La Religion Est Elle Rationnelle

aux données argumentatives, expérimentales, etc. qui vont en sens contraire. L’intensité de la foi religieuse semble donc aller à rebours de ce qui caractérise la rationalité. La foi religieuse exclura souvent en son noyau toute forme de discours rationnel qui s’y oppose. L’usage de la raison doit absolument passer l’opinion au crible de son argumentation critique et mettre entre parenthèse toute forme de foi religieuse qui postule une forme de confiance aveugle en une interprétation de la vie qui

LA RELIGION I. L’approche des sciences humaines Religion : ensemble de croyances (mythes révélations dogmes) et pratiques ( rites cérémonies interdits tabou) tous tenu pour impératifs. Il faut qu’elles soient collectives, fait social et coercitif. Présupposée méthodologique : Durkheim considère que l’essence de ces religions peut être trouver chez ses formes les plus élémentaires dans tribus primitifs. -Animisme : voir dans certains objets ou être vivant une âme -Totémisme : attribuer

civilisations. Pour Weber, l'action économique de type capitaliste n'est pas le propre du monde moderne. Ce qui fait la spécificité des sociétés modernes est l'émergence d'un type particulier d'activité capitaliste, que Weber qualifie d'organisation rationnelle du travail libre dans le cadre d'entreprises. Au lieu de chercher à atteindre le profit par la spéculation financière ou par le financement des activités étatiques, par exemple (formes de capitalisme dont Weber croit trouver la présence ailleurs

futur, en effet il faut tout prendre en compte. Pour cela, il faut mettre les Hommes en accord. Il va falloir harmoniser en chaque individu le sentiment avec l’intelligence. Pour Auguste Comte, il y a qu’une seule possibilité : créer une nouvelle religion, le catholicisme athée. Pour cela, il crée un culte : le culte des Grands Hommes (le 1er d’entre eux : lui-même) Il considère que la mort n’existe pas. Il crée le baptême positiviste, CAD se mettre au service de l’humanité. 3. La loi des

par vouloir mettre Bouvard et Pécuchet en prison à la fin du roman, bien que ces derniers n’aient commis aucun acte condamnable par la loi. Quant à l’abbé Jeufroy, c’était le défenseur zélé de la religion qui pourtant est souvent incapable de trouver des réponses aux critiques qu’on fait de sa religion. Il n’est pas si désintéressé que son statut pourrait le laisser penser ( comment s’y prendre pour avoir la foi : pratiquez d’abord !). Il accepte bien de l’argent de Pécuchet pour un vieux font baptismal

un besoin fondamental de l'homme ? Est-il naturel voire nécessaire pour lui de croire en l’existence d’un Dieu, d’espérer un salut éternel ? - Mais peut-être ce besoin est-il de nature plus sociale et politique que réellement métaphysique ? La religion ne serait-elle pas alors un prétexte (afin de préserver un ordre social ou justifier une révolution, etc.) plutôt qu’un motif sincère et légitime ? Nous pouvons donc nous demander si l’homme a besoin de croyances religieuses ? I- l’homme a

d’un savoir et d’un travail rationnel sur les valeurs Il s’agira donc de : Discerner les enjeux en présence dans la situation Admettre son caractère évolutif Faire une analyse réflexive (argumenter, réfléchir, s’écouter, reformuler les demandes) Avoir conscience que chacun va réfléchir avec ses prérequis (valeurs individuelles soignantes) La démarche éthique : Analyse du contexte : contexte humain  Elle permet de poser des BONNES QUESTIONS Analyse rationnelle : Avec des dilemmes recensés

mais Dieu et la religion condamne le vol, donc cela remet en question le définition de la notion du « bon ». Selon Kant, la morale ne peut venir de la religion, ni l'extérieur, elle doit reposer sur la conscience même de l'être humain. Dans la société moderne la religion a quitté le champ politique et social et la morale a été intériorisé, contrairement aux sociétés traditionnels ou la religion, le droit et la morale sont confondus. Pour certains, la morale est acquise par la religion, la société mais

Thèse de l’auteur : contre la fausse piété, qui repose sur l’ignorance des causes des phénomènes naturels et la crainte des dieux qu’elle engendre, Lucrèce conçoit la piété véritable comme la sérénité de l’âme, rendue possible par l’explication rationnelle de la nature. Problème examiné par le texte : d’où vient le fait que les hommes développent des croyances superstitieuses et des rites grotesques, alors que ces croyances les rendent manifestement inquiets, donc malheureux ? Problème(s) soulevé(s)

sur la rationalité, comme la domination, l'État, la bureaucratie, le droit, la musique, etc.Il est toutefois important de remarquer que la plus grande part de son œuvre de sociologue est constituée par une sociologie des religions : il était persuadé, en effet, que les religions avaient apporté une contribution capitale à la rationalisation du monde. Il écrit notamment L'éthique protestante et L'esprit du capitalisme, publié sous la forme de deux articles en 1904 et 1905, avec lequel naît ce projet