L Injustice Au Désordre

morale en même temps. Obéir aux lois Dans la République, Platon raconte la fable du berger Gygès qui découvre un jour un anneau magique qui rend invisible. Grâce à cet anneau, Gygès est soudain libre de voler, de commettre tous les forfaits et injustices possibles et imaginables pour acquérir richesse et pouvoir. Ce mythe vise à s’interroger sur le respect de la justice : ne sommes-nous justes que par crainte de la punition ? Une première théorie, rencontrée dans Le Cap des Tempêtes9 de Lucien

d’arrêts prononcés à peu de temps d’intervalle. Pareil phénomène constitue dès lors une cause de multiplication du contentieux, jusqu’à ce que la jurisprudence se soit précisément prononcée sur ce point. Aujourd’hui, au risque d’un nouveau désordre et d’une injustice, la Cour de cassation a donc fait son choix.

son esprit de révolte et d'évasion. Le réel ne l'intéresse pas, c'est l'imaginaire, "A sept ans, il faisait des romans, sur la vie". Dans le troisième paragraphe, l'obligation révulsante de lire la Bible, le livre du devoir, crée chez l'enfant des désordres psychologiques, des traumatismes, "Des rêves l'oppressaient chaque nuit dans l'alcôve." On remarque alors que comparé aux bonheurs oniriques de la lecture de ses romans, Rimbaud est confronté à une oppression en opposition à la liberté dont bénéficie

 homme  a  envers  lui-même. Droit => les  devoirs  qu’un  homme  a  envers  les autres hommes. - Objectif different. Morale => tend a la perfection Droit => tend seulement à assurer  l’ordre  et  la  paix Cf. Goethe : "Mieux vaut une injustice qu'un désordre", pour montrer que le but premier du droit est l'ordre, non la Justice. c- les sanctions du droit et de la morale sont différentes. Sanction pour la MORALE = mauvaise conscience ; réprobation des tiers. Sanction pour le DROIT = condamnation

Éthique à Nicomaque, V, 10, 1134b). Comment négliger quand, comme ici, nous essayons de cerner le droit naturel, la place centrale qu’avait la nature dans la Grèce antique ? En effet la cité grecque se conçoit comme image du cosmos, l’homme n’est que désordre en celle ci, il est donc juste qu’il essaye en la cité de rétablir un ordre identique à celui premièrement établit par une force symbolisant le juste et l’équilibre parfait. Afin d’ordonner la cité selon cet équilibre il est nécessaire que les lois

d'inconstance). Il n'y a pas d'unité véritable. | | |62 |Injustice: nécessité de faire croire au peuple en la justice car elle est nécessaire à l'ordre. | | |63 |Injustice: même idée que 62. |

que le stade de l’accrasie (=vaincu par ses plaisirs, plus aucune volonté sur soi-même) totale est : ce qui est mal nous fait du bien. Deux commandements clés de Socrate : « mieux vaut subir l’injustice que la commettre », « celui qui commet une injustice est plus malheureux que celui qui la subit », « nul n’est méchant volontairement ». Cela signifie que la méchanceté ne peut être que le fruit de l’ignorance, toujours le fait d’un défaut d’information, d’un défaut de formation philosophie parce que

l'équivoque, et regarder ce qu'est la comédie en soi, pour voir si elle est condamnable. On connaîtra sans doute que, n'étant autre chose qu'un poème ingénieux, qui, par des leçons agréables, reprend les défauts des hommes, on ne saurait la censurer sans injustice; et, si nous voulons ouir là-dessus le témoignage de l'antiquité, elle nous dira que ses plus célèbres philosophes ont donné des louanges à la comédie, eux qui faisaient profession d'une sagesse si austère, et qui criaient sans cesse après les vices

④- Roi Lear / / T Cordélia + Roi de France Régate +Cornouailles a-oneriltContexte historique : - écrit de 1604 à 1607, soit juste après la mort d’Élizabeth 1ère en 1603. - donc intrigue liée à la passation de pouvoir, et aux qualités requises pour bien exercer la fonction royale ACTE 1 Scene 1 Kent et Gloucester discutent de la décision du roi de céder le pouvoir à ses 3 filles. Gloucester présente son fils illégitime Edmond à Kent, en précisant qu’il l’aime comme un fils légitime alors qu’il

dans la tragédie. Phèdre est prisonnière d’un amour qu’elle estime contre-nature et qui la détruit. L’aveu qu’elle en fait dans ce passage à sa confidente Oenone est empreint de tous les paradoxes propres à l’amour passionnel qui témoignent du désordre amoureux. La manifestation est d’abord physiologique. Phèdre est victime physiquement de son amour et les signes sont évidents dès le premier vers : « je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ». Ce tétramètre renferme une succession de couleurs