Kant Fondements

en latin « je pense ». Désigne le sujet tel qu’il est découvert par le « cogito ergo sum » (« je pense donc je suis ») de Descartes, c’est-à-dire non pas l’individu (René Descartes) mais en général la chose pensante qui est, selon Descartes, au fondement de toute connaissance possible. Conscience État mental qui étymologiquement signifie « avec savoir », ou « savoir avec ». La conscience est ce par quoi l’individu se représente lui-même comme un sujet présent dans le monde, et se sent exister à

bêtes, que le triste privilège de m'égarer d'erreurs en erreurs à l'aide d'un entendement sans règle et d'une raison sans principe ». Dans Fondements de la métaphysique des moeurs (1785), Kant poursuit les réflexions de Rousseau, auxquelles il a apporté un grand intérêt, en y apportant certaines nuances. Il est tout d'abord nécessaire de savoir que Kant considère l'homme comme un être fini, car il ne crée pas par lui-même les choses extérieures qui l'affectent : par conséquent, il est à tout moment

arguant que notre devoir, qui va bien souvent à l'encontre de notre bonheur, est cependant nécessaire à la réalisation de notre humanité raisonnable : il nous faut donc savoir renoncer au bonheur si le devoir l'exige. On pouvait s'appuyer sur Kant,Fondements de la métaphysique des mœurs ou encore Mill,L'Utilitarisme. Le bonheur comme fin en soi de nos existences pose aussi problème en tant que fin individuelle. Chercher son bonheur à tout prix, n'est-ce pas aussi être prêt à sacrifier celui des autres

s’impose a elle-même peut être dite parfaitement libre, c'est-à-dire autonome.  L’hypothèse scientifique du déterminisme remet-elle en question l’idée de liberté ? Le problème du déterminisme a été résume de façon claire et synthétique par Emmanuel Kant dans la critique de la raison pure 1781 « la troisième antinomie de la raison pure ». en effet le philosophe Allemand a montré que l’on peut bien soutenir la thèse selon laquelle la liberté existe, c'est-à-dire qu’une causalité libre serait à l’origine

constituerait-il tangiblement des insubordinations au devoir moral de l’homme envers lui-même ? », mes chers rival d’opinion répondraient par l’affirmative sous prétexte que mentir n’est jamais juste, toujours moralement répréhensible. D’autre part, Emmanuel Kant, philosophe moderne semblerait plausiblement réticent au sujet de mon analyse de différenciation du devoir et du droit de dire la vérité —si j’ai bien compris l’ensemble de ses propos dans son œuvre « D’un prétendu droit de mentir par humanité », en

grandeur et la spécificité de l’Homme. » (Descartes) Le sujet est donc le fondement absolu de ses actes et pensées : conscience réfléchie => pensée => possibilité => volonté => choix => actes : libre arbitre, responsabilité, perfectibilité. Réalité --------- [Grille d’interprétation du réel] --------- Sujet. Expérience = contact direct avec la réalité. Problème : la conscience est-elle source d’illusions ? Kant : Noumène : chose en soi Phénomène : chose telle qu’elle m’apparait

23/05/2011 Dissertation de Philosophie Sujet : Faut-il donner un fondement à la société ? « L’établissement du pouvoir public ne fut ni volontaire, ni forcé, il fut nécessaire, c’est-à-dire, conforme à la nature des êtres en société ; et les causes et l’origine en furent naturelles. » a dit Louis de Bonald

parole ou l'écrit ? La quintessence même de l'être ne requiert elle pas une analyse plus profonde et poussée ? Qui ne s'est jamais demandé ce qu'il est, qui il est ? Il est certes aisé de répondre : un homme, puis de citer ce qu'on croit être les fondements de son identité, c'est à dire le nom, l'âge et ce qui s'en suit. Mais au delà de ces quelques mots que peut-on tenter de déduire ? Au delà de notre nature humaine qu'est-ce qui nous régit ? Prenons par exemple Descartes, et mettons nous en quête

lorsqu’une action de mauvaise foi apporte une utilité positive, on la juge automatiquement favorable. À l’inverse, une action initialement considéré bonne, mais qui aboutie mal est jugée nuisible. Ce principe illustre celui de l’utilitarisme. Ce fondement atteste que tout action jugée socialement bonne est celle qui apporte la plus grande quantité de bonheur pour la majorité des personnes. Ainsi, on juge la personne par l’aboutissement final de ses actes et non par son intention désirée. Critique

de chacun. Autrement dit, le problème ici posé par l'auteur se formule par la question suivante: « La vérité est-elle toujours bonne à dire pour contribuer au bonheur de tous? » D'après Mill, la vérité permet d'instaurer dans une communauté, le fondement du bien-être social de tous les hommes: la confiance. Il existe néanmoins des exceptions pour lesquelles il serait préférable de prendre ses distances avec la vérité. L'auteur divise son argumentation en trois parties distinctes. Dans la première