La Loi du désir

souvent populaire, constant et contraignant dans lequel celui qui s’y conforme au sentiment du caractère obligatoire de l’usage. La Coutume et non textuel c’est-à-dire quelle n’est pas écrire. Le Progrès du droit fut assuré à Rome plus que par la loi et les plébiscites, par l’interprétation des jurisconsultes et des édits des magistrats. Il y’a eu dans le Droit Romain une réel transformation des institutions Romaines, de l’organisation de la famille ainsi que du caractère exclusives romain de la

La liberté, est-ce satisfaire tous ses désirs ? Deux concepts sont mis en relation : liberté et désir. Il s’agit donc de montrer en quel sens ces deux concepts sont complémentaires : on ne pourrait être libre que dans l’affirmation et la satisfaction du désir (la question étant de savoir si "le désir" et "tous ses désirs" sont identiques, synonymes ?), voire de tous nos désirs. Contrairement aux besoins, les désirs ne naissent pas de la contrainte. Par conséquent la recherche de leur satisfaction

attache une grande importance au fait que nous soyons dominé non seulement par une loi social mais aussi par une loi morale. Pour Kant, nous sommes soumis à une « discipline de la raison » Nous pouvons donc nous demander qu’est ce que cette loi, devoir morale, sociale, mais aussi se demandé en quoi sommes nous soumis a cette discipline ? Dans un premier temps, nous définirons les termes de droit, loi social et droit, loi morale et enfin dans un second temps nous verrons en quoi sommes nous soumis à cette

terme à une société possédant hiérarchisation institué ? Quand l’homme rentre dans la société ? Y a t-il une hiérarchisation reposant sur un rapport de force ou reposant sur une règle instaurée ? Si la société est une vie commune régulée par une loi dont la société a conscience, alors parler de société animale serait abusif, ce serait une projection anthropomorphiste du terme. En approfondissant, on s’aperçoit que l’interrogation qu’est ce qu’une société ? ne peut être posé que si la société humaine

clairs les buts (ce que je veux), les moyens (comment agir ? que changer dans le monde extérieur pour aboutir à mes fins ?), la valeur de ce que je désire (serai-je réellement satisfait quand je l’aurai obtenu ? est-ce que je me prépare des culpabilités ? des regrets ? ou une plus grande joie ?). Dans ma délibération, je tâche donc de prévoir si mon désir est réalisable et s’il est harmonisable avec mes autres désirs (si j’ai des désirs contradictoires, quoi que je fasse, je ne serai qu’à moitié satisfait)

La technologie nuit-elle au projet d’autonomie de l’homme ? Qu’est-ce que l’autonomie ? Etymologiquement, il s’agit de la capacité à se donner sa propre loi : auto-nomos. Dans la mesure où la technologie permet à l’homme de ne pas subir les contraintes du milieu naturel mais au contraire de s’en libérer, il semble évident que la technologie est un moyen et la marque même de notre autonomie. On remarquera qu’il y a lieu de distinguer l’autonomie et l’indépendance. L’indépendance consisterait

émancipation de la femme et surtout la question de les limites d'être un humaine. Il y a beaucoup de divergence entre un pays et l'autre: il y a lesquels que interdisent l'IVG et les autres que dépénalisent cette acte, mais même dans les dernières le loi relatif aux procédiments pour effectuer un avortement est significativement différent. Dans ce article, je prétends montrer les controverses qui conduisent a l'interdiction ou dépénalisation de l'avortement comme même les implications sociales, psychologiques

par les lois religieuses (mariage religieux). Selon moi le mariage est le désir de fonder une famille unie, mais surtout le désir de prouver son amour et de le déclarer publiquement, la volonté de satisfaire l'autre dans ses besoins et ses désirs mais aussi le désir de formaliser l'union sur le plan social, juridique, et économique. Il existe toute sorte de mariage, pas tout le temps accepté par la loi. Comme par exemple, le mariage blanc qui veut dire que deux personnes décident

veut se donner comme impératif dans la vie de se consacrer effectivement à cette recherche sera bien embarrassé : « Le concept de bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu’a tout homme d’arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis et cohérents ce que véritablement il désire et veut. La raison en est que tous les éléments qui font partie du concept de bonheur sont dans leur ensemble empiriques, c’est-à-dire doivent être empruntés à l’expérience, et que cependant

faire une critique de cet « art » qu’est la rhétorique et que Platon dénonce comme inutile (peut être aussi car c’est l’exercice de la rhétorique qui a provoqué la condamnation de Socrate). A cette époque, l’Académie vient d’être fondée et Platon désire y attirer les jeunes pour les former à une philosophie nouvelle, inspirée de la dialectique de Socrate. En effet, beaucoup d’entre eux souhaitent mener une carrière politique et s’intéressent donc à la rhétorique, qui est enseignée en masse. Platon