vigueur et d’énergie qui est corroboré par la personnification « …chantent … » - La « brume » nous ramène à cette isotopie de l’obscurité, de l’absence de visibilité contenue dans nuit, hiver, fume … ===> cette atmosphère vaporeuse semble exprimer les sentiments du locuteur qui se décrira plus tard, comme perdu. - Allitération en [R] : la douceur du son R donne au

petites voix » de la strophe précédente qui reparaissent sous la forme pareillement atténuée du murmure. Les deux sizains offrent des similitudes évidentes tant sur le plan lexical que sur le plan des sonorités. Thématiquement, on retrouve une isotopie de la petitesse et de la ténuité avec « petites », « frêle » et « brises » qui désignent un vent léger comme suspendu, ainsi qu’une permanence des notations auditives, « frisson », « chœur », « voix » dans le premier sizain, « murmure », « gazouille

« petites voix » de la strophe précédente qui reparaissent sous la forme pareillement atténuée du murmure. Les deux sizains offrent des similitudes évidentes tant sur le plan lexical que sur le plan des sonorités. Thématiquement, on retrouve une isotopie de la petitesse et de la ténuité avec « petites », « frêle » et « brises » qui désignent un vent léger comme suspendu, ainsi qu’une permanence des notations auditives, « frisson », « chœur », « voix » dans le premier sizain, « murmure », « gazouille »

triplication, voire la quadriplication d’une séquence narrative tendent le plus souvent à mettre en lumière les rapports d’oppositions qui sous-tendent le fonctionnement interne du récit. Ces rapports d’opposition organisent le récit selon deux isotopies mettant en parallèle deux orientations narratives antithétiques. Cela dit, on peut schématiser le récit comme suit : | Séquence 1 | Séquence 2 | - triomphe provisoire d’Hauchecorne. - auberge, lieu de rencontre et de discussion. -