Kant Le Rire

« Présentations de la philosophie » André Comte-Sponville Julien MARSZALEK Table de matières : Introduction p.3 Biographie de l’auteur p.4 Biographie « complémentaire » d’Emmanuel Kant p.4 Ma question & les chapitres p.5 Principales citations de l’auteur (dans le livre) p.9 Ma démarche p.10 Bibliographie p.11 Sources p.11 Intro : A l'heure de la médiatisation envahissante, de la course à la mondialisation

la mimésis comme principe artistique et la symétrie comme critère de beauté. Mimésis : barbant de toujours représenter la même chose. Symétrie : la ressemblance c’est futile, cela fait rire. En // à Montaigne ; esthétique marginale Descartes (17ème) : - Pour sortir de la crise il affrontera le doute pour retrouver la certitude d’un sujet pensant. Affronte le doute de Montaigne et découvre existence du « cogito »

Marc Aurèle, Pensées pour moi-même Epictète, Manuel Descartes, Méditations Métaphysiques, surtout les deux premières Quand la philosophie se fait métaphysique... Que suis-je ? Suis-je ? Le monde extérieur existe-t-il ? Etc. Kant, Qu'est-ce que les lumières ? La liberté de penser = philosophie Nietzsche, Le livre du philosophe; Généalogie de la morale Freud, Introduction à la psychanalyse Sartre, L'existentialisme est un humanisme Platon [428-348 av

A à Z/ livre 7p80 dans le manuel de philo. Les droits de l’Homme. L’Utopie : Thomas Moore Lundi 07 septembre Le cours de philo n’est rien d’autre que l’organisation du cours de philo (auto-organisation du cours par lui-même). Dérivation sur le rire : Quelqu’un pense pourquoi est-ce qu’il pense ? Cours un peu plus cool. Distinguer Extrinsèque ≠ intrinsèque = immanent/ relativise dans le A à Z. Regarder dans le livre de philo p5 les « repères », «  relatif », et « absolu ». Le clown de la

les hiérarchiser, et donc de juger. Prenons l'exemple d'un bébé. Il peut avoir une sensation de malaise, ou de bien être. Quand il est mal à l'aise, le bébé se met à pleurer, tandis que lorsqu'il ressent une sensation de bien-être, il a tendance à rire. Mais le bébé est naif, et, devenant enfant, va, sans s'en rendre compte, apprendre à penser. En effet, il va s'en référer à la vision de ses parents, à leurs opinions. C'est à dire que grâce à ses parents, l'enfant va être influencé par leur choix

ce dont il est peuplé. Mais culturel également, car contrairement aux animaux, l’Homme n’agit pas, ou pas que, selon ses instincts et ses pulsions (ses « passions »). L’Homme est donc une créature intellectuelle et sociale. Contrairement à Rousseau, Kant considère que la culture dénature l’Homme au sens positif. Car l’Homme est selon lui voué à « s’élever » et se dénaturer. Freud, lui, considère que la culture est effectivement un « renoncement pulsionnel », par les mœurs, la tenue, la pudeur, la politesse

Selon Kant, une œuvre d’art n’est pas la représentation d’une chose belle, mais la belle représentation d’une chose. C’est en admirant et en imitant les maîtres de l’art qu’on aura peut-être la chance d’en devenir un… Le temps ; « Seul le présent existe ». Chrysippe. Qu’est-ce que le temps ? Le temps est une évidence et un mystère à la fois. Tout le monde l’expérimente ; nul ne peut le saisir. S’il s’arrêtait un instant, tout s’arrêterait et il n’y aurait plus de temps. Selon Kant, le temps

temps n’existe que pour et par la conscience humaine. Il le définit comme « une distension de l’âme » (Confessions, XI, 26) Il pose les trois présents : présent du passé (la mémoire), présent du présent (l’action), présent du futur (le projet) Kant (XVIIIe) fait du temps une forme fondamentale de l’expérience humaine : il pose le temps comme une donnée de la conscience : c’est le sens interne. Pour lui, « le temps n’est rien en soi en dehors du sujet ». Le temps est donc partout dans le sujet

des normes et coutumes de leur époque et du non savoir-vivre en société. 2) La vision des philosophes par rapport cette naïveté Pour la vision des philosophes, un grand philosophe se démarque sur sa réflexion poussé sur la naïveté, c'est Kant. Selon lui la naïveté correspond à la manifestation d'une franchise naturelle de l'être humain. En effet la naïveté crée une surprise chez le lecteur qui s'attend a une réaction habituel mais à travers les paroles du personnage, c'est l'innocence qui

copions sur nos ainés, nos parents, nos «pairs ». Il est temps, d’ailleurs de parler de ces « avantages » humains par lesquels il est évident que nous sommes faits pour la société : toutes ces aptitudes sociales : le sourire (qui souvent s’échange) , le rire (propre à l’homme, contagieux) et, bien sûr, le langage. L’homme est avant tout « homo loquax » : celui qui parle. Cette faculté (parler), née de nos besoins de communication, est essentielle, y compris dans l’accès à nous-mêmes : difficile de trouver