L Universalisme Moral

providentielles commencement Histoire : être divin crée univers en donnant règles et lois « l’éternelle géomètre », « le grand architecte »,  « l’éternelle horloger » XVIIIe : chacun persuadé que cet être créer également univers politique et morale obéissant loi universelle et intemporelle ( en plus loi scientifique ) Philosophes et juristes consultes = doivent découvrir ces lois ( politique et Droit ) + principes ( équivaut loi physique ) d’où : déduire application

réciprocité et de coopération, peut importe les valeurs, les idées, les religions. Plus besoin d'avoir les même convictions et valeurs quand on est dans une société démocratique. - Quel est alors la façon de respecter la pluralité des valeurs, morales, etc... ? Il faut établir des règles permettant à ces individus de s'entendre, quel que soit les contextes démocratiques. Conception utilitariste : société est juste si elle garantie à ses mbrs le bien-être le plus large possible. Conception

d’élaborer une nouvelle architec- ture source de paix à l’échelle mondiale. Leurs propos s’insèrent dans le débat entre universalisme moral et pluralisme culturel. Celui-ci ne se focalise pas ex- clusivement sur la critique de l’argumentaire huntingtonien. Il se traduit égale- ment en matière philosophique à travers les discussions de David Miller, Rawls, Habermas et Sen car l’universalisme moral pose en effet la question de savoir si la correction des inégalités mondiales peut s’adosser à une commu- nauté

opposables et que leur application effective dépend de chaque autorité locale. Ce qui revient à dire que, même s'ils peuvent faire partie du droit dans un pays donné, les droits de l'homme feraient plutôt figure, sur le plan mondial, de recommandations morales que de règles juridiques. Question de la symétrie entre droits et devoirs[modifier | modifier le code] Les droits de l'homme ont été fréquemment invoqués dans l'histoire. Dans les débuts de la Révolution française, on faisait fréquemment référence

indépendamment de toute considération d’ordre esthétique ou artistique. Cf supra Doc 16. Le juge ne saurait non plus se fonder sur l’indigence des légendes pour refuser la protection à des dessins humoristiques ou encore objecter des considérations morales à propos d’' uvres licencieuses. Doc 20. Mais si l’existence du droit d’auteur ne doit pas dépendre du mérite de l’' uvre , son exercice peut être restreint ou empêché par des dispositions pénales. Par exemple : -loi sur la presse du 29 Juillet

l'objectif économique était impossible à atteindre avec cette mesure sociale. Aussi paradoxal que cela puisse paraitre pour une bourgeoisie s'appuyant sur les libertés individuelles, le rationalisme et la science, elle utilisait des arguments d'ordre moral et religieux pour brimer la liberté des ouvriers, notamment leur accès au loisir. Ainsi, la bourgeoisie a souvent eu la prétention de vouloir contrôler le temps du prolétariat, et n'avait pas une haute estime de celui-ci. Il est en effet certain que

temps investi). Le travail semble être déréalisé. Rifkin : « la fin du travail serait la fin de l’histoire ». Ce doute remet en cause les fondements même de quelques valeurs adjacentes comme la dignité de l’homme, la citoyenneté. Le travail est une morale pour faire une communauté politique. La fin du travail interagit avec la dignité humaine, la citoyenneté et le progrès. Le lien de confiance en soi même et l’activité est une remise en question individuelle « Bonjour Paresse » de Maier. Il y a une

Ils représentaient la plupart du temps des scènes grotesques, surnaturelles, voire vulgaires. Les plus anciens rouleaux, attribués à l’Abbé Toba Sôjô, représentent des animaux habillés en nobles ou en prêtres, s’adonnant à des activités assez peu morales, ce qui n’est pas sans rappeler d’une certaine façon les Fables bien connues de La Fontaine. Le e-makimono a continué jusqu’aux années 1950, sous la forme du « théâtre de papier », un spectacle de rue. Certains mangaka ont même débuté en dessinant

vieillesse. · Vocabulaire : Anomie ; déviance ; exclusion ; individualisme ; intégration ; lien social ; pauvreté ; socialisation ; solidarité mécanique / organique. Assurance / assistance ; Etat providence ; redistribution ; risques sociaux ; universalisme / communautarisme. Introduction. Il s’agit dans ce chapitre de s’interroger sur les fondements du lien social qui assure la solidarité entre les membres d’une société. La cohésion sociale n’est pas spontanée mais

hiérarchies « raciales ». Cette égalité juridique garanti certains principes du vivre ensemble, mais elle n’est pas suffisante pour empêcher la reproduction de disparités dans les rapports entre les individus. Par-delà l’affirmation d’une égale valeur morale de tous les individus et des normes interdisant des traitements inégaux, le Droit ne saurait pas assurer, par son seul énoncé, des relations « raciales » égalitaires. Il ne consiste toutefois pas en des simples principes normatifs procéduraux. Le