Justice Selon Platon

RATIONALISATION DU MONDE Thalès Premier physicien :stabilité réel , unité du monde selon une substance primordiale unique :la substance mère .Nécessité vient d’un substance première :l’eau . Anaximandre (615-645) Anaximène (586 -526) Héraclite (vers 567-480) Substance primordiale :le feu .Mais surtout monde mu par un mouvement perpétuel selon un certain « rythme » Xénophane Dans toute sensation :sorte de relatif : ns invitant a distinguer la chose en ELLE-MEME et la VISION

Le livre Gorgias de Platon est un des écrits les plus importants de Platon. Le sujet est la rhétorique, l’art du discours. Ce livre traite principalement de la discussion sur la rhétorique et sur la légitimité de la loi. Dans le Gorgias, Socrate et Calliclès s’entretiennent au sujet de la justice. « En quoi consiste la justice ? », « Quel genre de vie devrions-nous vivre. » Le débat se fait entre Socrate et Calliclès qui ont deux conceptions totalement différentes de la vie. Tout oppose ces deux

social est ici assuré non pas par l’intervention d’une autorité supérieure qui dominerait la collectivité mais par un système de solidarité entre des individus ayant des ancêtres communs. On y retrouve une sorte de stratification de la population selon les classes d’âge, les groupes professionnels : On construit ainsi une hiérarchie. Tous les individus observent spontanément un ensemble de coutumes plus ou moins rigide dont le caractère obligatoire est assuré par une croyance religieuse très forte

Interprétation de l’image de la caverne Platon imagine des prisonniers enchaînés au fond d’une caverne sombre ; cette caverne symbolise le monde sensible, celui dans lequel nous vivons ; les prisonniers, c’est nous. Platon " montre " que les sons répercutés par les murs de la caverne seraient pris pour les voix des ombres. Ces prisonniers prennent donc pour le réel ce qui n’est que le reflet d’une image. Nous croyons connaître, veut nous dire Platon, le monde tel qu’il est vraiment, mais en fait

TD 1 : HPE (ARISTOTE) Introduction L’économie, en tant que domaine de connaissance et de réflexion , est issue de préoccupations politiques et morales. Ainsi, de Platon à Smith, l’évolution de la réflexion économique a suivi celle de la philosophie politique et morale. On distingue trois grandes branches de la philosophie : la métaphysique, la philosophie naturelle (physique, mécanique, astronomie, ie les sciences expérimentales), et la philosophie politique et morale, au sein de la quelle on

Philo. Chapitre 10: la justice et le droit. LA JUSTICE on vient au monde dans un monde injuste, on s'en plaind ou on en tire avantage. Constat irréductible. On essaye de se consoler en pensant à l'haut delà ( enfer pour les méchants et paradis pour les gentils ). 3 justices humaines: - la justice commutative: on peut changer le sujet, tout le monde à la mm part: 2x4 = 4x2. Chaque personne à la mm voix: 1 pers = 1 vote. Chacun à la mm chance. On essaye de rendre le monde inégalitaire

PLATON Contexte philosophique La pensée de Platon s'inscrit dans un contexte philosophique où l'on trouve les présocratiques, les sophistes, et un savoir traditionnel transmis par les poètes, savoir qui constitue l'essentiel de l'éducation grecque. Platon construit sa philosophie par opposition à chacun de ces prétendants aux savoirs, cherchant à résoudre les difficultés philosophiques qu'ils soulèvent, mais il s'en approprie également certaines parties, en les formulant dans un cadre nouveau,

plus célèbre fut Platon) estiment que, n'ayant en vue que la persuasion d'un auditoire, que ce soit dans les assemblées politiques ou lors des procès en justice, les sophistes développent des raisonnements dont le but est uniquement l'efficacité persuasive, et non la vérité, et qui à ce titre contiennent souvent des vices logiques, bien qu'ils paraissent à première vue cohérents : des « sophismes ». Les sophistes ne s’embarrassaient pas de considérations quant à l'éthique, à la justice ou à la vérité

Hillel : rabbinisme judaïque, la justice en politique, il n’existe pas n accord unanime entre les théoricien, il existe beaucoup de différence : on a abordé trois théorie, celle de Socrate, tôt dans les dialogues de Platon, aussi, il y a le Socrate de Platon, la théorie de Platon lui même et aussi celle d’Aristote, distinction entre les type de logos, elles ne se retrouvent pas chez Socrate ou Platon, mais Aristote, comment régir de façon rationnel, chez Aristote, c’est plus compliqué, on a trois

pas d’emblée évi- dent de voir en quoi cette traduction réussit à sauver Zénon de la contradiction. Comme cela a été souvent rappelé dans les commen- taires modernes, phronèsis et epistèmè sont utilisés de manière plus ou moins interchangeable chez Platon, notamment dans les dialogues dits socratiques, et on sait que la lecture de ces derniers a indéniablement L’UNITÉ DES VERTUS CHEZ ZÉNON DE CITIUM 237marqué les premiers stoïciens (qui se présentaient d’ailleurs comme « socratiques »). Or, si phronèsis