L Interpretation Exegetique

parabole de Luc connaît un développement sans précédant. Sept verrières sur ce thème sont élaborées dans la première moitié du XIII e siècle. La glose et les commentaires exégétiques contemporains sur ce sujet font cruellement défaut et nous sommes en droit de nous demander dans quelle mesure les différentes interprétations des Pères de l’Eglise ont pu être retenues par les concepteurs des vitraux de la cathédrale d’Auxerre afin de répondre aux préoccupations spirituelles et temporelles de leur

cette administration. La circulaire est donc en principe un document interne à l’administration qui a pour objet de faire connaître la position de l’administration (parfois d’un ministre, on parle de circulaire ministérielle) ; elle donne une interprétation de la loi. La circulaire est normalement dépourvue de toute force juridique à l’encontre des administrés et, surtout, elle ne lie pas un juge dans sa mission d’interprétation de la règle de droit. Toutefois, à ce principe il existe des exceptions

d’interprétation de la loi : - Méthode exégétique : dans ce cas le juge fait de l’exégèse c'est-à-dire qu’il va interpréter le texte au regard de se qu’a voulu dire sont auteur, il va chercher a comprendre le sens du texte, à percevoir la raison de la loi, de ce qu’on appelle la ratio legis (il va fouiller les débats parlementaire afin de comprendre pourquoi et comment a été faite la loi) - Méthode prospective : en ce cas, le juge va fonder sont interprétation sur les conséquences qu’aura l’interprétation

juge doit alors librement rechercher la solution à a appliquer à un litige en se fondant sur les données réelles, c’est-à-dire économiques, sociales et juridiques (les coutumes, d’autres textes, les interprétations d’auteur, etc.…). Il ne doit s’agir que d’un complément de l’interprétation exégétique. La jurisprudence au service de la règle Le code civil impose au juge de dire le droit même dans le silence de la loi. Ils doivent dans le silence de la loi trouver ailleurs un principe de solution

loi et saisir le Législateur, le cas échéant). Un exposé des autres modes d’interprétation de la loi n’est pas véritablement dans le sujet (interprétation authentique préventive ; dispositions préliminaires ; éditions motivées). 3.=> hostilité déclarée à l’encontre de la jurisprudence (autorité égale à la loi de facto, Diderot ; contre-autorité des interprétations doctrinales de la jurisprudence, conjonction de la jurisprudence et de la doctrine ó confusion des pouvoirs attentatoires à la sûreté) N

Après cela, l'essentiel de la Genèse est consacré aux histoires d'Abraham, de Jacob et de Joseph. Le livre est anonyme, tout comme les autres livres de la Torah. Les traditions juives et chrétiennes l’attribuent à Moïse, mais les recherches exégétiques, archéologiques et historiques tendent, au vu des nombreux anachronismes, redondances et variations que porte le texte, à remettre en cause l’unicité de son auteur. Ainsi, la Genèse est, selon les exégètes historico-critiques, la compilation d’un

finalités ou du du moins y tendre pour vivre ensemble en société. Pour cela ces praticiens vont procéder à des distinctions  (meubles différents des immeubles), à des oppositions (les personnes et les choses). Ils vont également procéder à des interprétations. Ils vont également procéder à des confrontations de thèses et d'antithèses et suivre pour cela une méthode empirique ancestrale. Cette méthode c'est le droit. Autrement dit ils vont agir dans le cadre d'un ensemble préexistant de règles et de

« Quatre docteurs » (Martinus Gosia, Bulgarus, Jacobus, Hugo). En l’espace d’un demi-siècle se constitue dans l’école une lignée d’enseignants qui, pour dispenser son enseignement, explique le texte des compilations justinienne par une méthode exégétique, celle de la « glose ». Les glossateurs (ceux qui pratiquent la glose) font de l’exégèse du texte, interprété avec un souci littéral, le fondement de leur enseignement. Ils lisent chaque loi du Corpus iuris civilis ou canonici dans l’ordre du

PARAGRAPHE II: les principes du droit pénal. L'article 2 du code civil peut donner lieu à plusieurs interprétations. La source des textes n'est plus la même. En matière pénal les sources sont plus variés. En matière pénal les source sont hiérarchiquement plus importante. Il y a deux principes: la non rétroactivité art.8 de la loi pénal que l'on retrouve dans le préambule de la constitution et la DDHC de 1789 ( valeur constitutionnelle). La cassation dit que c'est un norme suprême. Art 7 convention

de l’Ecriture, de même il existe une exégèse non critique des documents de l’Eglise » . Comme l’a montré Grillmeier, tout en reconnaissant la portée universelle de l’inspiration, la Commission Théologique garde l’ouverture à une nouvelle interprétation de l’inerrance, en reliant la vérité de l’Ecriture au dessein salvifique auquel Dieu a destiné cette Ecriture. « Ce n’est pas comme si certains passages de l’Ecriture enseignaient sans erreur "la vérité en vue du salut" alors que d’autres ne le