L Imbécile Heureux

me parlait ces jours passés d'une princesse allemande qui se lève à cinq heures du matin pour travailler à rendre ses sujets heureux, qui dirige toutes les affaires, répond à toutes les lettres, encourage tous les arts, et qui répand autant de bienfaits qu'elle a de lumières. Son courage égale ses connaissances; aussi n'a-t-elle pas été élevée dans un couvent par des imbéciles qui nous apprennent ce qu'il faut ignorer, et qui nous laissent ignorer ce qu'il faut apprendre. Pour moi, si j'avais un État

bien une peinture des différentes classes et des différents types de personnes qui se dégage. D’un coté la basse classe : le chauffeur au chômage Casimir, son amie Caroline l’adolescente pleine de rêves , leurs amis (le Bad boy Hans et sa fiancée imbécile Herna) le petit tailleur Eugène, de l’autre coté l’homme d’affaire et son associé régnant au dessus de cette masse de par l’argent . L’histoire se déroule dans un dur moment de crise économique, et la représentation d’une telle période n’est

Hourc 2sd2Vincent Carnet de lecture, L’île des esclavesLa structure de la pièce 1) L'intrigue principale raconte le naufrage de deux maîtres et de leurs esclaves venant d'Athène pendant la Grèce Antique. Les deux maître, Iphicrate et Euphrosine et leurs esclaves respectif, Arlequin et Cléanthis se retrouvent sur une îles qui est uniquement constitué d'habitant descendant d'esclaves ou même d'ancien esclave. Les lois de cette nouvelle république imposent aux esclaves de devenir maîtres et aux maîtres

abondance ; de pareils souhaits étaient indignes des heureux Troglodytes ; ils ne savaient les désirer que pour leurs compatriotes. Ils n'étaient au pied des autels que pour demander la santé de leurs pères, l'union de leurs frères, la tendresse de leurs femmes, l'amour et l'obéissance de leurs enfants. Les filles y venaient apporter le tendre sacrifice de leur coeur, et ne leur demandaient d'autre grâce que celle de pouvoir rendre un Troglodyte heureux. Le soir, lorsque les troupeaux quittaient

..] Je ne suis pas une romantique, tu le sais. Je ne l'ai jamais été. Tout ce que je demande, c'est une maison confortable et, compte tenu du caractère de Mr Collins, de ses relations et de sa situation, je suis convaincue que mes chances d'être heureux avec lui ne sont pas beaucoup plus faibles que celles de la plus part des futurs mariés. » A l'époque de ce roman, une femme doit posséder beaucoup de qualité pour être considérée comme une femme accomplie : « On ne peut pas dire qu'une femme soit

entendrait qu’il est vieux, gras tel le moine rubicon (le bon vivant)… Mais Frère Jean est "jeune","pimpant","maigre" : il a un air de fraicheur et d’élégance.Grandgousier dit à la page 293, "ce n'est point une face de carême", il a donc un visage heureux. Il porte un « froc » qui est la robe du moine. Et « un bâton de croix » (p225). Ce bâton de croix lui sert d’arme redoutable « qui étaient en cœur de cormier, long comme une lance, remplissant bien la main et quelque peu semé de fleur de lys, presque

société(théâtre de société)et se posant des questions existentielles qui préfigurent le héros romantique du début du XIXème siècle. A la question "Quel est le moi dont je m'occupe" il répond "un assemblage informe de parties inconnues ; puis un chétif être imbécile ; un petit animal folâtre". Le bilan amer qui clôt ce monologue "J'ai tout vu, tout fait, tout usé. Puis l'illusion s'est détruite et trop désabusé...Désabusé ! ... Désabusé !" a des accents de déréliction. Figaro est présenté comme un personnage

votre cher espoir, votre sale espoir !ces cris, ces sursauts, cette lutte de chiffonniers gradations              Elle rabaisse Créon : d’une part, elle se moque de son ventre (il est bien portant, il ne manque de rien : en quelque sorte, il est heureux) ; d’autre part, elle se moque de l’espoir (espérer, c’est vouloir obtenir quelque chose, c’est égoïste).[Elle utilise les mêmes mots que le choeur dans son monologue : ouverture] avec vosrides, votre sagesse, votreventre.La vie t’a seulement ajouté

dit-il. Pourquoi? Elle éclata en sanglots. Rodolphe crut que c'était l'explosion de son amour; comme elle se taisait, il prit ce silence pour une dernière pudeur, et alors il s'écria: - Ah! pardonne-moi! tu es la seule qui me plaise. J'ai été imbécile et méchant! Je t'aime, je t'aimerai toujours!… Qu'as-tu? dis-le donc! Il s'agenouillait. - Eh bien!… je suis ruinée, Rodolphe! Tu vas me prêter trois mille francs! - Mais…, mais…, dit-il en se relevant peu à peu, tandis que sa physionomie prenait

façon neutre, sans parti pris, toujours dans un but d’objectivité. Les fonctions du narrateur: La fonction narrative car il raconte une histoire, un monde et idéologique car il y a certaines morales à tirer. Notament, sur ce thème «des imbéciles heureux qui sont nés quelques part », de l’avarice et de l’entêtement aveugle. Le moment formel de la narration: L’incipit : Les Bastides Blanches, c’était une paroisse de cent cinquantes habitants, perchée sur la proue de l’un des derniers