L Autonomie Procédural Des états Membres

cadre d'une organisation qui comporte une institution ayant le pouvoir de donner des instructions aux E en faveur de la paix. A la fin du 19ms les E étaient libres de s'organiser et de s'attaquer ; 50 ans après il y avait pour envelopper tous ces Etats une institution (ONU) comportant un organe (Conseil de Sécurité) en droit de donner des injonctions aux E. La bipolarisation des 2 blocs empêchait le CS' au milieu du 19ms d'émettre de telles injonctions notamment à cause du droit de veto. Aujourd'hui

Constitutionnel . Aujourd’hui nous avons de nvx acteurs du Droit public . L’ensemble des règles de droit constituant l’Etat régissant ses relations avec ses pairs les autres Etats l’ensemble des constituants des collectivités publiques , les personnes publiques et les individus ayant des relations avec les autres Etats , leurs Etat et les collectivités territoriales et les entreprises publiques . Il existe une double dimension : interne et externe (droit international). Le Droit de L’union

défense au juge (judiciaire) de troubler de quelques manières que ce soit les opérations du corps administratif ». Sous l’ancien régime le pouvoir judiciaire était exercé par les Parlements qui étaient des espèces de cours juridictionnels composées de membres de la noblesse. Le problème de ses parlements est qu’ils tranchaient les problèmes relatifs au Roi de telle sorte qu’ils bloquaient l’action du Roi, du pouvoir royale. Les révolutionnaires avaient en tête cette gêne liée à l’action des parlements

dans un ordre juridique) : très divers, ils sont également les auteurs de ses normes : états, OI, collectivités non étatiques, etc. ▪ L’origine de ses normes : le DIP est un droit créé par les états ou les OI. ▪ Son objet : le DIP recouvre l’ensemble des règles qui président aux relations de nature internationale entre sujets de l’ordre juridique international (entre états, entre états et particuliers, entre états et organisations internationales [OI - personnes morales résultant d’une association

théorique. Séance d’un comité des droits économiques et culturels de l’ONU, session qui dure 3 semaines, 20 novembre, visite à Genève, Palais Wilson, Bulgarie examinée. Séance du Conseil des droits de l’Homme, organe de l’ONU, examen périodique des Etats. Il s’agira de la Suisse, en demande pour l’instant, pas sûr que ce soit possible. Concours Cassin : une équipe par université, une choisie pour plaider à la Cour de Strasbourg. PARTIE I. LES PRINCIPES REGISSANT LA PROTECTION INTERNATIONALE DES

après la WWII, que les chefs d’Etat européens réfléchissent sérieusement à rassembler les Etats européens. Cette idée se fonde sur 3 nécessités : il faut reconstruire économiquement l’Europe, réaffirmer les valeurs démocratiques communes et affirmer une solidarité militaire dans un contexte particulier, celui de la Guerre Froide. C’est donc à l’issu de conflits mondiaux qu’on identifie une volonté des États à coopérer sur le plan mondial et européen. La base de cette réflexion a été le Congrès de

l'arbitrage. Dans la continuité, il y a la convention de La Haye du 18 octobre 1907 pour le réglement pacifique des conflits internationaux dont l'article 1er dispose «Qu'en vu de prévenir autant que possible le recours à la force dans les rapports entre Etats, les puissances contractantes conviennent d'employer tout leurs efforts pour assurer le réglement pacifique des différends internationaux» et qui apporte notamment des précisions supplémentaires sur l'arbitrage international. Il faut ensuite

car existait un positivisme. L' approche fonctionnelle du dt comparé (existe encore) Il faut citer un juriste juif allemand : Rabel. Dans les années 30 il a fondé un courant très important de droit comparé. Rabel et ses disciples ont fuit aux Etats-Unis car ils étaient juifs. Là-bas ils vont créer des chairs de droit comparé dans les universités. Marqué par l’holocauste ils se sont montrés hostiles aux discriminations même juridiques. Ils ont développé la théorie selon laquelle dans toutes

modification de la constitution, c'est-à-dire le mécanisme formel qu’il fallait respecter pour réviser la Constitution de 1875. Cet article 8 prévoyait qu’une révision ne pouvait être votée, qu’à la majorité absolue des membres composant l’Assemblée Nationale, c'est-à-dire les membres de la Chambre des députés + du Sénat. On en déduit que le pouvoir constituant dérivé sous la IIIème république était détenu par les chambres, elles avaient le monopole de ce pouvoir. Or, en 1940, en demandant aux Chambres

utilisé pour désigner l'ensemble des institutions des organismes permettant de rendre la justice, c'est-à-dire de juger les litiges opposant, par exemple, des particuliers entre eux, un particulier avec l'État, différents organes de l'État ou encore des États entre eux. Dans De l'esprit des lois œuvre majeur de la science juridique, Montesquieu écrit : « Il n'y a point de libertés si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice. Si elle était jointe à la puissance