La Firme Manageriale

montrer en quoi une attitude éthique est source de profit. Elle tend à considérer l’éthique comme un levier de performance stratégique- ethics pays. En interne, l'éthique assure une meilleure cohésion au sein de la firme, une plus grande motivation du personnel. En externe, elle confère à la firme une bonne image et une bonne réputation, garantes de sa pérennité. Cette approche distingue une posture éthique rentable à long terme des profits à court terme que permettent les comportements interlopes. « L’importance

organisationnelle est définie par le mode de gouvernance utilisé pour supporter les transactions d’affaires dans une organisation (Willianson, 1981 et 1986). Au sens de Becker et Olsen (1995), la performance d’une firme est un résultat direct de chaque service échangé. En conséquence, une firme est amenée à sélectionner la méthode de distribution, lui assurant la plus grande valeur au moindre coût de transaction. Les TI, comme le soulignent Malone et al. (1987), ont fortement réduit les coûts de traitement

valeurs afin de développer une appartenance à l’entreprise. Elle créé un langage commun qui permet à chacun d’orienter et adapter son comportement professionnel. 5/ Tenir compte des processus d’interaction L’approche systémique des communications managériales fait ressortir que le manager est au centre d’un système récurrent d’interactions. Cela veut dire que l’on ne peut plus considérer qu’il est la source exclusive génératrice et inductrice de tout ce qui se passe du point de vue de la communication

deux firmes à travers les actions menées par chacune d’elle et la seconde portera sur la comparaison de leurs pratiques RES et DD et enfin nous donnerons notre point de vue quant à ces pratiques. I. DESCRIPTION DES PRATIQUES RSE ET DD DANS CHAQUE FIRME I.1 Description pour PSA PEUGEOT CITROËN Crée en 1889, le groupe PSA PEUGEOT CITROËN est déjà leader en Europe en nombre de véhicules vendus à faibles émissions de CO2 en 2009. Le Groupe a conçu et commercialisé de nouvelles technologies à impact

du fonctionnement managérial de McDonald’s McDonald’s Corporation France Restaurants Chaîne de restauration rapide américaine * Carte d’identité : Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée Au capital de 495 440 euros Au chiffre d’affaires de 2 200 000 euros en 2006 Avec un effectif de 12 500 salariés 1 rue Gustave Eiffel 78045 Guyancourt Cedex – 01 30 48 65 28 Introduction Nous pouvons définir plusieurs motivations à faire l’étude managériale de cette entreprise

perdre de l'argent, mais ceci ne peut pas se dérouler indéfiniment pour un individu en particulier et pour l'ensemble des personnes qui constituent une société. Bibliographie * 1976, Michael Jensen et William Meckling, Theory of the firm: Managerial behavior, agency costs, and capital structure, Journal of Financial Economics, Vol 3, pp305–360 * 1979, Bengt Holmström, "Moral Hazard and Observability", Bell Journal of Economics, Vol 10, pp74-91 * 1982, Bengt Holmström, “Moral Hazard

développement..) pour réaliser les objectifs de l’entreprise. III- VOCABULAIRE * Entreprise : - mot utilisé par les économistes - fabriquer des biens et servies pour d’autres * Société : - firme légale et possible pour une entreprise - terme juridique * Firme : - dans la microéconomie sur le marché - relation entre les entreprises et les comportements * Institution : - ensemble des structures définies par la loi, la coutume pour répondre aux intérêts collectifs

processus (Osterwalder & Pigneur, 2005), le terme « business model » s’est imposé chez les praticiens du secteur émergent des nouvelles technologies à la fin des années 90, avant de se répandre de manière exponentielle dans les sphères autant managériales qu’académiques. Même si sa définition demeure floue, ce terme est aujourd’hui largement employé, jusque dans le champ de la responsabilité sociétale des organisations (voir par exemple Thompson & MacMillan, 2010 ; Yunus, Moingeon & Lehmann-Ortega

déterminant de certaines ressources et compétences acquises par les firmes : capacité d’écoute des parties prenantes, ... (Bansal, 2004). Le second angle cherche à étudier l’intérêt (en termes de performance ou de pérennité) que peut trouver la firme dans une politique de RSE. De nombreuses recherches se fondent sur la théorie des parties prenantes, ou « stakeholders theory » (Freeman, 1984). Elle stipule qu’il est dans l’intérêt de l’entreprise -et c’est même une condition de pérennité pour

l'organisation. La stratégie d'image Il découle de ce qui précède que ce qu'il est convenu d'appeler la stratégie d'image du produit, de la marque ou de la firme va devoir intégrer toutes les images perçues par les différents acteurs de l'entreprise ou de l'organisation pour déterminer une image voulue, selon le vocabulaire managérial consacré. L'élaboration stratégique doit être avant tout interactive et se baser sur les deux points cardinaux que sont la cohérence et la permanence, et c'est