Kant Le Langage

pensées, nos sentiments, nos ressentis vis-à-vis de l’extérieur. Elle est propre à chacun de nous, ceci suppose que lorsque nous employons « je », nous nous distinguons d’autrui, en ayant la certitude d’être «moi » et pas un autre, comme le précise Kant « Posséder le Je dans sa représentation : ce pouvoir élève l’homme indéfiniment au dessus de tous les autres êtres vivants sur la terre. Par là il est une personne. » On peut dire que la conscience de soi est donc en lien avec la connaissance de

indépendante des codes régis par la culture. Toutefois, devant la complexité du langage artistique, nous nous intéresserons à la nécessité de la culture en vue de la compréhension d’une œuvre. Enfin, nous constaterons qu’une forme de culture permet au moins la mise en place d’un jugement construit, personnel et réfléchi. Il est admis que le jugement d’une œuvre repose sur la dimension esthétique de celle-ci. En effet, Kant est le premier à le clamer, l’art doit être désintéressé, et personne n’ira

notre seconde nature ». Partout, l’homme est producteur de normes, de langages, d’institutions, de pensées de telle sorte que l’ensemble de ces pratiques ou productions apparaissent comme intrinsèquement liées à son être. C’est pourquoi la métaphysique classique, la mythologie et la religion ont souvent considéré la différence entre l’homme et les autres comme tout ce qui est spécifique chez l’homme. C’est dans ce sens que Kant inscrit le progrès dans l’ordre de la nature. Il écrit : « La nature a

Les Essais, éd. Pierre Villey, revue par Verdun-Louis Saulnier, 3 vol., Paris, P.U.F. (Collection Quadrige), 1988. Suite de ce cours, voir présentation de M. Marquer au semestre 2 Isabelle THOMAS-FOGIEL, Les métamorphoses du transcendantal Kant, les premiers post-kantiens (Enésidème et Maïmon) puis les néo-kantiens (Helmholtz et Natorp). Semestre 2 Enseignements spécifiques obligatoires. Séminaires d’Histoire de la philosophie ancienne, arabe ou médiévale, Pierre-Marie MOREL, L'idée

suivante : le style, expression de l’individualité dans le langage, est le meilleur moyen de communiquer. Afin d’expliquer ce texte, nous procéderons à un découpage en deux parties. Dans la première partie des lignes 1 à 9 : « Communiquer par des signes […] des oreilles pour l’entendre — », Nietzsche nous explique les différents aspects du style. Dans la seconde partie, des lignes 10 à 18 : « Encore cela suppose-t- il […] en général, du langage. » Nietzsche nous propose de comprendre les complications

Il donne son point de vue et répond à toutes les questions existentielles de la philosophie. , François Châtelet nous invite à une passionnante remontée aux sources. Il nous plonge dans les pensées de grands philosophes (Socrate, Platon, Galilée, Kant, Hegel…) en retracent l’émergence et les grandes étapes de la pensée philosophique. Il montre comment se sont petit à petit tissés les liens entre la raison et la liberté. Chapitre 1 : L’invention de la raison Le premier chapitre « présente » la raison

L'Imagination, 1936. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 164 Citation 167 « La conscience simple, mais empiriquement déterminée, de ma propre existence, prouve l'existence des objets dans l'espace et hors de moi. » Kant, Critique de la raison pure, 1781. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 167 Citation 168 « La conscience est un trait d'union entre ce qui a été et ce qui sera, un pont jeté entre le passé et l'avenir. » Bergson

Tous les philosophes voient en la raison, en l’être raisonnable, le propre de l’homme. C'est-à-dire la faculté supérieure qui commande le langage, la pensée, la connaissance et la moralité. Puisque un individu est raisonnable lorsque ses choix, sa conduite paraissent sensés, c'est-à-dire conformes aux attentes ou aux jugements de la plupart des individus, en tant qu’ils sont douées de raison. Les lois, les règles instaurées par la société ont donc été faite, en théorie, pour les être irraisonnables

aspirations, sentiments, constituants du domaine de la sensibilité, s'opposent en nous à une « raison » qui est faculté d'universalisation, ainsi que le postule Kant dans les Fondements de la métaphysique des mœurs. Or c'est de la raison même – de la raison « pratique » en tant qu'elle a trait à l'action, et non à la connaissance – que relève la morale. Kant envisage cette dernière selon un concept d'« obligation », de « devoir », affirmant qu'une action n'est « moralement bonne » que lorsqu'elle est guidée

pas : pour penser j’ai mon cerveau, l’âme n’est qu’une croyance, l’homme est animal, ces sentiments viennent de son instinct pas de son âme. Transition –citation des opinions : Critique du : l’opinion confond l’âme et l’esprit pour penser le langage suffit donc cela ne prouve pas que l’âme existe. En plus, l’âme n’est sensible car sinon elle ne serait pas immortelle. Donc l’opinion confond âme et sentiment. Critique du 2 : l’opinion confond l’instinct et le désir. Les mécanismes biologiques