L Objet Technique N Est Il Qu Utilitaire

décret exécutif n° 98 412 du 04/12/1998. I. Définition : la formation production est une activité pédagogique permettant aux stagiaires de réaliser des objets ; des travaux ou prestation de service à caractère utilitaire et commercial au cours de leur cursus de formation. La formation production est à la fois un acte pédagogique, mais aussi le moyen le plus approprié pour rentabiliser le potentiel existant dans les structures de formation

humaine, quelque chose que l’homme ajoute à la nature. La fin de l’art est l’esthétique ; la fin de la technique est utilitaire. Esthétique vient du latin « aisthesis » : sensation. L’artiste va porter son message à travers les sens (ex : Baudelaire : Correspondances). Expérience esthétique : chacun de nous éprouve des sentiments de préférence qui traduisent l’idée de valeur devant des objets naturels ou artistiques. Le mot esthétique a deux sens - ancien : dans « Le Banquet » de

ne se distingue-t-elle pas de la technique ? Vise-t-elle donc essentiellement l'adapté et le fonctionnel ? Comment une satisfaction désintéressée peut-elle être en liaison avec l'utile ? Le problème essentiel est le suivant : faut-il rapprocher l'oeuvre d'art et les produits de la technique, dont l'essence est utilitaire, puisqu'elle désigne une application de connaissances à la production de biens matériels ? A. L'oeuvre d'art est utile - art et technique - fonction pratique de l'art

connaissances (Eléments de géométrie, Euclide) - science qui se développe indépendamment des évolutions techniques - le réel est une totalité ordonnée et structurée selon une hiérarchie naturelle - science liée à la sagesse et à la philosophie   la science, pourquoi ? comme une activité désintéressée, pour comprendre le monde. - science doit montrer relation de nécessité qui relie pour chaque objet son essence à une propriété (ex. chute des corps graves) - recherche des causes la science, comment 

Introduction aux systèmes d’objets distribués ISIMA 3–1997/1998 Objets distribués, ISIMA 3 02/02/99 1 TABLE DES MATIERES 1. LES OBJETS DISTRIBUÉS .................................................................................................... 3 1.1 LES EXIGENCES DU MONDE MODERNE ...................................................................................... 3 1.1.1 Introduction ..............................................................................................

TD7: Cas briquet ZIP INTRODUCTION Les briquets Zip sont des briquets de luxe de très bonne qualité. Ils sont destinés à une clientèle qui souhaite montrer sa classe sociale à travers cet objet. Cependant le briquet de luxe connaît un certain désintérêt, l'avoir financier n'est plus bien vu, le tabagisme est dévalorisé et la société de consommation est perçue de manière négative. Par conséquent, on peut se demander quel positionnement permettrait à Zip de gagner des parts de marché. Et quel avenir

expérientiel, on ne considère plus production et consommation comme étant deux processus distincts. Ils sont simplement des moments différents d’un même cycle : l’individu est placé au centre de la réflexion (et non le produit ou service) : il est à la fois objet de la recherche et sujet lors de la consommation. Aujourd’hui le consommateur est donc au centre de l’offre (ère des services) et pour le toucher, le stimuler, il faut prendre du recul par rapport au produit physique : la composante immatérielle

Ainsi, suffit-il de prendre en compte l'originalité d'un objet pour étudier dans son exhaustivité sa dimension artistique ? En allant plus loin, il s'agit ici de se questionner non pas sur la dimension artistique d'un objet que serait son originalité, mais sur la possibilité de l'existence d'autres dimensions de l'art qui caractériseraient une production et qui, prises dans leurs globalité, sembleraient définir le fait même que cet objet soit considéré comme artistique. Ainsi, nous étudierons premièrement

et la plus claire est celle de l’utilité. Elle offre effectivement un critère facile de reconnaissance de l’utile. Est utile, ce qui est le bon moyen pour atteindre une certaine fin. Rien de plus clair car ce critère se situe au plan du résultat technique, d’une efficacité vérifiable par tous et qui de l’ordre du constat : le but est effectivement atteint ou manqué. En revanche, la définition de l’idée de valeur est plus vague. Si la valeur se mesure à l’intérêt qu’offre l’existence de quelque chose

développer en Europe des collections privées appelées Cabinets de curiosité ou Chambres des merveilles. Assemblage hétérogène d’objets insolites, rares, lointains ou merveilleux, il est de prime abord difficile d’en saisir la logique. Comment définir cet objet qui se caractérise aussi par sa disparité. Doit-on alors considérer qu’il existe « des » cabinets, différents selon des critères géographiques, temporels, sociaux ? Quant au contenu des collections, est-il à ce point insaisissable et chaotique ?