Koyré

l'homme prend conscience avec la science que ce monde n'est pas fait pour lui « L'univers n'est pas ordonné pour l'homme : il n'est pas « ordonné » du tout. Il n'est pas à échelle humaine, il est à l'échelle de l'esprit ( Je pense donc je suis ). » ( Koyre ). Le monde est donc un récipient dans lequel l'homme est recu, il convient donc d'interroger la complexité du lien qui lie l'homme à l'espace. Quel est mon droit dans l'espace ? I – Un espace de rigueur naturel L'esprit de l'homme est naturellement

paragraphe sur l’Annonciation. Le seul hic est que les illustrations sont au début du livre, mais les explications à la fin… - COPERNIC, Nicolas (traduit et annoté par A. Koyré), Révolutions des orbes célestes, Paris, Nouveau Tirage, 1970, 154 pages. Ce livre contient les écrits originaux de Nicolas Copernic traduit par Koyré. Il est très intéressant et, bien qu’il m’ait été utile que pour faire mon introduction, il contient tout le nécessaire. Il m’a permit de comprendre les pensées de Copernic

Strauss obtient une bourse d'étude Rockefeller pour travailler à Paris sur les philosophies arabes et juives médiévales. Il y rencontre Louis Massignon et renoue avec des émigrés rencontrés antérieurement à Berlin comme Alexandre Kojève ou Alexandre Koyré. En 1932, à Paris, il épouse Mirjam (Marie) Berenson (ou Bernsohn). Le couple quitte Paris pour Londres et Cambridge où Strauss occupera un poste universitaire. Il travaille sur les manuscrits de Thomas Hobbes jusqu'en 1937 (c'est de cette période

permettent de formuler des propositions. Le critère de vérité dans cette science est la cohérence interne. Science empirico-formelle (Physique) : Son objet est réel mais va progressivement devenir abstrait et conduit au phénomène physique (A. KOYRE). Sa méthode cherche à reproduire les phénomènes pour rester dans la régularité qui s'expriment sous forme de lois mathématiques (loi de la gravité). Son critère de vérité est celui de vérificabilité ou cohérence externe. Science humaine et sociale

rupture amenant un champ disciplinaire — ou plusieurs — à se réorganiser autour de principes et axiomes nouveaux. Cette notion est devenue centrale en épistémologie par le travail d'auteurs tels que Gaston Bachelard, Thomas Kuhn ou encore Alexandre Koyré. En histoire des sciences, elle est aujourd'hui utilisée pour décrire les mécanismes de transformation et d'adaptation des théories scientifiques à la suite de découvertes importantes, remettant en cause la vision que l'Homme avait du monde jusqu'alors

critique doivent jalonner toutes les sphères où se joue la réflexion. Mais n'y aurait-il pas, plus fondamentalement, à travers la philosophie, une volonté toute personnelle de suivre un chemin vers une forme de sagesse ? Comme l'indiquait Alexandre Koyré, la philosophie, quand elle sent s'effondrer sous elle toute compréhension du monde , quand elle montre autant de balbutiements dans ses tentatives de répondre à la question « Que suis-je ? », elle se rabat alors d'abord sur le « qui suis-je ? »,

état. Cette distinction rend la chute des corps incompréhensible. Galilée forme le concept d'un mouvement rectiligne uniforme comme un état. Koyré souligne le contraste suivant ; le mouvement-effort est imaginé mais il n'est pas pensé ; le mouvement-état est pensée, mais il ne se laisse pas imaginer. cf rôle de l'expérience de pensée : former le concept. Koyré : "nous devons choisir entre penser et imaginer" à propos du mouvement dans son essence. Descartes en tire cette leçon (lettre à merssenne

aux dépens de l'autre. Il apparaît à une époque où les rois souhaitent obtenir un maximum d'or, mais surtout dans un contexte intellectuel où l'homme, avec Copernic et Galilée, passe du monde clos à l'univers infini, selon l'expression d'Alexandre Koyré, soit le monde de la Renaissance où la créativité humaine se libère d'un ordre cosmique prédéterminé. Ce commerce était fondé sur une solide base industrielle qu'est la construction des navires pour la Royal Navy, qui elle-même sera la base de la

comme la SPS ou la SFHST ou des listes de diffusion comme Theuth. Courants épistémologiques et auteurs[modifier] Voir les articles sur Aristote, Bachelard, Jean C. Baudet, Canguilhem, Cercle de Vienne, Descartes, Duhem, Feyerabend, Hacking, Kant, Koyré, Kuhn, Lakatos, Laplace, Lecourt, Guillaume d'Ockham, Poincaré, Popper, Quine, Rand, Stengers, Vuillemin ou Larry Laudan. Annexes[modifier] Articles connexes[modifier] * Histoire de la philosophie * Recherche scientifique * Gnoséologie

l’assistant de Karl MANNHEIM à l’institut für Socialforschung de Francfort. En 1933, il fuit l’Allemagne nazie et s’exile en Suisse puis a Paris où il essaye désespérément de trouver un poste. Ami du grand spécialiste de l’histoire des idées : Alexandre KOYRE, il par en 1935 à Londres où il va rédiger le processus de civilisation. Va alors commencer pour lui une longue carrière d’enseignant en Angleterre où il demeure jusqu'à sa retraite. En 1954 il obtient un poste comme enseignant à l’université de Leicester