Kant Culpabilité Morale

passer de l’exigence morale pour survivre. Celle-ci peut même apparaître comme une menace pour la vie comme le souligne Nietzsche qui voit la morale comme un idéal ascétique opposé au mouvement vital, castrateur, comme « négation de la vie ». Mais vivre une vie proprement humaine, ce n’est pas simplement respirer et s’alimenter, c’est mener une existence satisfaisante, qui a du prix pour soi, en accord avec notre nature. Or ce qui distingue l’homme, c’est la conscience morale. Dès lors, un homme ne

LE SUJET Sujet / prédicats (grammaire) Sujet / objet (H doué d’une subjectivité et d’une intériorité par opposition aux choses) Kant : H ont une valeur absolue, irremplaçable (dignité) tandis que les choses n’ont qu’une valeur relative (marchande) car H peut raisonner sur lui mm, mettre en question ses actes, dire « je ». Lacan (psychanalyste) : « stade du miroir » : jeune enfant se reconnait dans son reflet. Husserl : intersubjectivité est fondatrice de l’objectivité, c’est en communiquant avec

Kant, Macbeth et l’équivoque du mal Un premier aperçu Que peut-il y avoir d’équivoque chez Kant? Quelle ambiguïté possible dans un système érigé sur le socle d’une légalité a priori structurant tout à la fois la connaissance empirique, l’action morale et la contemplation du beau? Quelle noirceur dans les lumières de cette philosophie moderne et donc éclairée? Il y a, à première vue, très peu de place pour le mal, encore moins pour l’équivoque, dans l’éthique kantienne. Le sujet, rationnel et autonome

reste la puissance de la vie humaine. Mais nos envies sont-elles réellement toujours compatibles avec nos principes? Si l'on considère qu'une bonne règle de vie, peut être associé à un précepte valable, fiable et respectant certaines lois et code moraux, nous menant à un bonheur partiel. Alors l'accomplissement de nos désirs propres n'est pas forcément en accord avec nos règles de vie. Car, accomplir tous ses désirs n'étais-ce pas trop en demander à l'être que nous sommes et aux différents plaisirs

 Philosophie de l'Art Cours 2 : 19/09 Définition de l'Art ? - L'Art doit il être soumis a la Morale ? L'Art est il porteur de Vérité ? La valeur d'Art 1er problème : Le problème du goût Le problème du goût est central dans la philosophie esthétique/théorique moderne. Jusqu'au XVIIIe s on considérait l'Art comme un petit monde dans un monde plus grand. Il y a des règles d'Art qui fond partie du monde, qui sont inscrites dans l'ordre des choses ( le nombre d'Or

langage courant la responsabilité est définie comme le devoir de répondre de ses actes, toutes circonstances et conséquences comprises. Pourtant on peut se poser la question de la culpabilité de la personne qui émet un acte pensé comme responsable et qui ce transforme en abus ou crime. Cette question de la culpabilité d’un être responsable se pose depuis quelques décennies avec l’ascension de la technologie où l’homme perd la conscience de l’action accomplie. La formule « responsable mais pas coupable »

ensemble le chemin qui conduit à permettre la vérité Les différents types de mensonge Morale et religion distinguent traditionnellement trois sortes de mensonges : Le mensonge joyeux, énoncé pour plaisanter ou se moquer. Il est distingué toutefois lui-même de la simple plaisanterie de circonstance où les deux parties sont de connivence sans ambiguïté sur le fait que l'information mentionnée est fictive : morale comme religion cessent dès lors d'être concernées. Le mensonge officieux, que l’on énonce

philosophique  pour cerner le mystère du mal. De nombreuses réflexions vont être faites. Paul Ricœur (philosophe français : 1913-2005) ne sera pas en reste de ce sillage réflexif.   Il mènera notamment des réflexions à travers ces ouvrages  Finitude et culpabilité (1960), Le Conflit des interprétations (1969) et en 1985, il présentera une conférence  à la Faculté de théologie de l’Université de Lausanne sur le mal. Le texte de cette conférence sera publié un an après sous le titre : Le Mal. Un défi à la philosophie

Revue électronique de Psychologie Sociale, 2009, No. 4. La morale et les émotions Gayannée Kédia Université de Cologne, Allemagne De plus en plus de scientifiques adhèrent à l’idée que les comportements des organismes vivants, dont ceux des êtres humains, ont pour finalité principale de servir des intérêts égoïstes de façon à propager ses gènes. Si cela est vrai, comment se fait-il que régulièrement nous sacrifiions nos intérêts personnels pour ne pas nuire à autrui voire pour lui venir en aide

PHILOSOPHIE – DEVOIR COMMUN TS - CORRIGÉ DE L’ÉTUDE PHILOSOPHIQUE D’UN TEXTE KANT– Extrait des Fondements de la métaphysique des mœurs, Deuxième Section, éd. Delagrave, p.156-157 [INTRODUCTION] [Thème:] Ce texte aborde la recherche philosophique (métaphysique) du principe de la moralité. [Thèse:] L’auteur soutient que le principe de la moralité ne peut pas être empiriquement établi. [Thèse adverse:] Il constate et explique l’échec de toutes les tentatives philosophiques précédentes qui ont