L Oralité De La Coutume

Nord qui chasse au moyen de trappes et qui vit du commerce des fourrures ; trappe : Piège pour prendre des animaux consistant en une fosse creusée dans la terre recouverte de branchages ou d'une planche qui bascule ; Hâbleur : (Celui, celle) qui a coutume de hâbler, de parler beaucoup, en exagérant ses mérites et en déformant la réalité.). Monde sauvage, où on échange pain et vin contre rêve et mots. B/ La fascination de Suter pour les récits : Entreprend de connaître son destin à la croisée des

religion doivent appliqués un meme droit. Petiti a petit les populations se référent au droit territorial, et leur propre droit disparaît petit à petit. PARAGRAPHE 3 : l'unité par le mélange des éthnies Il y a oublie progressive du droit, des coutumes, des traditions, des origines, de chacun. Ces lois sont de moins en moins aléguées en justice parce que les populations ne se définissent plus par francs , visigo ect mais par la terre qu'ils habitent. La tache devient du sol et non plus du sang

sanctionnée par l’Etat (droit normatif), par opposition au droit fondé sur une volonté de régler les conflits au cas par cas, sur les accords entre individus, tels que les contrats, et sur l’établissement d’usages acceptés par tous, tels que les coutumes (droit consensuel). 3 – parce que notre société, notre civilisation se fonde sur la notion d’ordre, plutôt que sur celle d’harmonie, ce qui influence la nature de notre droit : c’est parce que l’ordre prime dans notre conception que le droit est

l’oralité dans leurs textes. Nous proposons donc cette réflexion sur quelques romans de la période coloniale et que sont : La terre et le sang de M. Feraoun, La colline oubliée de M. Mammeri et La malédiction de M. Haddadi pour voir comment cette oralité a constitué un véritable cheval de Troie pour des auteurs qui voulaient faire entendre la voix de leur peuple opprimé. Lisons attentivement cet extrait : « Notre malédiction à nous (…) c’est encore cette langue française et tout ce qu’elle apporte

les rythes sociaux et regle de comportement( chine japon...). Dans ces conflits on regle les conflits dans les regles morales( ce qui se fait et ce qui ne se fait pas permet de dicter les usages juridiques des contrats) 2 les droits fondés sur l oralité: en afrique noire océanie, indiens d amérique..”sociétés traditionnels”, le principale mode des reglement des conflits est la conciliation, une médiation par la discussion,..on parle pour arriver a une décisionces sociétés ont été contraint de superposer

le plus puissant de tous, comme le roi des Francs. Le roi de Rome et le roi d'orient le reconnaissent comme le roi chrétien d'occident. En 511, Clovis meurt. Il a constitué le royaume des Francs, où est mis en place un régime nouveau, mêlant les coutumes barbes et romaines (le syncrétisme). On trouve des traces de ce mélange dans la société mérovingienne, dans la royauté puis dans le système juridique. A) Les fondements de la royauté mérovingienne La francisque est le symbole

sanctionnée par l’Etat (droit normatif), par opposition au droit fondé sur une volonté de régler les conflits au cas par cas, sur les accords entre individus, tels que les contrats, et sur l’établissement d’usages acceptés par tous, tels que les coutumes (droit consensuel). 3 – parce que notre société, notre civilisation se fonde sur la notion d’ordre, plutôt que sur celle d’harmonie, ce qui influence la nature de notre droit : c’est parce que l’ordre prime dans notre conception que le droit est

sociaux, comportement..) surtout en extrême-orient (Japon/Chine), traditionnellement la résolution conflits se fait par usages sociaux/ règles morales plutôt que par procès ex : réprobation d'un groupe, déshonneur, humiliation... -Droit fondé sur oralité (société traditionnelle en Afrique noire, Océanie, Indien d'Amérique...), le mode préféré est la conciliation obtenue par la palabre (négociation). Ce n'est pas forcément un juge c'est plutôt un consensus. -Droit fondé sur la religion :*droit hindou

de la place de la victoire (Guadeloupe) B- Les modes de diffusions de créoles. a- Le créole une langue d’abord oral. Le créole est par essence une langue vivante, jeune. Il donne toute sa mesure à travers les coutumes, les chants, les contes et les proverbes. Cette oralité met en scène la vie des Antilles avec parfois beaucoup d'authenticité et de couleurs. Il s'enrichit des apports du français moderne et même de l'anglais. Cette langue mixte créé dans l'urgence servie dans un premier temps

de Barthole, ce qu'il pence c'est que le droit savant doit fonctionner comme une sorte d'étalon de mesure de l'adéquation de la coutume, le droit savant devrait fonctionner comme une raison écrite permettant de mettre de l'ordre dans un droit orale «  ratio scripta » (raison écrite). Cela signifie que pour les Bartoliste il faut faire une large application de la coutume quand elle est conforme au principe du droit savant, si elle vient s'opposer au droit savant il est indispensable selon Barthole