Kant Le Rire

| | | |Emmanuel KANT (1784) | |

Les trois exemples d’Hippias font appel, pour définir le beau, à l’expérience du désir et de la jouissance de l’homme. Hippias exprime une opinion commune: la confusion entre le beau et l’agréable, entre le plaisir esthétique et le plaisir des sens. Kant les distinguera en définissant le beau comme l’objet d’une satisfaction désintéressée, l’agréable étant une satisfaction intéressée. L’erreur d‘Hippias: beau-agréable ou jouissance intéressée, Socrate va rejeter ce relativisme du beau, car l’agréable

profond qui perce la croûte des automatismes. Le « moi d’en bas » dont il est question dans le texte, désigne la personnalité profonde et réelle. Bergson montre ensuite que l’acte libre est sans raison ni explication. Chapitre 5 : Emmanuel Kant Emmanuel Kant Les grandes questions fondamentales de la philosophie : 1) Que puis-je savoir ?  métaphysique  « Puis-je connaitre » = sa 1e critique  réponse limitative  l’homme ne peut pas tout connaitre, il ne peut connaitre que

et les chaises, les tables, les | | | |étagères et l’armoire se dressent comme des montagnes, des bâtisses| |C’était une auditrice attentive. Son rire, ses soupirs de dédain et| |ou des navires, à la fois proches à les toucher et très éloignés. | |ses exclamations indignées ou enthousiastes ne laissaient aucun | |

de l'expérience commune, de votre expérience personnelle, de l'Histoire, de la logique envers les principes évoqués, de la rhétorique, de vos lectures littéraires, des films sérieux, etc. Un argument rhétorique se définit ainsi: le plus bas, il fait rire votre lecteur, ridiculise votre contradicteur, contient une part de vérité. N'en utilisez pas trop. En conclusion, le choix éthique: Non, leur choix est éthiquement fautif, et inacceptable moralement. Oui, mon choix est éthiquement correct

j’étais ravi de la douche. Le désir que j’éprouvais en arrivant était passé en lisant. Lire une pièce de façon que les divers personnages soient reconnaissables et vivants exige une certaine concentration. […..] C’était une auditrice attentive. Son rire, ses soupirs de dédain et ses exclamations indignées ou enthousiastes ne laissaient aucun doute : elle suivait l’action avec passion, et considérait les deux héroïnes comme de petites dindes. L’impatience qu’elle mettait parfois à me demande de continuer

l'essence précède l'existence. Cette idée, nous la retrouvons un peu partout : nous la retrouvons chez Diderot, chez Voltaire, et même chez Kant. L'homme est possesseur d'une nature humaine; cette nature humaine, qui est le concept humain, se retrouve chez tous les hommes, ce qui signifie que chaque homme est un exemple particulier d'un concept universel, l'homme; chez Kant, il résulte de cette universalité que l'homme des bois, l'homme de la nature, comme le bourgeois sont astreints à la même définition

cependant une connaissance et un savoir plus perspicaces que celui de la couche sociale cultivée et privée de ses racines, du fort lien avec la nature omniprésente. La sorcière connaît un secret concernant le destin du comte, elle le maudit avec un rire malfaisant et lui prédit d'une manière voilée sa fin.La demoiselle Joulka Iwinska dont est amoureux le comte, est vue avec une émotion par le professeur, mais l'ardeur et la passion qui émanent du comte envers la jeune femme ne sont pas innocentes

doit être conscient et actif: par les antithèses « raison » qui s’oppose à « aveuglément » et « mesure » à «sans réserve» Diderot oppose 2 attitudes du peuple, l’une servile et l’autre critique, cette proposition rappelle la définition du philosophe Kant. Aussi par la répétition du mot « cérémonial » l’homme doit séparer les actes collectifs de la pensée individuelle, les cérémonies permettent à l’homme de faire partie d’un groupe d’une communauté mais celui-ci doit toujours être maître de lui et prendre

une explication strictement mécaniste du vivant? C'est ce que croit Descartes, ce qui l'amène àréduire l'animal à une simple machine. Mais la thèse de Descartes pose un certain nombre de difficultés très tôt dénoncées (entre autres par Leibniz puis Kant). Comme l'explique François Jacob dans La logique du vivant, la biologie moderne rend compte de l'apparente finalité du vivant en s'appuyant sur la notion de programme génétique et des mécanisme de régulation à l'oeuvre au niveau de l'individu et