La Capacité Des Mineurs

d’autre pays a adhéré aux principales conventions internationales relatives à l’enfance, à commencer par celle des nations unies sur les droits de l’enfant, ratifiée en 1993, ainsi qu’aux règles de Beijing sur l’administration de la justice pour mineur. L’article 1 er de la convention relative au droit de l’enfant, définit ce dernier comme « tout être humain, âgé de moins de 18 ans, sauf si la majorité est atteinte plus tôt en vertu de la législation qui lui est applicable. » Concernant

LES INCAPACITES La capacité juridique c'est l'aptitude à être titulaire de droits et d'obligations et à les exercer. Certaines personnes sont frappées d'une incapacité. Il faut alors distinguer entre incapacité de jouissance et incapacité d'exercice. Incapacité de jouissance: inaptitude juridique empêchant une personne de devenir titulaire de certains droits. Incapacité d'exercice: inaptitude juridique empêchant une personne d'exercer ses droits. Il s'agit en règle générale d'une mesure destinée

par la 2ème chambre civile de la Cour de cassation, le 28 février 1996 et traite de l’engagement de la responsabilité civile délictuelle d’un mineur dispensé de capacités de discernement. En l’espèce, une mineure âgée de 8 ans placée sous la responsabilité et la surveillance d’un adulte, s’amuse en courant et heurte par inadvertance un autre mineur transportant une casserole remplie d’eau bouillante, laquelle se renversa sur la fillette qui fût sévèrement brûlée. La mère de la mineure en

prix dérisoire. C’est une présomption irréfragable, ce qui signifie que l’acheteur ne pourrait être autorisé à apporter la preuve contraire.   Sur le plan historique, le code de commerce marocain de 1913, énonçait dans son article 4 que « Tout mineur émancipé de l’un et de l’autre sexe, qui veut faire le commerce, ne peut en commencer les opérations, ni être réputé majeur, quant aux engagements par lui contractés pour fait de commerce : 1° s’il n’a été préalablement autorisé par son père, ou par

CAPACITE COMMERCIALE Les dettes de l’époux commerçant Dans le régime de la séparation de biens, les dettes contractées dans l’exercice du commerce restent propres à l’époux commerçant, leur paiement ne peut pas être poursuivi à l’encontre de l’autre époux. En revanche, sous le régime de la communauté de biens, l’article 1413 du Code Civil autorise à poursuivre le paiement des dettes sur l’ensemble des biens communs du couple sauf en cas de fraude du débiteur, ou de mauvaise fois du créancier

Chambre. Elle devrait entrer en vigueur dans les prochaines semaines. La Belgique deviendra le deuxième pays, après les Pays-Bas, à l'autoriser pour les mineurs. Mais, à la différence de la loi néerlandaise, qui prévoit que l'enfant doit avoir au moins 12 ans, le législateur belge n'a pas fixé d'âge minimum. L'euthanasie y sera permise pour les mineurs «capables de discernement» et faisant face à des souffrances physiques insupportables et inapaisables, en phase terminale. Ils devront pour cela être

Ils traitent différents problèmes pouvant aller de la maltraitance à la délinquance. Nous nous baserons sur la délinquance chez les mineurs. En effet la question de la délinquance prend de plus en plus de place dans la société d’aujourd’hui. Les problèmes de délinquances sont traités par différents dispositifs, Les CEF sont des dispositifs qui s’adressent aux mineurs multirécidivistes qui font l’objet d’une mesure de contrôle judiciaire ou de sursis avec mise à l’épreuve. La délinquance juvénile désigne

I → LES PERSONNES PHYSIQUES. Personnalité juridiques reconnu indépendamment du degré de conscience de l'individu. La capacité juridique. La notion de personnalité est différentes de la notion de capacité Personnalité = affirme l'aptitude générale a participer a la vie juridique. ( un enfant en bas-age ou un handicapé à la meme personnalité juridique qu'un adulte normal). Capacité =précise pour chacun les conditions de cette participation. SECTION I : L'existence de la personnalité. Deux borne

ici question de savoir si l’enfant est acteur ou sujet de l’autorité parentale. Nous allons donc nous intéresser à l’incapacité du mineur. Par la loi du 5 juillet 1974, sous Giscard d’Estaing, et au terme de l’article 388 du Code Civil, le mineur est « l’individu de l’un ou l’autre sexe qui n’a point encore l’âge de 18 ans accomplis ». L’enfant, autrement dit le mineur, a pleinement la personnalité juridique mais il n’a pas l’aptitude à jouir des droits dont il est titulaire. Il est donc frappé d’une

relève du cadre juridique et que seul un juge est abilité à prononcer.Dés lors où l'émancipation est acquise les parents se trouvent dégagés de toutes leus obligations .Autrement dit, un mineur émancipé acquiert les capacités d'un majeur et doit assumer seul ses actes et leurs conséquences. Les parents ou le mineur peuvent avoir recours à cette solution si un certain nombre de conditions sont réunis. L'adolescent doit par exemple démontrer la nécessité de son émancipation et faire valoir de solides