Kant Sagesse

coutumes suffisent-elles pour définir la justice ? Deuxièmement, n'est-ce pas contraire à l'idéal de justice que de n'obéir qu'aux lois et coutumes de son pays ? Enfin, est-ce suffisant d'y obéir extérieurement, ou bien faut-il les appliquer avec sagesse ? La justice est une vertu politique cardinale qui repose sur l'obéissance du citoyen et du sujet aux lois et aux valeurs de son pays ou de celui où il réside. Cette conformité est en effet un impératif premier de la justice. Le sage doit préférer

Philo (philia =amour) et sophie (sophia = sagesse). Le philosophe est donc l'ami de la sagesse, s'il ne cherche pas à être sage ce n'est pas un philosophe. Avec l'idée de sagesse il y a l'idée de prudence et de tempérance. Le philosophe est l'homme de juste mesure tandis ce que l'enfant est tout le contraire de ça, il n'est pas prudent, ni tempérant, ni pondéré. Philosophie et l'enfant ne vont donc pas vraiment ensemble car l'enfant est l'inverse de la sagesse. La philosophie emprunte le terme

littéraires, peintures ou bien sculptures. Il doit être capable de soumettre ses conduites à des règles et c’est ce qu’appelle Kant la raison pratique. Il est évident que le vouloir de l’homme se choisit par rapport à la loi de la morale. Nietzsche affirme que « la morale est une antinature », l’homme qui a cessé être naturel a un besoin de rechercher sa propre morale, comme Kant dit, contrairement à l’animal il « doit se donner à lui-même sa propre règle ». Ainsi, la personne humaine est autonome, elle

l’homme est un « être esclave de ses passions », Kant va jusqu’à dire que la passion est « la maladie de l’âme ». Il n’est pas rare d’entendre qu’une personne est « aveuglée par ses passions », pour preuve : la passion amoureuse. Ces maximes prônent donc la passion comme simple exaltation, comme un non contrôle de soi, mais les passions ne révèlent-elles pas une ressource intarissable d’énergie et de volonté durable ? Ne peut-on que dissocier sagesse et passion ? Toute passion n’est-elle que néfaste 

économique nous empêche de les réaliser, alors nous sommes malheureux. Le bonheur suppose donc à la fois désir, richesse d’imagination, et capacité effective de réaliser certains de ses désirs; mais aussi maîtrise de ses désirs, en d'autres termes "sagesse". Le bonheur aide à penser ce décalage permanent entre le désir et le réel, qui est un trait essentiel de la condition humaine; mais aussi cette possible rencontre entre nos désirs et le réel. Sommaire Epicure d’après Diogène Laërce: « Ceux-là

conscience que nous sommes mais pas de ce que nous sommes, comme l'affirme Kant. CONCLUSION : Pour conclure, nous pouvons dire que l'Homme n'est pas transparent à lui-même et qu'il n'a pas une conscience complète de son "moi". Avoir conscience de soi n'est donc pas se connaître avec certitude. Autrement dit, conscience n'est pas connaissance absolue de soi. Cependant, avoir conscience de ce que l'on est représente pour moi la sagesse.

aspiration au bien, une fin en soi, une étape ultime de toute vie humaine et donc accessible. Le bonheur n’a pas une unique propriété, chacun sur terre a une vision, une conception différente du bonheur, « il serait donc difficile de le définir » (Kant), de plus, le bonheur est quelque chose de purement privé, chacun veut être heureux pour soi mais ce sentiment de joie, cette vie qui peut être qualifiée d’heureuse, le sont sur des critères subjectifs et donc relatifs aux uns et aux autres. Malgré

conseils de sagesse ne s’adressent qu’à ceux qui peuvent les appliquer : la bonne humeur, pr Schopenhauer est la clé de tout. Des biens plus précieux que le bonheur Descartes estime qu’il vaut mieux préférer la connaissance à l’ignorance, même si l’ignorance rend plus joyeux et la connaissance plus triste. Le bonheur procuré par des plaisirs superficiels est en effet, selon Descartes, un bien illusoire, comparé à la connaissance de la vérité qui satisfait plus profondément l’âme. Kant oppose aussi

c’est nous. Ce problème se pose chez les chrétiens et se pose différemment chez les athées. Et le véritable sujet pour Augustin c’est dieu, pour Descartes c’est mitigé et pour Michel Foucault c’est rien LES TERMES TECHNIQUES dans la philosophie de Kant : - Le sujet empiriques c’est le sujet tel qu’il s’apparaît à lui-même dans l’expérience et surtout externes et internes (aperception) - Le sujet transcendantal c’est le fondement, la perception de possibilité de toute connaissance (ce qui existe

comblerait sa sensibilité. D’où cette question : en quoi la conscience commune est-elle si intéressée à ce que chacun soit heureux ou du moins fasse tout pour l’être ? Cet idéal de l'imagination est exclu de la nécessité exigée par sa propre notion Kant, penseur de la réflexion et dont les positions sont pour cette raison paradigmatiques, fait remarquer que l'idée de bonheur est d'emblée contradictoire. D'une part, dans son aspect formel, elle renvoie à une totalité absolue, puisqu'elle suppose, pour