Koyré

il reçoit l'influence de la philosophie bergsonienne de la mobilité[8], partout explicite dans L'Air et les songes (1943). Parmi ses contemporains, la philosophie des sciences de Bachelard est proche de celles de Ferdinand Gonseth et d'Alexandre Koyré. ------------------------------------------------- La psychanalyse[modifier] Bachelard réinterprète les conceptions psychanalytiques de Freud (inconscient, censure, rêve, libido), qu'il utilise à la fois dans son épistémologie (conçue comme une

Corrigé DM Kant, Critique de la faculté de juger, 1790 ; Manuel Delagrave page 300. Ce corrigé tient compte de toutes les analyses pertinentes glanées dans vos copies, certain(e)s y retrouveront d’ailleurs des idées ou des reformulations de leur cru. Par soucis de discrétion et surtout par gain de temps, je n’ai pas souhaité les citer nommément, mais que tous et toutes soient remerciés ici. Le développement est un plan détaillé et mériterait en chaque point des approfondissements, j’ai fait le

détriment de la pensée. Ainsi pour Heidegger la philosophie décline-t-elle depuis Platon, en ne s'attachant, sur le modèle de la science, qu'à la connaissance de l'étant, sans égards pour le sens de l'Être de l'étant. À l'encontre de cette thèse, A. Koyré, dans son exposé de 1946 sur « L'Évolution © Encyclopædia Universalis France Page 12 sur 25 VÉRITÉ d'Heidegger » (cf. Études d'histoire de la philosophie, à propos du passage de Être et temps à « l'essence de la vérité »), objecte que l'identification

pas, plus fondamentalement, à travers la philosophie, une volonté toute personnelle de suivre un chemin vers une forme de sagesse ?       I. De la sensation d'exister à la place de l'homme dans le monde        a. Comme l'indiquait Alexandre Koyré, la philosophie, quand elle sent s'effondrer sous elle toute compréhension du Cosmos (du monde organisé), quand elle montre autant de balbutiements dans ses tentatives de répondre à la question « Que suis-je ? », elle se rabat alors d'abord sur le

présent en nous dans nos dires, dans nos actes. Il est certain que l'homme se définit par la parole, que celle-ci entraîne la possibilité du mensonge et que n'en déplaise à Porphyre le mentir, beaucoup plus que le rire, est le propre de l'homme. (Koyré, 1996, pp 7) Le mensonge est fonction constituante de la parole. L'humain est un être de langage et de communication et grâce à lui il fait l'expérience du monde qui l'entoure. Là où il y a vérité il y a mensonge et là où il y a mensonge il a une

la culture. L’home a le temps de penser, d’éveiller sa curiosité et de consacrer du temps a étudier le monde qui l’entoure. Il peut également avoir des loisirs, qui leur donnent accès a la culture. Cette idée est étayer avec un texte de Alexandre Koyre dans son ouvrage Etudes sur l’histoire de la pensée philosophique parut en 1962 chez Gallimard, ou il dit « la limitation de la durée de travail et de ses conditions (…) ont doté les hommes de quelque chose que –en dehors d’un faible minorité – ils

mise en perspective historique et de l’« archéologie »] Néanmoins, le philosophe ne détient pas, à lui seul, le monopole de la réflexion sur les sciences. L’historien des sciences peut également jouer un rôle important. Qu’il s’agisse de Kuhn, de Koyré ou de Canguilhem – et quelles que soient par ailleurs leurs différences – les historiens des sciences mettent à jour l’historicité du savoir scientifique, la progressive élaboration de ses concepts, les éventuelles « révolutions »,… Autrement dit,

sont pas des objets pertinents du point de vue de la connaissance sociale. | |  SourcesExtrait reproduit sans les notes de « La contestation des statistiques publiques : histoire, ressorts et portée », Alain Desrosières, INSEE, centre Alexandre Koyré d'histoire des sciences, in « Les statistiques publiques en débat », Regards sur l'actualité, décembre 2008, la Documentation françaisehttp://www.ladocumentationfrancaise.fr/catalogue/3303332603466/ |   | Décembre 2008 Le système d'information

plate-forme technologique internationale qui réalise des outils et des plateformes web dans le domaine de l'histoire des sciences (ampère ; buffon ; lamarck ; criminocorpus ; etc.) et des techniques. Le CRHST est également lié au Centre Alexandre-KOYRE (EHESS) : ces deux structures regroupe de nombreux chercheurs en histoire des sciences et des techniques. La plateforme technologie du CRHST développe en autres choses le CN2SV qui est soutenu par le très grand équipement ADONIS. Le CRHST anime par

suivante : 2) « Si une idée s’accorde avec son objet, alors elle est nécessairement vraie ». Cela veut dire que si une idée vraie s’accorde avec son objet, elle le fait, comme le dit A. Koyré, « vi propria ; elle s’y accorde parce qu’elle est vraie et non inversement »18. Le mot « debet » exprime le fait, pour la dénomination extrinsèque, d’être une conséquence nécessaire de la puissance intrinsèque de la pensée vraie. Cela signifie