L Image Reflet De La Réalité

sensible, celui dans lequel nous vivons; les prisonniers c’est nous. Les sons répercutés sur la paroi de la caverne seraient les voix des ombres. Les prisonniers prennent pour le réel ce qui n’est en fait qu’une pure illusion de la réalité, ce n’est que le reflet d’une image. Lorsque le prisonnier parvient à se détacher, celui-ci refusera de regarder le soleil puisque ce dernier l’aveuglera. On ne peut point passer directement de l’ignorance au savoir, puisqu’il faut progresser par étape, c’est de cette

miroir est un poème qui relate les événements de 1942 en prenant comme prétexte la chevelure d’Elsa. I. La femme 1. La chevelure C’est l’élément déclencheur de la mémoire. En effet, ses cheveux blonds aux reflets roux lui font penser à un incendie : "et peigner sans rien dire un reflet d’incendie", "incendie", "feux", "cheveux d’or" et "cheveux dorés". La métaphore avec l’or est méliorative, elle rend compte de la beauté d’Elsa. Aragon fait une comparaison entre les cheveux de sa femme et

de la nuit une image de la folie : le premier exemple apparaissant dans le poème est celui de la folie. Le soir devient pour ce premier ami un voile qui vient lui dérober l’accès direct au monde : ainsi il ne reconnaîtra pas sa femme et son enfant, et en mourra de folie. La nuit est ici, dans sa dimension nocturne, opacité des signes sans réel accès à une réalité parallèle. Cette image de la nuit comme inversion des valeurs est traditionnelle dans l’imaginaire occidental. une image du mal-être :

rage que je poussai », « c’est hier qu’il fallait ». Cette culpabilité porte également un certain fatalisme. Il n’est plus le temps il est trop tard. On notera aussi la phrase finale de ce chapitre qui illustre ce propos « mon rêve fatal n’est que le reflet de ma fatale journée ». Nerval va jusqu’à détruire les papiers qui pour lui sont autant de preuve de sa culpabilité. Nerval se sent même maudit, condamné par le destin « la malédiction qui nous séparait ». Parallèlement à cette culpabilité, on ressent

Les petits bonshommes sur le carreau EXPOSE 1. INTRODUCTION 2. RESUME 3. LECTURE DE L’EXTRAIT 4. PRESENTATION DE L’AUTEUR ET DE L’ILLUSTRATRICE 5. Eléments pour une lecture littéraire Une image qui en dit plus long que le texte Une structure très organisée Une symbolique du passage De l’inconscience à la conscience Du maintenant à l’après ou de l’état d’enfant à celui d’adulte Du devant au derrière le rideau Le lecteur pris à

montre également que les sportifs ne sont pas les seuls à subir les dures lois de W. En effet, le conditionnement s’exerce sur les femmes et leur sort s’intégrant à l’idéal olympique selon W reflète la déshumanisation propre aux contre-utopies. Enfin, ce chapitre montre d’ores-et-déjà le lien entre fiction et réalité en faisant partie intégrante du processus autobiographique de Perec. Dans le monde de W, tout est articulé autour de règles et de défis sportifs ainsi, «la conception des enfants» n’y échappe

visage du destin.» Camus conçoit ainsi le roman comme un « univers » qui serait une reproduction organisée du monde réel. Loin de se contenter de reproduire l’existence, il en livrerait, en effet, une image condensée et intensifiée. Il y aurait, dès lors, perfectionnement du monde à travers le reflet qu’en livre la fiction. Le caractère disparate, inachevé, fragmenté du réel, tel qu’il s’offre au regard d’une subjectivité, disparaîtrait au profit d’une peinture claire et cohérente du monde. C’est

LE REALISME DE HOPPER 1882-18967 1) Cette scène se situe dans un bar, un self-service. Derrière la femme, se reflète la lumière artificielle du bar. La grande table ovale en marbre et la chaise en chêne font partie du mobilier typique des années 1930 dans les restaurants de New York. 2) Hopper s’inspire du cinéma. Le jeu des ombres et des contrastes, la construction d’une image fortement géométrisée sont les paramètres du cadrage cinématographique. Il utilise une géométrisation de l’espace

------------------------objet premier -------------------foncé --------------------------intérieur -----------------------réel ---------- - ----------------gauche ------------------------photo P. kempf chevelu horizontal manufacturé clair extérieur reflet droite (têtes mannequins) (pirogue-colonne) (pirogue-colonne) (pirogue-colonne) (pirogue-colonne) (miroirs-têtes) (le balancier) 3> Le champ iconique : L’œuvre est figurative, on peut reconnaître et nommer les objets qui la composent. La colonne

symbolisent la psychanalyse aussi. Canapés orientés les uns vers les autres pour montrer interchangeabilité des personnages. La cheminée fait référence à l'enfer. Paradoxe : cheminée éteinte. Les objets conduisent à la déshumanisation. Le miroir reflète l'image de nous que l'on veut voir → absents. Pareil pour lits, livres, brosses à dents... Le canapé empêche de dormir. Le coupe papier sans utilité, symbolise le fait qu'ils sont déjà morts → pourraient s'en servir pour s'entre tuer mais déjà morts