La Modalisation

hommes ça se pose en matière de victoire. l.3 « mon pauvre Valmont » « pauvre » est détourné de sens grâce à l'ironie, il s'agit donc d'une modalisation morale qui vise à le déprécier, et à témoigner tout le mépris que la marquise de Merteuil lui porte. « quelle distance il y a encore de vous à moi » cette fin de phrase renforce la précédente ► modalisation affective qui témoigne de l'exaspération. « étaliez » + « triomphe » ► vantardise de Valmont « déconcerté » + « un moment » ► réduit encore

| |La narration: |narrateur / auteur | | |focalisation | | |voix narrative | | |modalisation | | |enjeux et valeurs | |Critères d'évaluation |  |    Un récit est un système complexe: l'action racontée par un narrateur

« nous » et « vous » qui créent une certaine proximité. Il le rend à témoin à travers les questions rhétoriques. ces questions sont là pour animer le discours. L’adhésion recherchée est plus affective que réfléchie. On a une modalisation forte. A travers cette modalisation, le locuteur amplifie son jugement en ayant recours à des termes mélioratif et péjoratif, des images fortes qui peuvent heurtées. Il peut susciter la pitié ou la révolte. Ce type de discours a souvent recours au registre pathétique

fait grâce à une relation de cause à effet, de contenant à contenu, de partie à tout, entre les deux notions. Exemples : "boire le poison" (cause à effet), "boire un verre" (contenant pour contenu). * Modalisation : présence, attitude, explicite du locuteur dans l’énoncé. La modalisation est l’emploi des éléments par lesquels un locuteur traduit sa plus ou moins grande adhésion à son énoncé : verbes modaux (pouvoir, devoir, vouloir, etc.), adverbes (peut-être, sans doute, bien sûr, etc.), temps

|conditionnel présent (valeur modale) | | | |Pour exprimer une modalisation (atténuation) |Je voulais vous demander de reporter ce rendez-vous. | |Le plus que parfait |Exprime l’accompli dans le passé

je dois être exclu du récit, associé à un temps du passé, je peut être un simple personnage, plutôt qu’un narrateur. Présence dans le discours de modalisateurs (conditionnel, …) marque distance de l’énonciateur avec l’énonciation : c’est la modalisation. Dans le discours on peut rencontrer les 4 modalités, dans le récit uniquement la modalité assertive, si dans un récit irruption sur une autre modalité (interrogative, exclamative,…) doit être commenté. (peut être une pensée du narrateur, ou

précisée : la « Westphalie » ( qui se trouve en Allemagne ). Ce détail réaliste rompt avec l'univers traditionnel du conte, qui court-circuite le merveilleux. De plus, le narrateur introduit une modalisation ( « je crois » ), introduisant le doute par rapport à la réalité décrite ( NB : « modalisation » = façon pour le narrateur d'introduire son jugement dans son discours ). Le narrateur nous invite en tant que lecteur à prendre de la distance par rapport à la réalité décrite. Enfin, des entorses

sou" (ligne 3), non plus que sur celles des curieux attirés par une monstruosité à laquelle il applique l'euphémisme "étrangeté". • Un refus du dogmatique Il ne prétend pas non plus imposer sa propre vision des choses, comme le révèlent les modalisations [2] du texte : "il gazouillait à peu près comme les autres enfants" (ligne5) ; "ses cris semblaient bien avoir quelque chose de particulier" (ligne 6) ; "comme si un plus petit enfant..." (ligne10). II. Un commentaire plein de sagesse Comme

-« Mais » = charnière logique pour donner des arguments et avoir un raisonnement logique. La modalisation sert à montrer l’importance du contenu de l’idée. Implication du locuteur dans ce qu’il dit.

Capacités  : Interpréter le discours tenu sur le réel à travers le discours de l’imaginaire. Connaissances  : Champ littéraire :Le registre fantastique / Lexique : peur/étrange, imagination/imaginaire. Point de vue et modalisation du doute. Comparaison/ métaphore. Attitude : Etre curieux des représentations variées de la réalité. Organisation pédagogique et didactique 1/Phase de découverte : · Faire une très brève présentation