La Filiation Paternelle

nature : • Il peut résulter soit du mariage : on parle des liens d’alliance • Il peut résulter de la filiation : la famille par le sang. La parenté en ligne directe relie les descendants aux ascendants. On calcule le degré de parenté en ligne descendante en comptant le nombre de générations séparant 2 intéressés (1génération=1degré). En ligne ascendante, la parenté se divise en ligne ascendante paternelle et ligne ascendante maternelle et le mode de calcul est identique que pour la ligne descendante (1génération=1degré)

qui l’autorise à voler occasionnellement des biens vivriers dans la résidence de son oncle maternel. Cette coutume assez surprenante pour un esprit occidental a suscité diverses interprétations, dont l’argumentation se fonde sur le principe de la filiation. Or, en examinant les données ethnographiques relatives à cette pratique, nous montrerons que le comportement subversif du neveu utérin relève en fait de l’alliance matrimoniale contractée entre son père et son oncle maternel. Cette relation matrimoniale

chez le mourant. THEME 4 : Les conséquences de la filiation | Chapitre 1 : L’autorité parentale 1. L’autorité parentale mineur considéré comme incapable juridiquement. Il est donc représenté par ses parents. 2. L’autorité parentale prend 2 aspects éducation et patrimonial (parents gèrent les biens de leurs enfants) 3. L’évolution de l’autorité parentale Dans le code civil de Napoléon (1804), on parlait de puissance paternelle. Elle était investie par le chef de famille (le père)

constructive. L’initiation : le père doit montrer comment l’enfant doit appréhender sa frustration et agir dans le but de s’intégrer dans la société qui l’entoure. La séparation : le père sépare donc la femme de la mère et la mère de l’enfant. La filiation : même si le nom de famille est différent, l’enfant doit savoir qu’il a un père, une histoire. Il va donc permettre à l'enfant sur le plan psychologique de grandir. L’évolution de l’enfant passe également par la reconnaissance du père, et cette reconnaissance

celles des couples dits « traditionnels », le droit de la filiation est selon Hugues Fulchiron confronté à un défi, celui de la recherche la vérité en matière de filiation. En effet, le droit de la filiation est un droit complexe à l’image de la filiation elle même. S’y affrontent plusieurs grandes forces : la nature, la science et la culture mais également les intérêts de l’individu, de la famille et de la société. Juridiquement, par filiation il convient d’entendre le lien unissant un enfant et un

biologique, c’est la famille par le sang (notion de parenté). La parenté en ligne directe s’oppose à la parenté en ligne collatérale : - en ligne directe, elle relie les ascendants aux descendants. Elle peut être ascendante/descendante, maternelle/paternelle… - en ligne collatérale, la parenté relie les personnes ayant un auteur commun. Il y a deux distinctions. La première est celle qui oppose les collatéraux consanguins, utérins et germains. → pour les collatéraux consanguins, l’auteur commun est

Dans certains cas, lorsqu’il va de l’intérêt de l’enfant, celui-ci est présumé avoir acquis des droits dès sa conception. Adage latin « infans conceptus ». Cette règle est dans certains textes du code civil : article 311 alinéa 2 au sujet de la filiation de l’enfant, elle est également dans l’article 725 alinéa 1, article 906 au sujet de la capacité de l’enfant à recevoir une libéralité. Cette règle a été étendue par les tribunaux dans les circonstances autres que celles visées par le code civil

Dissertation : En vous aidant du cours, de recherches personnelles, et des documents joints, tracer les grandes évolutions connues par la famille, le couple et la filiation, depuis les années 1960, ainsi que leurs conséquences juridiques (vous mettrez en valeur les grandes tendances sociologiques et illustrerez la réception de chacune d’elles par le droit par un ou plusieurs exemples de réformes) Introduction : Aujourd’hui, de nombreux modèles de la famille existent en France : les familles

Juillet 2010 “Aucune session portant sur l’autorité parentale ne peut avoir d’effet” précise l'article 376 du code civil. Deux femmes vivent en couple et ont conclu un pacte de solidarité. Les deux femmes sont mères d'enfants qui n'ont pas de filiation paternel. Elles font une demande conjointe au juge des affaires familiales d'une demande de délégation d'autorité parentale aux profits de leurs enfants respectifs. En 1er instance le juge a accueilli positivement la demande de partage d'exercice de

deux parents sont titulaires de l’autorité parentale et le principe actuel est celui de l’exercice conjoint de l’autorité parentale, que les parents soient mariés, concubins, divorcés ou séparés, et quelle que soit la filiation, et ce, depuis 1993. Les parents ont le devoir de le « protéger dans sa sécurité, sa santé, et sa moralité pour assurer son éducation et permettre son développement dans le respect dû à sa personne. » Ils sont les représentants légaux de leurs