Kierkegaard Oisiveté

Le théâtre de l’absurde Le philosophe danois, Søren Kierkegaard (1823-1855) était la première personne qui a utilise le terme « absurde » dans un contexte moderne. Le mot absurde vient du mot latin absurdus et signifie l´opposé de la logique. Influencé par les dadaïstes, surréalistes et théories existentialistes d´Albert Camus (1913-1960) et de Jean-Paul Sartre (1905-1980), le théâtre de l’absurde est apparu dans les années 1950. L´écrivain et critique Martin Esslin a formulé ce terme,  « théatre

justement là pour compenser cette lacune. En effet, nous ne percevons des choses que ce que nous pouvons en faire ; notre vision du réel est pratique. De plus, les concepts nous éloignent de la réalité. Avec le penseur abstrait, comme le dit Kierkegaard, « on n?aime pas, on ne croit pas, on agit pas, mais on sait ce qu?est l?amour, on sait ce qu?est la foi? ». Ainsi, l?impressionnisme s?est donné pour tâche de révéler ce que nous percevons de la réalité par-delà ce que nous en savons. Monet : «

Kierkegaard . se marie avec une jeune fille de 16 ans, Régine. La met a l’épreuve de la séparation. Tente de la convaincre pendant 2 ans qu’elle ne l’aime pas. Dépasser la relation ordinaire, recherche d’intensité ordinaire. Il n’y a d’amour que malheureux. Dans la séparation. On trouve une réflexion sur le mariage, institution qui donne au plaisir immédiat un fondement social et moral. Le mariage est une liberté. Le sentiment, la passion amoureuse n’est pas libre. Echec pour Kierkegaard ? en

tient la tête on ne peut pas dire qu elle est angoissée ou qu elle ait peur de qqch, il n'y a aucun objet et c'est sa condition elle meme, c'est son être au monde qui est semble t il la source de son angoisse. Le mot angoisse a une histoire et Kierkegaard a écrit en 1844 un livre Le Concept d'Angoisse, emprunté par H. et on se retrouve ici devant un Homme qui est face à la difficulté d'exister. 2) Chez H, K, et Sartre, trois penseurs de l'angoisse, l'expérience de l'angoisse est liée au vertige

plus. Cet écart s’exprime bientôt dans le domaine littéraire et philosophique, avec L’éloge de la folie (1509) d’Erasme, l’humour de Ben Jonson (Every Man in His Humour 1598, Every Man Out of His Humour 1599 ), l’angoisse du philosophe Danois Kierkegaard (Le concept d’angoisse 1844, Traité du désespoir 1849), et le nonsense de Lewis Carroll (Les Aventures d'Alice au pays des merveilles 1865, La Chasse au Snark 1876). Tous ces auteurs apportent leurs contributions à l’édification de l’existentialisme

en faisant de l’écrivain une institution. L’existentialisme L’existentialisme est un mouvement philosophique et littéraire qui place au cœur de la réflexion l’existence individuelle, la liberté et le choix personnels. Les philosophes Søren Kierkegaard  et Friedrich Nietzsche sont considérés comme les précurseurs du mouvement existentialiste, bien qu'aucun d'eux n'ait jamais utilisé le terme " existentialisme". " Le mot existentialisme vient d'existence; en allemand on utilise le mot Dasein,

d'extérieur à lui. Cette question pose problème, car s'il agit par foi, on considère qu'il s'agit d'un sacrifice, ce qui est acceptable, plutôt qu'un meurtre. Selon Kierkegaard, Abraham n'est pas libre, il agit par foi en Dieu. D'après Sartre, Abraham est libre de ses décisions. Je suis de l'avis de Sartre. Tout d'abord, Kierkegaard affirme qu'il existe trois stades : le stade esthétique, le stade éthique et le stade religieux. Dans le cas d'Abraham, seuls les deux derniers sont importants. Un

Albert Béguin, 1901-1957). Les sources d´inspiration pour l´existentialisme, il faut les chercher chez Sören Kierkegaard (1813-1855), philosophe d´origine danoise, considéré comme le précurseur de l´existentialisme, chez Martin Heidegger et Edmund Husserl (1859-1938), le fondateur de la phénoménologie, d´origine tchèque. L´existentialisme français n´a pas été influencé seulement par Kierkegaard mais aussi par d´autres philosophes – par le philosophe de l´émigration russe Nicolai Alexandrovitch Berdaiev

L'existentialisme considère donc chaque personne comme un être unique qui est maître, non seulement, de ses actes et de son destin, mais également, pour le meilleur comme pour le pire, des valeurs qu'il décide d'adopter. Bien que des auteurs tels que Søren Kierkegaard, Friedrich Nietzsche, Fiodor Dostoïevski, Franz Kafka et Léon Chestov aient largement évoqué ces thèmes dans leurs œuvres dès le xixe siècle, l'existentialisme a pris sa forme explicite de courant philosophique au xxe siècle dans la philosophie

l’un des termes de la contradiction (la suppression de la conscience). Il récuse aussi les doctrines situant hors de ce monde les raisons et les espérances qui donneraient un sens à la vie: croyances religieuse, suicide philosophique de la pensée (Kierkegaard, Jaspers, Chestov). L’homme absurde est celui qui accepte lucidement le défi, c’est là le fondement de sa révolte qui le mène à assumer aussi bien sa liberté, mais aussi ses propres contradictions en décidant de vivre avec passion et