Kant Tu Dois Donc Tu Peux

un tel sujet les thèmes de l'universalité du beau, mais aussi et avant tout le respect d'autrui, car autrui étant notre semblable, c'est aussi un être libre: libre des ses actes et de ses choix, ses décisions. Dans un premier temps, nous allons donc nous demander si nous sommes en mesure de convaincre autrui qu'un objet est beau. Pour que nous puissions réaliser une telle démarche, nous devons déjà supposer l'universalité du beau. Sans cela, démontrer et définir que quelque chose est « beau »

soi est défendue par plusieurs courants : Les rationalistes, tels que Descartes, pour qui l'homme est avant tout un être de conscience et de raison. Le sujet est pensant et conscient de soi : il a notamment la faculté de dire « je », comme le montre Kant. De plus, le sujet est immédiat avec lui-même : la conscience de soi est indépendante de toute extériorité ou toute médiation. Enfin, le sujet est unifié : grâce à la permanence de la conscience, le sujet peut unifier toutes ses représentations, malgré

l’entendement humain Gottfried Wilhelm Leibniz, philosophe Allemand dit que la liberté est un terme ambigu et que c’est celui qui a le plus de moyens qui est libre de faire ce qu’il veut. .Il y a la liberté de droit et de fait. Tandis que pour Emmanuel Kant la liberté est reliée à l’entendement et c’est elle qui marque l’autonomie de l’homme. Ce qui m’amène à faire une dissertation comparative entre René Décartes et Jean-Jaques Rousseau sur leurs conceptions de la pensée et la liberté. Deux philosophes

vérité. (Les instruments en philosophie sont des exemples, des démonstrations,…) L’objectif est vérifiable par tous (exemple : dans les mathématiques on ne peut pas dire n’importe quoi) On ne peut pas faire dire n’importe quoi à Platon, Descartes ou à Kant. Il est possible qu’il y ait des choix, des préférences. La philosophie : N’a pas vocation à rester dans la sphère du discourt, de l’abstraction, ou de la généralité. Ce n’est pas un discourt qui viens initier les philosophes pour s’adresser à

d’apprendre qqch ( on sait / saisit qu’on ignore ( Ignore = double ( On ne sait pas que x et on ne sait pas qu’on ne sait pas que x L’ignorance est totale, elle est profonde quand elle est réelle. Soit on connaît, soit on ne connaît pas donc on ne peut pas travailler. Quand on se rend compte qu’il y a un domaine qu’on ignore, ce n’est plus une ignorance totale, on sait qu’il faut se mettre à la recherche de ce que l’on ne connaît pas. Le but de la φ c’est de mettre en relation les connaissances

conscience vide, que la conscience est nécessairement liée à un sujet dont elle a conscience qui est l’objet de son attention. Cette activité ne s’apprend pas et elle permet au sujet de passer d’un objet à l’autre. Cette conscience spontanée, définit donc une expérience de la conscience qui est cadre de l’humanité et offre la possibilité de l’évasion et de la fantaisie. 2) La conscience de soi La conscience, chez l’homme, a la propriété de se prendre elle-même pour objet. Elle devient attention à

jusqu'à Saint-Exupéry, on n'a cessé de louer l'amitié comme expérience irremplaçable. Tout se passe comme si l'homme avait besoin des autres, tout en maintenant à leur égard une méfiance qui peut aller jusqu'à la violence. On peut en conclure avec Kant que l'homme se caractérise par une "insociable sociabilité" qui le maintient dans une perpétuelle tension entre la recherche d'autrui et l'affirmation de sa différence. 1. Comment définir ce qu'est autrui ? La réponse semble simple : autrui, ce

cette proposition, c’est-à-dire un incorporel (extra-être) qui se rajoute à la surface des choses : un effet de surface. Les causes habitent la profondeur des choses, les effets habitent à la surface (rappel d’ontologie deleuzienne). L’évènement est donc à la frontière entre la proposition et l’état de choses. Or, pour la philo analytique, les états de choses apparaissent comme les truth-makers des propositions : « Le chat est sur le paillasson ». Dans le monde, je vois l’état de choses : l’être-sur-le-

Chapitre 3 La question du sujet I – Critique de l’idée de nature humaine 1) La nature de l’homme est de ne pas en avoir Confrontation de textes Kant – Critique de la raison pure Rousseau – Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité entre les hommes Merleau-Ponty – Phénoménologie de la perception Leiris – Cinq études d’ethnologie Pour Merleau-Ponty le comportement humain ne provient pas entièrement ni de la nature ni de la culture humaine dans laquelle il vit.

pouvoir choisir entre différents possibles et donc admettre le libre arbitre et un futur indeterminé, pour d'autre, être libre c'est « faire ce que je veux » et par conséquent avoir un pouvoir d'agir, c'est la liberté d'action. Pour ces derniers, l'obligation est une entrave à la liberté car elle réduit le pouvoir d'agir. Ce pendant, il faut différencier l'obligation de la contrainte. En effet, une contrainte est une nécessité imposée à l'homme qui n'a donc plus le choix, il n'y apar conséquent pas de