Justice privée

imposé par la société alors que la religion c'est dieu. Le droit n'est pas non plus la morale car la sanction du droit n'est pas donné par la conscience,il y a des règles de droit contre la morale. La justice est l'objectif à atteindre par le droit donc la règle de droit n'est pas forcement la justice. Le droit n'est pas non plus l'équité, le juge ne peut pas juger en équité. La règle de droit s’identifie selon des particuliers c'est une règle générale, permanente, obligatoire et coercitive (= sanction

n’y a pas de lois écrites, donc le roi en prononçant un jugement va établir ce qui est permis, ce qui est juste. La loi écrite était le « nomos » et le jugement du roi ou du juge est appelé la  « Thémis ». Il ne s’agit pas d’une justice arbitraire, clanique, divine, la justice est ce que le roi trouve juste. Ce roi est accompagné dans ses fonctions par un conseil (composé de proches du roi qui expriment leurs avis) et c’est à la base de ces avis que le roi va prendre ces décisions (= la Thémis). Le

juridiction → loi de 1790 . Si on se soumet à la justice c'est l'état de droit . La parallèle de deux ordres de juridiction : un ordre juridictionnelle publique Ordre judiciaire ou ordre juridictionnelle privé qui à sa tête à la Cour de Cassation . Ligne de séparation si d'un côté se soumettre au droit et de l'autre appliqué les lois d'un côté les litiges qui impliquent les personnes publique et de l'autre les litiges qui impliquent les personne privé . Si jamais l'état passe un contrat avec

DROIT JUDICIAIRE PRIVE 2007 Daphnée Principiano INTRODUCTION Le droit judiciaire privé réunit l’ensemble des règles permettant de déterminer quel juge saisir, comment le saisir, quels sont les incidents pouvant être soulevés, comment le juge rend sa décision, quelles sont les voies de recours ouvertes aux justiciables. Le droit judiciaire privé expose le déroulement d’un procès de la saisine du juge jusqu’au prononcé de la décision définitive. Section I : La notion de DJP Distinction

France autour d'un vr royal fort, c'est à dire XVIème et XVIIème. C'est sous Louis XIII qu'apparaît une idée d'une juridiction particulière pour les affaires administratives distinctes des juridictions vouées à régler des différents entre personnes privées. Apparaît alors l'idée que l'état n'est pas une personne comme une autre, c'est notamment le sens de l'édit de Saint Germain en 1641. Nouvelle vision avec l'encyclopédie et l'œuvre de Montesquieu, avec notamment l'esprit des lois parue en 1748

atteinte à la personnalité juridique est nulle de nullité absolue et ce même avec le consentement de l'intéressé. La nullité absolue s'oppose à la nullité relative (la nullité absolue pour préserver l'ordre public, tout le monde peut l'invoquer en justice – la nullité relative, elle protège un des deux contractants, ne peut être invoquée que par la personne qu'elle entend protéger, mineur ou personne sous tuteur. Les durées de prescriptions sont différentes. Chapitre 2. Les événements affectant

entre-eux. Cette règle implique beaucoup de domaine. · État/État : Traités internationaux qui viennent fixer des règles. Par exemple, des traités sur la guerre. Le droit est inhérent, indissociable dans la société, dans la vie en société (vie sociale ou privée) · « Ibi societas, Ubi jus » : Là où il y a une société il y a du droit = il n’y a pas de droit sans société = le droit ne peut naître que lorsqu’une société existe donc il faut la présence d’une société. Pas de société, pas de droit. Le droit organise

s'intéresser à l'histoire de l'administration. Qu'est ce que l'administration ? Jusqu'au 18ème, on utilise ce terme pour la gestion du patrimoine, ou encore l'administration d'une communauté religieuse ou laïc, ça concernait principalement le domaine privé. Pour l'administration publique on parle de police, termes utilisé par les ordonnances royales. Progressivement apparaissent des traités/codes de police notamment un connu, traité de police de N DELAMARRE 1505. C'est au cours du 18ème que ce terme

c’est la loi du plus fort. La figure du juge est essentielle au niveau de la définition du droit car il représente le tiers impartiale, il est indispensable, il est celui par lequel la justice particulière est donnée (d’une personne a une autre). Et d’après une autre point de vue, le droit est le rendu de cette justice, le droit serait d’abord l’intervention d’un tiers qui se positionne en temps que arbitre pour résoudre le litige. (Exemple robinson, ils sont tout les deux pour juger des gestes entre

autonome ; l'arrêt Blanco (T.C, 8 février 1873) fonde la nécessité d'une juridiction administrative. Les compétences de la justice judiciaire et de la justice administrative sont donc bien distinctes. Mais cela ne signifie pas pour autant que l'ordre judiciaire et l'administration sont totalement étanches ; en effet, le critère de compétence entre justice judiciaire et justice administrative est problématique. Le juge judiciaire est donc amené à statuer sur des litiges impliquant l'administration