Julia Kristeva

lire quand elle décrit la nature (thème récurrent chats/chiens), elle se sent vieillir, décrit la déchéance d’une femme et ne veut pas que cela se voit Autobiographies : La bisexualité est bien décrite dans l’ouvrage qui lui est consacrée par Julia Kristeva Biographie de Jean Chalon  L’auteur a bien connu la femme –écrivain, la femme –artiste ( époque du Music hall (scandaleuse avec ses danses aux seins nus)) son homosexualité Il témoigne que Colette ne se voyait pas comme écrivain, que ce n’était

perdent ». Le texte littéraire est le carrefour, le lieu de rencontre de plusieurs codes qui subissent une transgression par l’écriture. Cette dernière étant une perversion, met en avant un éclatement de tous les codes, exprimé selon Barthes et Julia Kristeva par l’intertextualité qui a cassé les normes les plus solides, en exprimant une pluralité discursive qui se traduit par la polyphonie du texte. Barthes propose la notion de ''texte'' et ''intertexte'' : « (…) mais écrire c’est se placer dans ce

voir et à penser le monde de façon différente. Deleuze considère que l’écrivain est toujours un étranger dans la langue où il s’exprime à l’instar de l’affirmation de Derrida (1996 : 15) : « Je n’ai qu’une langue et ce n’est pas la mienne ». Pour Kristeva (1997), les écrivains sont nécessairement des constructeurs de langues et, comme le souligne Maingueneau, dans tout procédé créatif, l’écrivain est contraint « d’élire la langue qu’investit son œuvre, une langue qui, de toute façon ne peut pas être

reconstruit sa vie dans son œuvre c’est-à-dire à son imaginaire. Autre critique : Julia Kristeva. Elle s’est intéressée dans une œuvre publiée en 1969 à la sémiotique analytique ou encore sémanalyse. Selon Kristeva, le texte littéraire n’est pas un ensemble clos (ensemble clos : phénotexte) mais il serait plutôt un génotexte, c’est-à-dire un lieu où s’articule les signes et les pulsions. Il s’agit de trouver pour Kristeva dans le texte littéraire le travail de l’inconscient, tout ce qui ne serait pas

humain et permet à celui-ci d’utiliser bien mieux les relations entre idées, choses, concepts et qualités que les autres espèces vivantes. Cette approche a eu plusieurs théoriciens qui sont : UMBERTO ECO, Roland BARTHES, A. J. GREIMAS et V. PROPP, Julia KRISTEVA, YOURI LOTMAN. Umberto Eco : Il analyse l’œuvre d’art comme un système de signes indéfiniment traduisibles. Il analyse le langage poétique, les notions de référence, de suggestion, et souligne que la poésie, c’est l’utilisation émotionnelle des

Zygmunt Baumann et le réenchentement du monde chez Bernard Stiegler. En ce qui concerne les études politiques je me suis concentré sur : Hanna Arendt, Giorgio Agamben et Chantal Mouffe, les études psychanalytiques : Lacan, Deleuze & Guattari, Julia Kristeva, Hélène Cisoux et Bracha Ettinger et les études sur les courents de pensé postcoloniale : Victor Segalen, Homi K Bhabha, Gayatri Chakravorty Spivak, Francois Julien et Jaques Derrida. J’ai une Maitrise de Lettre Modernes françaises avec une

(1) On peut remarquer qu’il a été remplacé par le mot «citoyenneté» plus rassembleur et républicain. (2) Hargreaves G. Alec, Immigration and identity in beur fiction. Voices from the North African community in France, Berg, Oxford, 1997. (3) Kristeva Julia, Etrangers à nous-mêmes, Fayard, 1989. (4) Alors qu’on peut être Français et Arabes… les deux critères ne sont pas antagonistes. (5) Bien qu’il faille noter un changement depuis ces dernières années… les rôles offerts aux Beurs étant de plus en

Edition Arnette : www.arnette.fr Mai 2008 ISBN : 978 – 2-7184-1177-4 Vivre avec un traumatisme crânien : paroles de familles, paroles de blessés Couverture du livre de témoignages édité à l’occasion des 20 ans de l’UNAFTC avec une préface de Julia KRISTEVA À l’occasion de ses 20 ans d’existence, l’Union Nationale des Associations de Familles de Traumatisés Crâniens a lancé un appel auprès de ses adhérents afin de recueillir leurs témoignages. Lire les textes que nous présentons dans ce livre

L'information n'est plus empirique, elle est vérifiée par le corpus. Il est donc possible de s'appuyer sur des corpus (à condition qu'ils soient bien formés) pour formuler et vérifier des hypothèses scientifiques. -cette notion proposée par Julia Kristeva émerge dans le discours critique (1980) -c'est une permutation de textes: Dans l'espace d'un textes plusieurs énoncés pris à d'autres textes se croisent et se neutralisent - un texte nouveau à partir de textes antérieurs, repris -le texte est

confrontant à celui d’intertextualité, en le situant dans ce vaste domaine. Problèmes de définition de l’intertextualité 2On date l’apparition du terme « intertextualité » de 1967. Les pionniers de l’intertextualité que sont Mikhaïl Bakhtine, Julia Kristeva, Laurent Jenny, Michael Riffaterre et Gérard Genette, sont des théoriciens venus d’horizons très divers. Dès sa naissance, le dialogisme défini par Bakhtine est constitué de deux facettes. Il est, d’une part, inhérent à l’écriture : tout énoncé